letra de reliques - kamu
[intro]
je me sens comme un ovni
mais au fond d’oim, un homme vit
pour me sentir exister
j’attends pas une autre vie
je me sens comme un ovni
mais au fond d’oim, un homme vit
pour me sentir exister
j’attends pas une autre vie
[couplet]
la réussite, un plafond
depuis pet-t, je zieute la fresque
rêve de récits chevaleresque
je mise mon jeux sur l’après
j’attends que la roue tourne
pas celles du 227
cette vie, j’veux la prendre sans pincette
seul, je veux être roi, il n’y en a peu sans princesse
dans ma tête, c’est l’h-llfest, sensations sont néfastes
j’aimerais qu’on efface mais d’nos peines, je reste près
je veux bien qu’on persévère
je te laisserai prendre mon cœur pour que tu prennes tes aises
des heures dans le métro et ça sans faire un pas
je vois mon reflet et mes buts et ça sans faire la paire
tout ça sent fort la perte
il faut que je saute et ça sans faire un plat
je pars, maman dort, je rentre, maman dort
je vis pour l’amitié
si elle veut se lamenter, moi j’aurai l’âme en tort
des défauts, l’homme en tient donc j’allume le moteur
plus d’échec que d’essais, je méprise le ratio
cartes en main je maitrise pour ne plus voir mère triste
je médite et rêve de standing ovation
[pont]
je veux pas sombrer dans la folie
mais c’est ainsi que le son me plait dans l’agonie
j’ai erré dans la rue des heures
comme celui qui se fait son blé dans la chronique
j’attendrai pas que sonne le clairon
l’idée de briller m’éclairant
je voulais cueillir sa fleur, je n’ai reçu qu’les ronces
[couplet]
j’ai un empire à bâtir
ici, tout est trop froid, ma confiance patine
besoin de mal-être, pour écrire, je m’affecte
mais à chaque fois, c’est bien eux que je vise par tir
les souvenirs me submergent
mais le p-ssé qui c’est?
rien ne m’arrête, il n’y a pas -ssez de blizzard
le p-ssé qui c’est ? je sais qu’il est pas -ssez aguisé
parfois, je me demande si j’ai bien fait
souvent, je me dis que j’ai rien fait
sur les rrains-té, j’erre en fait, j’en suis éreinté
je me revois souffrir
tout s’arrête si j’vois maman sourire
quelques heures où je me marre en souvenirs
j’ai tant peur qu’il y ait du noir sous l’t-tre
je laisse mes pensées aller
p-ssé derrière moi pour la force que j’ai puisé au loin
les lumières s’éteignent
je me souviens de l’eden sur sa peau mi-ébène
je vais scier les cieux les deux mains liées
mon rêve, je l’effleure du bout des doigts
je n’ai que les miens, je ne vais pas m’allier
je suis là pour mailler et non pour m’aligner
je vois la foule aliennée
je deviens fou à lier, né
pour fouler les sommets
rien pour me raisonner, je vois ma folie aller
aux premiers rayons, ils me parlaient qu’on se f-sse des p-sses, qui sont-ils?
trou noir pour perspective, je vois le point qui s’éteint
j’en ai mal au crâne, je pense aux balles qui sautillent
[outro]
les roses ont brûlé
sur le cœur, un brolique
ma trace dans ce projet et si je tiens pas le prochain
prenez tout ce que je donne ici comme des reliques
les roses ont brûlé
sur le cœur, un brolique
ma trace dans ce projet et si je tiens pas le prochain
prenez tout ce que je donne ici comme des reliques
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