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letra de gi joe - l'institut

[intro]
– certaines personnes tirent leur vie d’une fiction
– eh nique ta…
– tu vois ce que je veux dire?
– c’est un mytho, c’est un mytho
– et quand la réalité leur met des baffes
– je le connais par cœur
– violent
-eh c-sses toi la
viens, viens, viens
gi joe viens,viens
– hahaha

[couplet 1 : insolent]
si je sors ma queue, c’est pas pour jouer au billard gros
arrête ton fiasco, on sait que tu billaves trop
tu joues les gi joe, toi et ta biatch gros
en un gorgio armani jeans, dans un pet-t gamos
evidemment que t’as la vie d’un autre
ton visage ment chaque fois que nos regards se frôlent
je sais que tu l’aimes, mais sors de ce putain de rôle
tu billaves trop
t’as fait un truc de ouf
gi joe, gi joe
ta mère tu l’as giflée à cause d’une biatch
tu billaves trop
gi joe
t’es pas le dernier ni le premier à qui elle dit “adios”

[refrain] (x2)
tu t’prends pour un gi joe, gi joe
ta meuf s’est fait giflée, t’as fait la biatch gros
tu billaves trop, tu te prends pour un gi joe
t’as plus besoin de parler, dis “adios”

[couplet 2 : john k]
je connais toutes sortes de gi joe à la fois dépressif et mytho
qui s’invente une vie à chaque seconde, paro, limite schyzo’
avec un rap copié/collé de son équipe avec des ciseaux
pour revenir à la source, comment faire sans ton sceau d’eau ?
-ssis, souvent je ne parle pas, car j’observe la vérité
ne joue pas avec la rue, car ceux qui la fréquentent ne l’ont pas mérité
pet-t branleur, en gangster tu t’es déguisé
sais-tu que la vie n’est pas comme ta putain de série télévisée ?

[refrain] (x2)

[couplet 3 : dr bériz]
pet-t bénéfique, parler d’un business plutôt lucratif
avant qu’un troisième “ah, les gars” sont pointés par des trop nocifs
et cite des blases, sûr de lui
pas de sueur jusqu’à la fin du film
les mains dans les poches, et parle de choses plutôt magnifiques
mais sa gueule est crade (sa gueule est crade)
ça se voit qu’il en bave (ça se voit qu’il en bave)
il fait comprendre qu’il veut juste quelques pièces, ensuite il se barre
fonce à l’épicerie, pète un flash
le ul-c’ sur le béton, il revoie des flashs
de sa life
gorgée
fonce-dé’
tu te reconnais ?
voilà la vie du gi joe en restant concret
moi c’est bérize, j’suis calme et posé, pourtant chargé
j’dors et m’vé-le’ pour être soigné
t’aurais kiffé n’jamais me croiser
cousin

[refrain] (x2)

paroles rédigées et expliquées par la communauté rapg*nius france

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