letra de shadow chronicles - karonx
j’débarque dans l’game comme un missile balistique
références cryptées, mec, j’suis l’antagoniste
ils lisent sun tzu mais n’comprennent pas l’art de la guerre
moi, j’me perds dans des tomes, de tolkien à voltaire. la politique ? un théâtre de l’absurde
sorcellerie médiatique, des élites qui se bousculent
j’mets en lumière leurs complots comme un plan-séquence
lеs présidents ? juste des actеurs dans une danse. les mots sont des armes, comme disait orwell
j’écris des vers tranchants, qui marquent comme des séquelles
ma plume est acérée, chaque rime est un serment
j’gratte des pages comme kafka, dans un monde dément. j’croise des âmes perdues, des femmes aux regards d’acier
des relations jetables, sur fond de billets froissés
pas de sentiments j’reste blindé
le cœur de pierre, j’vois la rue comme un livre, chaque page est un drame
des tragédies grecques qui se jouent sous les lames
ils parlent de loyauté, mais leurs actes les cond-mnent
j’suis un phénix des bas-fonds, j’renais dans les flammes
le savoir est une arme, mais l’ignorance est un virus
l’humanité en déclin, j’vois l’avenir comme un terminus
les écrans hypnotisent, matrix est devenu réel
on vit dans des cages de verre, loin du ciel. l’élite joue aux marionnettistes, tire les ficelles
j’-n-lyse les médias comme on décortique orwell
les lois sont des chaînes, déguisées en liberté
j’décrypte chaque discours, comme des pages d’hemingway. j’rêve d’un empire, bâti sur des fondations en acier
les sentiments ? un luxe pour ceux qui veulent s’attacher
j’compte les corps laissés derrière, des cœurs brisés
dans ce jeu de la séduction, j’suis le dernier à parler. les blockbusters mentent, la réalité est trop crue
les films de scorsese reflètent plus la rue
les dialogues de tarantino dans chaque transaction
là où la vie vaut moins qu’une fausse accusation. la rue est une scène où les rôles sont bien définis
le silence est d’or, mais la parole est un fusil
chaque mot est une balle, chaque rime un impact
j’découpe la concurrence, ma plume est un exacto. l’amour ? juste un concept, inventé pour distraire
j’laisse des cœurs sur la route, j’avance sans m’retourner en arrière
le cœur de pierre, j’brise leurs cœurs sans pitié
j’suis dans l’ombre, là où la lumière masque les tâches
j’me plonge dans des pages, comme un soldat dans une mer
les livres sont des armes, la connaissance est une guerre
j’vois le monde comme un puzzle, chaque pièce est une intrigue
mais la vérité ? cachée dans les coins sombres, loin des ligues. les rues racontent des histoires, comme des romans policiers
les cadavres s’accumulent, les ruelles sont des dossiers
les rappeurs parlent de loyauté, mais trahissent pour de l’or
moi, j’reste fidèle à la rime, à la plume, à mon sort. j’parle en énigmes, j’codifie mes pensées
les relations sont des jeux, l’amour est une farce
j’prends ce qu’il y a à prendre, laisse derrière moi le pire. les livres sont des refuges, j’y trouve mes pensées
les films sont des évasions, des fenêtres sur l’essence
mais la rue est réelle, cruelle, sans répit
chaque ligne que j’écris, c’est mon cri de survie. j’crois qu’la politique est un miroir déformant
ils parlent de changement, mais c’est juste un autre plan
les mêmes visages, les mêmes promesses vides
le pouvoir corrompt tout, c’est une vérité insipide
les romans noirs inspirent mes nuits blanches
j’me perds dans des lignes où chaque mot tranche
j’vois la réalité en noir et blanc, comme dans un film d’auteur
la couleur est pour les rêveurs, moi, j’reste dans l’horreur. je calcule chaque pas, moi j’découpe chaque barre
je cite mes sources, moi j’mets l’savoir à part
j’apprends la misanthropie, je suis dans l’ombre
j’ressens plus rien, même quand l’amour s’effondre. la rue m’a formé, m’a appris les codes
les faux sourires, les poignards dans l’dos
j’prends c’qu’il y a à prendre, les sentiments sont un luxe
les femmes passent, mais l’orgueil reste intact, jamais je m’excuse. les films mentent, les scénarios sont écrits
j’lis entre les lignes, j’décode c’qu’ils omettent
les livres sont mes armes, les mots sont des balles
j’crache ma vérité, même si elle fait mal. l’élite joue aux échecs, les pions sont des masses
mais j’suis là pour tout brûler, tout casser dans l’impasse
j’inspire la révolte, avec la sagesse
j’apprends qu’le cœur est une faiblesse
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