letra de réunion - l'uzine
[paroles de “réunion”]
[couplet 1 : tonio le vakeso]
moi, c’est vakes enfoiré, j’ai le cœur en chantier
je suis un homme entier, que dieu m’préserve de mendier
me tente pas d’te planter, visage ensanglanté
j’rap une partie d’ma vie, réussie ou ratée
j’représente ma banlieue [rnv?] 93100
j’ai grandi dans l’milieu, j’arrachais les passants
on n’est pas trop patient, on veut tout et tout de suite
ça dеvient agaçant, j’vais rouler un autre sh-t
dеs fois dans l’ciel j’aperçois des têtes humaines
encore hier imen voulait qu’j’lui pète l’hymen
si j’suis blindé, j’vous dis tous “auf wiedersehen” (aight)
pour t’foutre bout j’taperai mon sourire de hyène
on n’est pas les pires à plaindre, il y a toujours pire que nous
j’préfère crever debout que mourir à genoux
moi, j’aime peu d’gens comme ça j’suis peu déçu
n’oublie jamais : il y a juda et jésus
[refrain : cenza]
les années de la vie nous rallient
l’uzine depuis notre enfance une famille
forgée dans les ruelles sombres de ma ville
[s’est bâtie, une lettre avec un chiffre de six parties ?]
les années de la vie nous rallient
l’uzine depuis notre enfance une famille
forgée dans les ruelles sombres de ma ville
[s’est bâtie ?], une lettre un chiffre devine par qui
[couplet 2 : tonytoxik]
un jour, tu gagnes, un jour, tu perds, frère
mais j’reste en place, j’suis hyper fier
merde, j’regarde mes liasses comme un pervers
plaire ? pour quoi faire tant que les miens m’valident
d’la verte et du verbe, j’bouge, c’est plein tarif
j’fais trente trucs en même temps, j’suis pas à vendre, en surendettement
y a toujours des plantes dans mes sous-vêtements
j’sais pas combien d’impacts faudrait pour les faire taire
le passé reste intact même quand les blessures s’ferment
mamene
on a rien dit, ça non, on a beaucoup fait
dernier d’la classe, toujours au fond que couteau s’plaît
vu qu’j’vis mal, j’vise les thunes, on a tous niqué la terre mère
à l’image un pêle-mêle de fils de putes
j’ai l’seum, j’tords le cou, en tout cas dans ma tête
en-tout-cas dans ma tête, c’est moi seul contre tous
y a pas plus généreux qu’un peuple pauvre
j’fais l’bien, le mal jusqu’à c’que l’un des deux me sauve
mamene
[refrain : cenza]
les années de la vie nous rallient
l’uzine depuis notre enfance une famille
forgée dans les ruelles sombres de ma ville
[s’est bâtie, une lettre avec un chiffre de six parties ?]
les années de la vie nous rallient
l’uzine depuis notre enfance une famille
forgée dans les ruelles sombres de ma ville
[s’est bâtie ?], une lettre un chiffre devine par qui
[couplet 3 : cenza]
voici les disciples du z aucune main nous sera tendue
tu m’connais pas, mais je sais déjà qu’tu nous as entendus
j’ai vendu, un pêle-mêle de mes plus belles paroles rendues
j’ai pondu des cd que toutes mes idées ont fondu
j’ai bicrave toute ma vie, j’ai la phobie administrative
aujourd’hui, j’fais d’la musique faut que j’régularise ma vie d’artiste
que j’m’esquive nique sa mère que j’récolte mes fruits semés
vingt ans d’règne, le fil de fer à failli nous ficeler
tous les petits frères sont au shtar et les plus grands sont morts saouls
on met des chaînes en or, la mort est accrochée à notre cou
des prods folles, des crocs d’fous, regards de [?], on s’reverra devant dieu
alors qu’on s’était dit à tout à l’heure
on bande sur les armes à feu comme dans les films de gangster
l’image du grand frère change depuis qu’la drogue dure enterre
un bisou à nos grandes sœurs qui ont su se respecter
aujourd’hui, les petites, font les putes avant d’se faire baiser
l’uzine avec un … la dernière lettre de l’alphabet
c’est avec un grand a que mes soiffards sont assoiffés
on a écrit notre histoire sans en lire le synopsis
j’ai pas besoin d’un appui, j’ai tonytoxik
enfoiré
[couplet 4 : souffrance]
ici la secte, y a rien pour les jeunes il y a que des vieux à la tête, c’est cheum
j’perds du temps sur la play, j’sors et j’traîne et c’est déjà un sport extrême
j’aime les voitures italiennes et les grosses putes alors j’les respecte
derrière [?], juste avant l’adsl, j’dis moins d’merde que bhl
j’les achève, j’étais sur l’point d’perdre
il faut des soins pour les gens du coin
parce qu’à la fin ça marche pas d’fumer des joints
même au début, mais on est con même si on croit qu’on est bon
j’parle que d’ce que j’connais bien comme j’connais rien, j’parle peu
ce sont des chiens, ils aboient de sombres desseins
[?] dans les magazines, j’veux voir monter les chiffres en direct
j’mets des doubles gifles d’ambidextre
j’fais l’tour du périf, toujours a la dérive
cas social, y pas d’intérim l’code postal, il est terrible
[refrain : cenza]
les années de la vie nous rallient
l’uzine depuis notre enfance une famille
forgée dans les ruelles sombres de ma ville
[s’est bâtie, une lettre avec un chiffre de six parties ?]
les années de la vie nous rallient
l’uzine depuis notre enfance une famille
forgée dans les ruelles sombres de ma ville
[s’est bâtie ?], une lettre un chiffre devine par qui
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