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letra de aura - karonx

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j’arrive sur le beat, je suis le roi, j’m’en bats les noix, je fais ma loi
comme une frappe du pied droit, je vais tout droit
réussir, c’est croire en toi, même si c’est la hess à la fin du mois
mes démons demandent un parloir, je suis cavalier noir hanté d’une décennie noire
dans mon cerveau, c’est la guerre de troie, chaque verre me conduit vers un chemin plus étroit

je me lève chaque matin, j’ai des cernes sous les yeux
l’ambition me guide, malgré les coups qui traversent les cieux
les quartiers résonnent des cris de ceux qui n’ont pas eu mieux
on veut toucher les étoiles, quitte à s’abîmer les yeux

je cherche la paix dans ce monde en impasse. le succès, un mirage, illusion d’un monde en carcasse
ma volonté reste intacte, je vais dépasser l’impasse
des jeunes avec des seringues sur le sol racontent des vies en débris, des rêves brisés, l’addiction en guise de mépris
illusion d’un bonheur éphémère, chaque dose les rapproche du suicide
les journées passent, les nuits se ressemblent, les rêves se brisent, les souvenirs s’assemblent. ici-bas, on lutte et on tremble

je me lève chaque matin, j’ai des cernes sous les yeux
l’ambition me guide, malgré les coups qui traversent les cieux
les quartiers résonnent des cris de ceux qui n’ont pas eu mieux
on veut toucher les étoiles, quitte à s’abîmer les yeux

elle a juré d’être là, quoi qu’il en soit, mais la trahison se dévoile dans l’ombre et le froid
que t’es un mec bien, tout le monde te le dira, mais au fond t’es qu’un rat
tu le sauras quand ton histoire finira, elle s’en ira. dis-toi que c’est le karma et que seule une vérité incertaine demeurera
j’ai écrit le destin à l’encre de ses yeux miel, quitte à me brûler les ailes
au fond, je me demande toujours ce qui n’allait pas chez elle, mais loin des yeux, près du cœur, dites-lui que je vais toujours veiller sur elle
je me lève chaque matin, j’ai des cernes sous les yeux
l’ambition me guide, malgré les coups qui traversent les cieux
les quartiers résonnent des cris de ceux qui n’ont pas eu mieux
on veut toucher les étoiles, quitte à s’abîmer les yeux

trop d’idées en place, à mettre en œuvre pour m’approprier une place, dans un monde où réussir, c’est laisser une trace
je regarde l’esp-ce avec audace en demandant grâce
ma mère, y a rien qui la remplace, chaque victoire mérite son temple
les vrais partent tôt, les faux restent en surface. je suis pas de ceux qui s’effondrent sous le poids, rien à foutre de vos putains de lois
j’ai déjà ma putain de foi, dans ma vie, je suis le putain de roi

je me lève chaque matin, j’ai des cernes sous les yeux
l’ambition me guide, malgré les coups qui traversent les cieux
les quartiers résonnent des cris de ceux qui n’ont pas eu mieux
on veut toucher les étoiles, quitte à s’abîmer les yeux

j’arrive sur le beat, je suis le roi, j’m’en bats les noix, je fais ma loi
comme une frappe du pied droit, je vais tout droit
réussir, c’est croire en toi, même si c’est la hess à la fin du mois
mes démons demandent un parloir, je suis cavalier noir hanté d’une décennie noire
dans mon cerveau, c’est la guerre de troie, chaque verre me conduit vers un chemin plus étroit

je me lève chaque matin, j’ai des cernes sous les yeux
l’ambition me guide, malgré les coups qui traversent les cieux
les quartiers résonnent des cris de ceux qui n’ont pas eu mieux
on veut toucher les étoiles, quitte à s’abîmer les yeux
je cherche la paix dans ce monde en impasse. le succès, un mirage, illusion d’un monde en carcasse
ma volonté reste intacte, je vais dépasser l’impasse
des jeunes avec des seringues sur le sol racontent des vies en débris, des rêves brisés, l’addiction en guise de mépris
illusion d’un bonheur éphémère, chaque dose les rapproche du suicide
les journées passent, les nuits se ressemblent, les rêves se brisent, les souvenirs s’assemblent. ici-bas, on lutte et on tremble

je me lève chaque matin, j’ai des cernes sous les yeux
l’ambition me guide, malgré les coups qui traversent les cieux
les quartiers résonnent des cris de ceux qui n’ont pas eu mieux
on veut toucher les étoiles, quitte à s’abîmer les yeux

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