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letra de chambre 122 - koba lad

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[intro]
narcos

[couplet 1]
dans la chambre 122 (du tel-hô), ta salope m’attend les sses-fé à l’air (les sses-fé à l’air)
j’vais la rejoindre t’à l’heure, j’suis en showcase j’récupère un salaire
(un gros billet)
pour l’instant, ça s’p-sse, j’suis resté serein, vrai, humble et peace (j’suis toujours vrai)
du moment que j’gratte ma pièce et le seven binks a prit toute la place
et toutes les couleurs, toutes les saveurs (toutes les saveurs), faut mettre le bon prix pour qu’tu savoures (tu savoures)
mon cerveau, d’mes couilles j’me suis servi (me suis servi), et j’me suis jamais mélangé aux suiveurs (aux suiveurs)
la peufra, c’est nous qui l’a ramenons, maintenant, c’est youtube qui nous rémunère (nous paie)
et coupe, recoupe, recoupe, y’en a -ssez pour toute la vie
elle-elle veut que j’l’attrape par les veuchs, c’que j’veux, c’est cher-cra dans sa bouche (sa bouche)
c’est l’sh-t qui nous a rendu moche (moche), les faux-payeurs qui nous rendent fous
les descentes de keuf sur le four, le manque d’argent fait rentrer tard (tard)
si t’es mon frère, je tire, j’te donne mon dos si t’es un traître (un traître)

[pré-refrain]
t’as cru qu’on allait s’raconter nos vies jusqu’à quand ? (jusqu’à quand ?)
dans mes dm insta’, j’arrive pas à choisir laquelle (laquelle)
j’regarde encore et j’aborde la plus bonne à ken (à ken)
si elle veut ma queue, j’vais la ramener dans l’premier hôtel

[refrain]
une fois arrivé, tu sais c’qu’il va se p-sser
si moi j’ai payé, c’est pas pour te regarder
tu te déshabilles pendant qu’j’roule un dernier joint
d’abord, m-sse-moi l’dos et ensuite j’m’occupe de toi

[couplet 2]
c’est vrai l’argent rend beau, plus de groupies, de putes, mes poches sont remplies (remplies ouais)
des gros cul qu’t’as jamais vu (nada), j’pensais ne jamais voir ça dans ma vie (ma vie ouais)
et fenzo, tu disais vrai (fenzo tu disais vrai) et mon frère, tu disais vrai (mon frère, tu disais vrai)
toujours croire en ses rêves et travailler dur pour y arriver (‘rriver)
des fois j’repense au buzz, au grec de la gare, au manque de détail (détail ouais)
et dans les jours de neige, il faut faire belek, les barrettes se c-ssent (se c-ssent ouais)
j’suis toujours dans l’fond du binks (binks), j’recompte après l’p-ssage d’un autre clicos (clicos)
j’ai pas retourné ma veste (veste), tu fais avec les miens, demande aux autres (aux autres, aux autres)
les deux pieds dans la piscine, complètement khabat sous jack honey
j’me die pendant qu’elle s’baigne, j’suis le seul à bédave dans l’hôtel
je sais que j’vais lui mettre, avant d’me coucher, j’retire la montre
j’allume un dernier pét’ avant d’l’envoyer éteindre la lumière

[pré-refrain]
t’as cru qu’on allait s’raconter nos vies jusqu’à quand ? (jusqu’à quand ?)
dans mes dm insta’, j’arrive pas à choisir laquelle (laquelle)
j’regarde encore et j’aborde la plus bonne à ken (à ken)
si elle veut ma queue, j’vais la ramener dans l’premier hôtel

[refrain] x2
une fois arrivé, tu sais c’qu’il va se p-sser
si moi j’ai payé, c’est pas pour te regarder
tu te déshabilles pendant qu’j’roule un dernier joint
d’abord, m-sse-moi l’dos et ensuite j’m’occupe de toi
une fois arrivé, tu sais c’qu’il va se p-sser
si moi j’ai payé, c’est pas pour te regarder
tu te déshabilles pendant qu’j’roule un dernier joint
d’abord, m-sse-moi l’dos et ensuite j’m’occupe de toi
et ensuite j’m’occupe de toi
et ensuite j’m’occupe de toi

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