letra de voss - livaï (fra)
[couplet 1]
j’ai pas grand chose à dire, à part qu’un jour tout va s’détruire apparemment
j’ferai tout mon possible pour qu’un jour on s’retrouve au sommet du bâtiment
mais c’est pas si facile, le temps passe, va falloir qu’on assume
tu t’rappelles ? on s’était promis d’se faire l’amour et la guerre jusqu’à c’que la vie nous consume
c’qui m’appartient est à moi et j’doute fort qu’un jour il y ait d’la place pour vous messieurs
j’ai l’visage tourné vers le ciel, j’préfère chercher son âme que la regarder dans les yeux
j’voudrais qu’on vive des choses énormes donc s’il-te-plaît reste avec moi, sois là l’jour où j’aurai té-mon
et surtout n’aie pas peur de moi si j’parle dans mon sommeil c’est que je m’endors avec mes démons
[refrain]
viens on s’en sors, ouais
même si tu sais que j’ai mal, et ce, depuis l’enfance, eh
c’est du pareil au même, anh
prends ton âme charitable, eh
viens on s’barre en faisant les gamins
j’sais qu’ton cœur est véritable
tombons tous les deux dans le meilleur des ravins
viens on s’en sors, ouais
même si tu sais que j’ai mal, et ce, depuis l’enfance, eh
c’est du pareil au même, anh
prends ton âme charitable, eh
viens on s’barre en faisant les gamins
j’sais qu’ton cœur est véritable
tombons tous les deux dans le meilleur des ravins
[couplet 2]
quand j’suis seul dans ma chambre, j’me pose des questions
genre “est-ce que demain sera meilleur qu’hier ?”
“est-ce que mon veau-cer a vriller ?”, “quand est-ce que j’vais crever ?”, “est-ce que j’suis né pour briller ?”
écoute, nan
faut qu’on aille se coucher ma belle et penser à plus tard
quand la seule force de nos deux mains fera tourner la terre
pour l’instant c’est la merde
j’nous imagine tous un futur qui nous arrivera sûrement jamais
on l’attend d’pied ferme, quand est-ce qu’il va s’ramener ?
peut-être dans deux mois, sûrement dans des années
merde, ils sont déjà au sommet pourtant j’me sens pas inférieur
tu dis que j’suis trop dans ma tête, c’est sûrement que j’suis mieux à l’intérieur
mais qu’est-ce qu’on va faire ?
à part se détruire tous les jours comme si on s’faisait la guerre
l’impression d’être une âme errante, un radeau au milieu d’la mer
j’arrête pas d’penser à gratter, au final dans tes yeux, j’me perds
pfff putain
[refrain]
viens on s’en sors, ouais
même si tu sais que j’ai mal, et ce, depuis l’enfance, eh
c’est du pareil au même, anh
prends ton âme charitable, eh
viens on s’barre en faisant les gamins
j’sais qu’ton cœur est véritable
tombons tous les deux dans le meilleur des ravins
viens on s’en sors, ouais
même si tu sais que j’ai mal, et ce, depuis l’enfance, eh
c’est du pareil au même, anh
prends ton âme charitable, eh
viens on s’barre en faisant les gamins
j’sais qu’ton cœur est véritable
tombons tous les deux dans le meilleur des ravins
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