letra de fictif - madlvl
j’m’en fais pas même si l’chemin est long, si long, si long, je l’sais
on s’allume et on s’questionne sur le sens du temps, du vent, hey, hey
on s’est croisé dans l’noir, ouais
y a des lueurs dans le ciel
je ne me souviens pas d’hier
ici bas, rien n’est éternel
j’devine vite quand c’est chelou, j’t’évite maintenant
gros, j’ai retenu la leçon
plus l’temps passe, moins j’ai d’interaction
(et) plus d’actions qu’avant
pas dе chambre de luxe, photo instagram dеvant un mur jaune
jsuis fier de n’pas être un bourgeois
et c’est le soir que mes sentiments resurgissent
j’allume un kamas
pose pas de question, si c’est juste comme aç
j’suis pas là pour ça, mais j’préfère l’oseille à ton gros cul, connasse
j’n’existe que dans la nuit
donc je sors qu’au beau milieu d’la nuit
ne m’retrouve que dans les rues d’ma ville
y a personne, c’est nous les princes de la ville
ah ouais, han
j’m’en fais pas même si l’chemin est long, si long, si long, je l’sais
on s’allume et on s’questionne sur le sens du temps, du vent, hey, hey
on s’est croisé dans l’noir, ouais
y a des lueurs dans le ciel
je ne me souviens pas d’hier
ici bas, rien n’est éternel
j’veux monter dans l’ascenseur social, et l’émotionnel
j’vais en perdre des potes, j’en ai perdu l’sommeil
ouais la vie est une chienne (mais qu’est-ce qu’elle est belle)
quand elle arrive à son terme, pas d’temps additionnel
trop chaud, faut qu’j’record dans un stud isotherme
ma jeunesse à errer en quête de repères
sur un fond d’lunatic ou tandem
à chaque intersection du 13 j’revois des scènes
mais j’ai le bras dur, pas le bras long
à l’époque, j’voulais juste un ballon
là, j’cours après la liasse et l’temps
en attendant, j’fais des pompes et des tractions
jsuis dans l’milieu d’terrain, pas dans l’milieu d’la hype
et quand j’vais crier, j’n’entendrai que l’écho de ma voix, yah, yah
si y a du cash, tant mieux mais j’crève pas pour ça
hors de nos têtes, stones comme des rollings
le soleil se lève, chaque jour, c’est poker face
j’vois la lumière quand les portes se ferment
baby, si y a du cash, tant mieux mais j’crève pas pour ça
hors de nos têtes, stones comme des rollings
le soleil se lève, chaque jour, c’est poker face
j’vois la lumière quand les portes se ferment
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