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letra de kub school - kubry

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[paroles de “kub school”]

[refrain]
ouais, frérot, dis-moi juste: qu’est-c’qui s’passe ? (mais qu’est-c’qui passe ? mais qu’est-ce qui s’passe ?)
ouais, frérot, dis-moi juste: qu’est-c’qui s’passe ? (mais qu’est-c’qui passe ? mais qu’est-ce qui s’passe ?)
ouais, frérot, dis-moi juste: qu’est-c’qui s’passe ? (mais qu’est-c’qui passe ? mais qu’est-ce qui s’passe ?)
ouais, frérot, dis-moi juste…

[couplet 1]
putain, c’est quoi c’monde ? j’deviens paro
j’me méfie, j’marche
du coin d’l’œil, j’guette mon ombre
a chaque phrase, j’dépasse un rappeur, peu importe le nombre
y a ceux qui font pousser d’la beuh et ceux qui poussent la fonte
ceux qui soulèvent des poids, ceux qui t’soulèvent ta mère
on veut juste faire du sale, nique sa mère un salaire
j’laisserai une trace indélébile, non effaçable (an)
vesqui les schmitts en soum-soum (gang), sous mes loups mufasa
par terre, quelques douilles, un cadavre dans le coin (ouais)
en 2-4-6 une paire de couilles, en 3.5.7. un père en moins
la prochaine fois, tu paieras plus, d’la gentillesse t’en verras moins
j’suis sur le qui-vive, vu que qui vivra verra, pas d’quiproquo
une instru old school, f-ck la new era
dans les contes de fées, c’est nous les rats
tmax dans la ville, j’vais faire une mohamed mais
j’vais pas dire son blase mais j’en ai [?], boy
[refrain]
ouais, frérot, dis-moi juste: qu’est-c’qui s’passe ? (mais qu’est-c’qui passe ? mais qu’est-ce qui s’passe ?)
ouais, frérot, dis-moi juste: qu’est-c’qui s’passe ? (mais qu’est-c’qui passe ? mais qu’est-ce qui s’passe ?)
ouais, frérot, dis-moi juste: qu’est-c’qui s’passe ? (mais qu’est-c’qui passe ? mais qu’est-ce qui s’passe ?)
ouais, frérot, dis-moi juste qu’est-c’qui s’passe

[outro]
on va partir en mode gang, là, tout d’suite
vas-y laisse tourner
gang

[intro]
représente
9.2 9.2 sud (c’est ça)
représente, an
représente, hein (yeah)
représente, an
hein

[couplet unique]
accordez-moi un peu d’temps
pour que j’puisse rappeler le passé
l’époque, où les bâtards ne pouvaient pas s’déplacer
avant, ça arrachait tout
mais ça avait des valeurs
maintenant, ça arrache du pq, j’ai appris ça tout à l’heure
c’t’époque est révolue, comme les tête-à-tête dans la rue
révolue comme le rap, jugé au niveau, pas aux vues
c’est encore moi qui frappe, qui tape, distribue des baffes et des claques
débarquement dans des ébats et mets fin au débat
les balances s’faisaient discrets
maintenant font du rap
mais bon, on oublie tout avec le cash
ça portait les courses des daronnes, s’portait garant pour les frères au placard
regarde la sœur d’un poto et ça finit en cocard
j’me fais discret, car ce monde part en illes-cou
la première personne à toucher mes illes-cou, c’était un feukeu
donc c’est normal que quand j’les croise avec le smile, un grand f-ck eux
j’les prends à l’envers, à l’endroit, bien sûr qu’j’leur fais des têtes à queue
tête à claques, prends tes clics et tes clacs
tu viens m’sucer la bite alors qu’tu cries partout que j’suis claqué
tête à claques, prends tes clics et tes clacs
tu viens m’sucer la bite alors qu’tu cries partout que j’suis claqué
old school, négo

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