letra de après la fête - lucio bukowski & oster lapwass
[paroles de “après la fête”]
[couplet 1]
subis l’atrophie, des vertiges dans le flux sanguin
comme les autres spectres, transparent dans des rues sans teint
pour m’enfuir, j’ai goûté quelques crus, or sans plus d’écrin
laisser courir mes paluches sur son cul, des reins
aucun générique en fin d’vie, nous sommes tous solitaires
tremplin bénéfique de chaque souffle que nos folies perdent
on oublie d’exister entre ovules et jolis tertres
crever comme giono, sereinement sur une colline verte
j’ai vu vanité chez les autres ignorer la mienne
l’orgueil est ainsi fait, viendra bien resserrer la gaine
je m’suis mis en tête que je pourrais changer les choses
bouffer le réel de plein fouet et augmenter les doses
vécu en surrégime, créer sans relever la tête
frère, j’n’étais plus sous l’égide, j’ai débarqué après la fête
tant d’cyclopéens nous observent en rien d’loin
pour n’pas trop y penser, j’préfère brasser de l’art en vain
pendant c’temps-là, j’survole la ville, relis miller et les tropiques
né cancer un jour de pluie à ne rien voir derrière la vitre
tant propice à l’écriture, quelques chansons pour un projet
du café ou du blanton’s selon l’angle du soleil
[refrain]
j’suis rempli d’une joie tenace et, même si j’en ai pas l’air
j’dissimule mes flamboiements comme les façades du vieux palerme
ongles noirs de la recherche, mes conclusions sont sur des bandes
nota bene : j’suis l’seul gars de mon gang, comme ezra pound
[couplet 2]
j’aiguise machette dans mon salon, j’fais des tractions, des poèmes
j’apprends comment fonctionne le sol, j’m’en bats les couilles d’leurs vies d’bohèmes
nourrir l’esprit d’inventions entre de vinci et cohen
j’me déplace sourire aux lèvres comme chirac en citroën
le monde grésille comme 808 dans un putain d’coin d’atlanta
ça crée des arbres qui grandissent comme l’ère d’influence du capital
n’attends pas de main tendue, tout s’altère dans l’attentat
permanent de nos élites, de nos artistes, de nos médias
tous prêts à se vendre comme alstom, stériles comme discours élysée
poudre noire, agent orange dans l’ventre du monde civilisé
ils fabriquaient du zyklon b, paraît qu’maintenant ils soignent les gens
paraît qu’c’est l’monde des affaires, paraît qu’tout ça c’est pas méchant
j’tape un crawl au-dessus d’la confusion, n’en tire jamais de conclusion
y’a des requins au-dessous, là où les honneurs sont légion
vis sous l’attitude hostile et je vaux moins que steve austin
enrichis mon uranium, pratique moi-même ma biopsie
j’compulse le livre de ma vie, c’est rien qu’un pulp et ça me va
tu l’trouveras pas en librairie rayons “best-sellers” et “sagas”
j’compulse le livre de ma vie, c’est rien qu’un pulp et ça me va
tu l’trouveras pas en librairie rayons “best-sellers” et “sagas”
[refrain]
j’suis rempli d’une joie tenace et, même si j’en ai pas l’air
j’dissimule mes flamboiements comme les façades du vieux palerme
ongles noirs de la recherche, mes conclusions sont sur des bandes
nota bene : j’suis l’seul gars de mon gang, comme ezra pound
letras aleatórias
- letra de instagram - marlon dubois
- letra de sen ben biz - aqtaii
- letra de пакет на пакет (package per package) - spiky
- letra de red ruby da sleeze (a cappella) - nicki minaj
- letra de coeforos - tenemos explosivos
- letra de druga strana medalje - sanja djordjevic
- letra de verlaufen - morpheuz
- letra de hammerdown - scissorfight
- letra de fill the space - spike the media
- letra de 10 years - ultras eagles 06