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letra de adieu, premiere - lejasp zadig

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[paroles de “adieu, première” de lejasp zadig]

[intro]
lejasp zadig
hey

[couplet 1]
rhabiller nos rêves, dénuder des filles
c’est la vie qu’on mène, c’est difficile
et s’élargit quand même, c’est, c’est clairement la vie qu’on aime
sans concert pour rhabiller les filles ‘zin
les concerts tournent, les sons nous consolent
on se sent con de dire qu’on ne s’aime pas mais c’est les vérités
austère, austère, hostile, le style
c’est lе même, le même, dans la mеrde ou chez les riches
habillé en gris, habillé en merde, pareil, les baskets dont j’suis la [mère ?]

dénuder les filles, rhabiller nos espoirs, c’est la vie qu’on aime
c’est, c’est la vie qu’on mène, c’est…

[couplet 2]
et j’croque la vie avec les dents, avec des champs, passant
tes pensés qui voient que j’ai gé-chan
t’as pas plein [?] mais parfois c’est aussi les vêtements
si t’aimes la thune et mon pote, évite-moi
j’étais vraiment en manque, je t’aurais aimé pour encore moins
j’voudrais qu’toi [?] plus qu’un investiss-m-nt
les imbéciles mentent, les imbéciles pensent que tu ne l’aimes pas
y a trop de bêtises, nique sa mère-grand
[?] et le temps
saison mourante comme la multi’ ou nos parents
c’est pareil, c’est pas drôle, le malheur est courant, comme j’ai couru pour la peine avec la foi du coran
et le corps vide avec comme bouche le bruit des torrents
les yeux écarlates font naître des fleurs comme le printemps
pas [?] parfums mais leurs [hommes ?] fanent comme les [?]
tenue lassante mais ses mots sont pourpres
on aimerait pour que ses seins [s’révèlent ?] enlever son dos-nu
mais si on la tape, [?], elle ne parlerait plus
et si elle mourait, elle nous dirait pas un mot de plus
elle voudrait baiser facilement alors insulte la fille de pute
étonnement quand t’es en manque de thune, les amis tisent, le bonheur fume les thunes et toi t’allumerais seul dans le désert au milieu des dunes
les corps ondulent pour des thunes dès qu’on tue
f-ck, j’vois pas la lumière du jour enfermé dans un stud’
les policiers sont humains, fument les mêmes herbes et les mêmes stup’
j’sais plus qui j’suis, la saveur du monde a un goût crû pas comme des suisses
un avis, un combat pour des vertus
les ministres en parlent, on aimera les vergetures, c’est la ligne, véridique ou par la classe sociale impacte le vécu
pauvreté dans la rue continue après les fermetures des boîtes et des clubs de culs (héro)
dans un parking au froid, les hivers se font rudes
réchauffer le cœur des hommes seulement avec des alcools russes
qui connaît les ruses, qui connaît la thune
qui sait ce qu’on a vu, qui sait de quoi on abuse, qui sait ce qu’on a bu
on marchera dans les rues avec du son, ça remplacera bien le bus, ça remplacera bien le [buz ?]
même les humeurs, les vérités s’enchaînent
conjuguer nos verbes et nos vertus, j’enchaîne deux clopes pour profiter d’la rue
la vie est belle même si [?] des bonheurs endormi en bagnole
plaisir n’est pas une ville mais seulement [?]
anarchiste on est plus
regarde maxime dans les yeux, regarde maxime dans les yeux
[outro]
j’ai dit : “adieu”, j’ai dit : “adieu”
adieu adieu
adieu mes [dent ?], adieu mes peines et mes espoirs [?]

[?]

regarde maxime dans les yeux, dans les yeux

[?]

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