letra de foulard - lejasp zadig
[paroles de “foulard” de lejasp zadig]
[intro]
jour, nuit, 7-8
quand nos ennuis [?]
jour, nuit, 7-8
quand nos ennuis [?]
[couplet 1]
plus de vice que d’amour dans nos mains
[?] tout en réalité
différents [ou rien ?], vie ces vies dans la merde, côtoie la rue comme les chiens l’soir
nos espoirs se croisent dans des verres à boire ou sur des bancs de bois
même ville, mêmes histoires, qu’on soit blanc ou noir
pièce de théâtre où je serais dans l’décor
place du théâtre côtoyée pas complètement sobre
dеs [dix ?], des mots à décrire cellеs et ceux que je côtoie
c’est loin d’être le crime, la paix mais des choses juste à côté de toi
j’ai beau être moi, j’suis un peu comme toi, un peu comme eux, un peu comme quoi on sait qu’le vie est belle
on s’éclaire dans le noir avec la fumée des clopes et d’nos tehs
car ensemble on voit mieux les yeux les aimer eux
c’est pour les bons, les pauvres et les pétasses
passionnément, à la folie, j’ai arraché les pétales et fumer des pétards sur les dalles de ma ville
en équipe seul quand on foutait la pagaille dans les rues d’la nuit
on sentait grandir l’envie de vivre mais l’ennuie c’est comme le pétou, on l’a tout le temps donc on voulait foutre le camp
et moi mon clan c’était mon 7-8
mon équipe, mon éthique et mon sang
les gars pour qui j’écris des rimes dans mes sons
[?] les sons d’la ville, c’est-à-dire la ruse mais mais l’bon sens
violents comme des russes quand il s’agit d’taper l’but mais sans laisser de [?]
[pont]
soixante-huit-quatre-cent, buste, buste
soixante-huit-quatre-cent, buste, buste
soixante-huit-quatre-cent
soixante-huit-quatre-cent
soixante-huit-quatre-cent, cent
soixante-huit-quatre-cent
soixante-huit-quatre-cent
[couplet 2]
dans les banlieues en béton où toutes les maisons se ressemblent
c’est l’malheur que nous élevons car toutes les peines se recentrent
des bonheurs dans des illusions, des malheurs dans la vérité
les lignes ne sont qu’fusion d’avenir mort et prémédité
à qui la faute ? acquis raison de vivre ici ou s’émanciper
mais on déteste la trahison, les hommes savent bien où ils sont nés
j’avoue parfois j’pense à la fuire comme dans des rêves mal lunés
mais à part toi qui nous enivres, voir tes hivers et tes étés
t’es ma banlieue, t’es mon épée, celle qui fend l’cœur de mes jours
dans tes bras on s’y fait à peine, balader des maisons autours
c’est ton nom que j’ai scandé dans mes [n.a ?], dans mes amours
tu n’es qu’une station [descendue ?] pour ceux qui continuent la route
continuellement, des frères se tuent, tirent dessus, les problèmes t’rattrapent si tu cours
c’est la merde j’me fuis moi-même, avec deux-trois potes dans la caisse je roule
le ciel est gris, la beuh est verte, l’amour j’y pense que quand le feu est rouge
moi dans ma ville tout le monde se connaît à la hill on s’voit plus dans la foule
j’en connais certaines qui s’cachent dans la tise et d’autres derrières un foulard
les langues s’délient quand les langues se mêlent et [l’eau aussi ?], ah, starfoullah
les langues s’délient quand les langues se mêlent et [l’eau coule aussi ?], ah starfoullah
j’en connais certaines qui s’cachent dans la tise et d’autres derrières un foulard
et d’autres derrières un foulard
[outro]
soixante-huit-quatre-cent, quand nos ennuies virevoltent
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