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letra de intro (c'est la street mon pote) - mac tyer

[intro : choeur]
légende, légende, légende
légende, légende, légende

[couplet unique]
la chance est une schnek à pénétrer ou à séquester
tambour et trompette pour me célébrer comme roi qui naîtrait
moi j’suis you-voi, pour porter la couronne, personne n’est prêt
pourquoi lui faire confiance si tu sentais qu’il te la mettrait ?
ta femme t’en veut elle a grillé l’amour que t’as pour ta maîtresse
quand tu perds l’oseille, y’a plus d’amis, y’a que la famille qui reste
on dit qu’j’suis l’best, reste humble comme un faux modeste
quand je vois mes rêves j’leurs cours après comme gump forrest
jump sur l’arceau comme numéro 23, les jambes écartées
j’suis déjà parti avant le “à vos marques, prêts, feu, partez”
j’ai pas sombré, négro socrate a vu le soleil de trop près
mon coeur se déchire, souvenir de cet acident (?-)
elle a quoi là-celle, elle me dit qu’elle m’aime avec un autre à l’hôtel
embrouille de cité terminée par un coup d’fusil mortel
partie de poker, bar de pirates, pleins de byl-ka
c’est comme une meuf à poil dans une ve-ca avec pleins de diques-sa
tu t’énerves sur la télé parce qu’tes chevaux ne courent pas
tu l’as voulais, tu l’as baisé, elle a dit que t’-ssures pas, hein
tu sors de l’école, une bande rivale pour te (?-)
beetlejuice, beetlejuice, me voici me voilà
les géants veulent nous marcher dessus mais j’ai le cri des rennes
on me dit so’ tu bosses bizarre pire qu’un extraterrestre
quatre-vingst ze-trei c’est morbide, on a tous nos secrets
rien nous surprend même balle dans la tête dans sombre ruelle
le mal nous pousse à faire du mal parce qu’on est de faibles hommes
pour ne pas lui faire du sale je voudrais qu’on m’isole
on est tous des agneaux, hannibal lecter t’arrache les boyaux
pour ta joaillerie, on monte une équipe, ça fait le braquo
narcotrafiquantes qui se prennent pour pablo
j’aime pas l’école, ma prof de math m’a humilié au tableau
tu veux t’en sortir dans la vie ne l’a ramène pas trop
cette friandise que j’appelle l’amour m’a fait mal aux chicos
coups de chicotte, t’es dans les (?-)
ma belle étoile est trop loin même pour le téléscope
la planète des singes, oui négro les choses s’inversent
fini les larmes qui s’versent comme l’époque auto-reverse
suis-je puriste ou futuriste ou juste putain d’artiste
je rêve d’un m-rs-ille en paix, des lauriers jusqu’à calice
dis moi c’que t’as à de bien à proposer à ma famille et moi
mi amor, toi et moi c’est pour la vie ce soir
les keufs attendent mon ze-bla, ils ont jamais pu me chopper
ceux qui parle jamais ont même souvent du mal à chuchoter
la cage a sauté, ça va chauffer pour la cage d’à côté
une vrai beauté, le coeur noircit devient plus moche que la bête
ne prends pas la tête, on fait la guerre parce qu’on veut la paix
quand je vois tes efforts j’espère qu’elle en vaut la peine
la nuit je fais des cauchemars et je transpire sous la couette
la rue, un cercle vicieux où la violence se répète
bep-bep, bep-bep c’est la bécane qui se lève
bep-bep, bep-bep c’est la bécane qui se lève
mes mots ont plus d’impact que les bastos d’un pistolet
mes mots ont plus d’impact que les bastos d’un pistolet
bleh

[outro : choeur]
légende, légende, légende
c’est la street mon pote
légende, légende, légende
légende, légende, légende, légende
légende, légende, légende, légende

- mac tyer

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