letra de méditation - kaye koukou
180, je l’ai accepté
l’entendement de dieu est réellement la cause des choses
l’humain ne cesse de brandir l’ego, où leurs verges se sentent branchées pour un désir postérieur
le môme projette des postillons lumineux, où les songes conscients m’élèvent sur ce qui est antérieur
ton regard est terne, où est ta joie active
mérite la considération et ouvre ton cœur
sachant m’exprimer je fais que m’amuser
je considère la métaphysique des mœurs
spinoza tel un maître à fait naître mon être
j’ai refoulé mon être pour percevoir que ma façon d’être
prisonnier de mon égo, j’ai médité sur le soi
relater sur la definition vi. , l’idée de mon corps est étonnée
ne percevant que l’imaginaire, finitude déraisonnée
tu trouves la substance finie, divisible et composé de partie attentionne ton esprit à ce que la substance est pour l’entendement, alors tu la trouveras infinie, unique et indivisible
mélancolie du tempérament, berner par la probité
couillonner par le moi, séduis de joie p-ssive
j’ai sondé l’être sans breakthrough
emberlificoté par ma propre pensée, j’ai empaumé mon milieu fanatisé de causes extérieur, tu te prives de ce qui est deep -ssujettis pendant l’ascension j’ai dénudé le game et j’ai révélé sa façade pour discerner que la clarté
hanté, je fuis la servitude, réfutant mon libre arbitre
je me suis remis en cause, où j’ai distingué que les causes étaient déterminées, alors je ne fuis pas ce qui est à venir puisque mon avenir est déterminé
accepte, accepte, accepte l’éternel retour
où tu n’auras recours qu’à un lâcher-prise
reclus par mes p-ssions
le bien ne fait que relater le mal
j’ai réalisé que mes vices s’-ssocient à la déraison
alors je jouis de la vertu pour abolir ma p-ssivité
tel le principe d’auparavant
la liberté m’a vu exclure l’arbitre
plus de main, je pompe les veines
j’en ai fini avec le règne de tristesse
mon cœur saigne, de m’attarder à ce p-ssé en vain
soulier penser pour marcher
humain penser pour nature
humain sent, humain en comprend mille autres
nature existe, nature exprime son infinité
exprimé en mode, je me sens réprimé, mode restreint
soulier conçu pour marcher, tête codée suis-je conçu ?
rire nerveux, soumissions naturelles, pensée brûlante et apaisante exprimant une finitude par la pensée de la mort, ou de l’enveloppe
naturante océan, naturé vague
tant d’existence manifestée, mes codes sont absurdés
soi ne conçoit que l’existence puisqu’il existe
existence ne pourrait se manifester en plusieurs
puisque c’est ma finitude qui conçoit les nombres
alors l’infinitude conçoit infiniment
j’ai confondu le mode à l’existence
tel un esprit faible, j’ai confondu le fini de l’infini
j’ai confondu ma liberté à ma volonté (x3)
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