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letra de trop - leys

[paroles de “trop”]

[couplet 1]
on remet les balles, j’ai la ford, ouais
les hameçons sont à ma portée
et comme [?], j’regarde mon portrait
ils font du bruit, téma le cortège
j’ai jamais kiffé les soirées d’hypocrite
j’suis pas l’genre de meuf qui restera poli
t’as coupé mes ailes, de mes bras j’ai volé
j’ai vu la méchanceté de l’homme, j’ai vomi (dah)
ça parle de changer mon style pour rentrer dans les rangs (ouais)
mais deux ans après, j’vois ces personnes galoper comme des chiens errants
et j’t’ai d’jà dit: le mal que j’leur ai fait, moi j’ai d’jà payé (ouais, ouais)
et j’t’ai d’jà dit: évite de faire le grossiste quand t’es sur la paille (t’as rien, t’as rien)
ils casseront tes rêves si tu leur en fais part
te donnent pas de force que si tu leur fais peur
“moi j’ferais pas ça si j’étais à ta place”
t’es pas à ma place, tu peux fermer ta gueule
si ça demande des feats en mon nom
quoi ? j’suis pas au courant quand on m’dit pas les [?]
tu connais pas mon côté sombre (moi)
le mal et le bien dorment sur mes épaules

[refrain]
le buzz éphémère et le talent reste (le buzz éphémère et le talent reste)
t’as rien si tu mises tout sur le paraître (t’as rien si tu mises tout sur le paraître)
j’ai beaucoup donné, y a pas d’avarice (j’ai beaucoup donné, y a pas d’avarice)
je maquille les murder comme annalise (je maquille les murder comme annalise)
[post-refrain]
j’les vois venir, j’les écoute tous
le flow est tellement sale que j’vois qu’la police est sur mes trousses
j’vais me les faire, j’suis trop déter’
sont tellement bêtes qu’ils me demandent c’est quand qu’j’vais cer-per

[couplet 2]
quand j’ai la balle, faut que j’la mette
si t’es pété comme mon ex, c’est sûr que j’reviendrai jamais (jamais)
j’ai fleuri parmi les z donc c’est royal quand j’me ramène (bah ouais)
sont frustrés de mon peu-ra donc mettent du temps pour se l’admettre, réussite donne goût amer
c’est ta daronne qu’on va impressionner
ça fait longtemps qu’on n’a plus la pression (ouais)
j’les vois tous en train de se questionner, se demandent si le diable me ressemble, je
sais que tu poucaves en gav
le cerveau rempli mais le cœur est vide
c’est pas nos vies qu’on viendra étaler
personne ne connaît ce qu’on établit
ils m’voient marcher vers le sommet, oh c’est impressionnant
on m’a dit qu’le succès, c’était plus qu’emprisonnant
j’te fais d’l’effet donc en [?], j’te vois frissonner
t’es radin donc t’aimes bien dire qu’elles t’ont michtonné

- leys

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