letra de deadline - kamas (fra)
[paroles de “deadline”]
[intro]
on m’a dit “n’écoute pas ceux qui veulent te donner quand tu touches le sommet”
on m’a dit “n’écoute pas ceux qui veulent te donner quand tu touches le sommet”
[couplet 1]
pour avancer, faut qu’j’arrête de rêver les yeux ouverts
j’revois l’visage de mon daron qui s’élève au ciel, personne prenait de ses nouvelles
mon dieu mais qu’est-ce qu’on est seuls, le nez pointé vers le sommet
c’est dur d’encaisser le seum mais j’suis fané les cinq premiers jours de la semaine
donc j’ai des rêves à assumer
ça m’fait vivre, c’est comme un chemin qui me permet d’m’écarter des autres
pas ta place auprès des hommes, t’aimes les silences et les zones
j’ressens les âmes et les ondes
j’suis très loin d’ces humains qui s’agitent et gravitent autour de moi
c’est soit tu te lèves et tu t’allumes, soit tu passes le reste de ta vie coincé dans le noir
[refrain]
avant même d’la connaître, j’suis prêt à la perdre
j’suis très loin des geavons qui donnent par intérêt
c’est ce qui me guide à ma perte
j’ai tant donné, tant donné, j’le regrette
noir comme le sentiment qu’on me greffe
j’me sens vivant quand j’ai pas de deadline
j’me sens chez moi quand ça parle grec
avant même d’la connaître, j’suis prêt à la perdre
j’suis très loin des geavons qui donnent par intérêt
c’est ce qui me guide à ma perte
j’ai tant donné, tant donné, j’le regrette
noir comme le sentiment qu’on me greffe
j’me sens vivant quand j’ai pas de deadline
j’me sens chez moi quand ça parle grec
[couplet 2]
on m’a dit “n’écoute pas ceux qui veulent te donner quand tu touches le sommet”
j’aime quand la couleur d’son âme, elle est solaire
j’irais sans toi, j’suis désolé, j’suis là pour mes potes
c’est ceux que j’connais d’puis l’époque quand j’n’avais rien dans les poches
pas très bien dans mes bottes depuis qu’t’as fermé la porte
j’prends tout c’que le ciel m’apporte et j’l’ai pas semé
r’garde tous mes chemins sont p-rs-més d’embûches
au moins dix-sept par semaine
certains voudraient surfer sur ma vibe
m’en veux pas, j’suis seul, j’suis dans mes bails
t’apprends tellement dans les trauma’
cinq heures du tin-m’ dans paname et je colmate
si jeune, j’ai connu la mort et les hommages
j’sais qu’on aurait pu s’aimer, ouais c’est dommage
[refrain]
avant même d’la connaître, j’suis prêt à la perdre
j’suis très loin des geavons qui donnent par intérêt
c’est ce qui me guide à ma perte
j’ai tant donné, tant donné, j’le regrette
noir comme le sentiment qu’on me greffe
j’me sens vivant quand j’ai pas de deadline
j’me sens chez moi quand ça parle grec
avant même d’la connaître, j’suis prêt à la perdre
j’suis très loin des geavons qui donnent par intérêt
c’est ce qui me guide à ma perte
j’ai tant donné, tant donné, j’le regrette
noir comme le sentiment qu’on me greffe
j’me sens vivant quand j’ai pas de deadline
j’me sens chez moi quand ça parle grec
[outro]
on m’a dit “n’écoute pas ceux qui veulent te donner quand tu touches le sommet”
j’aime quand la couleur d’son âme, elle est solaire
elle est solaire, couleur d’son âme, elle est solaire
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