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letra de l'ombre apparaît - kryptoo (fra)

[paroles de “l’ombre apparaît”]

[intro]
ce qu’elle veut lui dire c’est : “si tu m’aimes, accepte moi comme je suis car je ne changerai pas, accepte moi comme je suis et je t’accepterai comme tu es”

[couplet unique]
j’entends le mal (j’entends le mal) se balader dans nos couloirs
j’entends les grosses gueules qui jactent et iblis qui veut ma mort
le mal qui monte l’escalier, j’espère qu’il tombera, négro
le kryptonien, je monte les paliers, t’espères que je le ferai pas, négro ?
j’sais c’que tu veux mais j’suis programmé à faire l’inverse
programmé à fuir l’averse pourtant c’est moi qu’attire l’averse
j’écris un texte, je parle de ma vie et de ma planète
dans ma bulle, je vise le sommet mais le sommet c’est ma planète
marche vite avant que la mort te prenne
avant que la ville me craigne, j’serai au sommet comme mon père
les esprits marchent sur le toit du monde, qu’est ce que t’es immonde
et tu te rappelles l’époque où tu me disais qu’j’étais immonde
et puis je marcherai dans tes rêves pour être dans ta tête
pour être dans ta tête, c’est moi le renoi à ta fête
quand je parle au ciel, j’dis : “désolé, j’veux esquiver les flammes”
mais pour mon premier show dans les loges je veux une dizaine de femme quand même (une dizaine)
j’sais pas si je retrouverai une femme comme elle (une femme comme elle)
elle me disait je t’aime quand même
euh peut être mais… je, je t’aime moi
et comme lupin, je volerai le coeur de la princesse dans le bal
og kryptoo, je prend la balle, je sais que l’or, on l’a pas encore
encore un soir où la bédave et le zod l’emporte
protèges la tienne gros, avant de venir casser ma porte
je suis pas rapide mais en neuf secondes t’es mort
je bois un verre avec mes morts, s’te plait rentres, t’as pas vu l’heure (wow)
s’te plait rentres, t’as pas vu l’heure (nan nan, wow)
[refrain]
j’me sens si bien
j’me sens bizarre quand l’humain apparaît
j’aime pas quand l’ombre apparaît
si tu me mens gros, j’serai plus pareil
j’me sens si bien
j’me sens bizarre quand l’humain apparaît
l’humain apparaît, l’humain apparaît
j’me sens si bien
j’me sens bizarre quand l’humain apparaît
j’aime pas quand l’ombre apparaît
si tu me mens gros, j’serai plus pareil
j’me sens si bien
j’me sens bizarre quand l’humain apparaît
l’humain apparaît, l’humain apparaît
j’me sens si bien
j’me sens bizarre quand l’humain apparaît
j’aime pas quand l’ombre apparaît
si tu me mens gros, j’serai plus pareil
j’me sens si bien
j’me sens bizarre quand l’humain apparaît
l’humain apparaît, l’humain apparaît

[outro]
et comment reconnais-t-on un grand amour ?
le jour où l’on s’aperçoit que le seul être au monde qui peut vous consoler c’est celui qui vous a fait mal
alors, on sait qu’on est un couple
y a-t-il quelqu’un parmi vous qui [?] pour préférer son bonheur aux siens
pour le laisser vivre à son rythme, pour pleurer de ses déceptions, rire de ses joies
je terminerai avec ses mots d’alfred de musset : “tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuelles, toutes les femmes sont perfides, vaniteuses, artificieuses, curieuses et dépravées mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de ses deux êtres si imparfaits et si affreux, c’est dans [?]

- kryptoo fra

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