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letra de sous l'eau - lapin(e) france

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(verse 1)
je me perds dans l’heure, des pensées se tordent
les poids s’accumulent, tout m’écrase et m’absorbe
le monde flou, tourne sans bruit
j’observe de loin, mais rien ne s’écrit

pris dans l’air lourd, je cherche à m’envoler
le brouillard s’étire, la sortie se plie
je cours en rond, les réponses me fuient
les questions m’encerclent, le vide est infini

(chorus)
je flotte sous l’eau, sans souffle, sans peau
les vagues dansent, m’embrassent, me noient
dans ce rêve trop vaste, je me perds sans repos
la tristesse glisse, et je ne la lâche pas

(verse 2)
le plafond s’efface, la nuit sans fin s’allonge
je cherche à comprendre, mais tout se dérange
les tempêtes m’avalent, je m’y perds souvent
mon cœur résiste, mais toujours en silence

chaque ombre, un écho, murmure mes regrets
un reflet trop lourd de tout ce que j’ai fait
je tends mes mains vides, le vide m’enlace
et je plonge encore, perdu dans cette glace
(chorus)
je flotte sous l’eau, sans souffle, sans peau
les vagues dansent, m’embrassent, me noient
dans ce rêve trop vaste, je me perds sans repos
la tristesse glisse, et je ne la lâche pas

(bridge)
je cherche à sortir, mais tout est brume
l’inquiétude m’attire, l’espoir se résume
je ferme les yeux, rien ne disparaît
pris dans ce flot, je ne fais que sombrer

(chorus)
je flotte sous l’eau, sans souffle, sans peau
les vagues dansent, m’embrassent, me noient
dans ce rêve trop vaste, je me perds sans repos
la tristesse glisse…

(chorus)
je flotte sous l’eau, sans souffle, sans peau
les vagues dansent, m’embrassent, me noient
dans ce rêve trop vaste, je me perds sans repos
la tristesse…

(outro)
perdue dans la brume, je dérive sans retour
le temps s’effondre, les heures s’étirent toujours
les échos me frôlent, mais se dissipent en vain
chaque souffle pèse, chaque pas me retient
je sombre dans l’ombre, sans trace ni secours
crier dans ce vide, c’est murmurer au sourd
la lumière s’éteint, disparaît dans la nuit
et dans ce silence, je me perds sans un bruit

je laisse les courants m’enlacer sans effort
flotter dans l’oubli, et ne plus craindre le sort
laisser le temps couler, effacer tout retour
car tout ce qui reste, c’est l’ombre du parcours

letras aleatórias

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