letra de dernier souffle - kento (threcordz)
[introduction]
ouais, ouais
c’est kento enfoiré
ah ah
eh
[couplet 1]
mes pensées ne sont pas habilitées, à faire dans l’amabilité
j’vois qu’l’actualité est plein d’amalgame pour avoir un peu de crédibilité
les vérités bien cachées par vos plateaux télé remplies de débilités
réalité trafiquée, les gosses grandissent devant des pubs pleine d’ambiguïté
mentalité (mentalité) : semer le chaos pour avoir la tranquillité
pas de paix en guerre, la force ne fait pas preuve d’humilité (d’humilité)
les choix que l’on t’impose sont tous pré-fait donc limités (whoo)
des arguments qui s’opposent en effet mais les bases sont en fait imités (imités)
propos à double face comme une salope qui joue la timidité (ah ah)
débattre du réchauffement climatique dans un appart’ pris d’humidité (ouais, ouais)
y’a comme ce côté pas net, de se laisser intimider
ta perte est préméditée, vois les lois que le système applique dans leurs intimités
[refrain] x2
les regards sont noirs bien avant que tombe la nuit
j’me fais des avalanches de fumée dans lesquels j’aime être enseveli
la moral est au bord du gouffre, les cerveaux sont endormis
du premier jusqu’au dernier souffle, oui l’ami
l’homme est -sservit
[couplet 2]
le monde dans sa globalité est endetté, toujours les mêmes qui subissent la précarité
en bas la crise est une b-n-lité, mit de côté tout comme des calamités
ça bloque les frontières et nous parle d’unité, en toute impunité
réfléchis avec cupidité à des projets sans qu’on y voit l’utilité (ah ah ah)
toujours à planer, mais vite repris par la gravité (gravité)
c’est vrai qu’on n’a pas toujours pratiqué des choses sans aucune gravité
dur de se faire à l’idée qu’on aura pas la fortune des hallyday
j’ai fait de mon rap un soldat de fortune, j’m’en bats les couilles que tu ne m’es pas validé (ah ah)
la terre est un aperçu de l’enfer, les jeux sont fait (skurt, skurt)
on doit s’y faire, laisser faire des guerres s’intensifier, censées nous pacifier
moralité : quoi qu’ils disent beaucoup de bêtises, faut pas s’y fier (faut pas s’y fier)
sans parler de tise, la coupe est pleine et j’vois sonne-per pour la siffler
[refrain] x2
les regards sont noirs bien avant que tombe la nuit
j’me fais des avalanches de fumée dans lesquels j’aime être enseveli
la moral est au bord du gouffre, les cerveaux sont endormis
du premier jusqu’au dernier souffle, oui l’ami
l’homme est -sservit
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