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letra de wittner maelzel - kaissin

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[paroles de “wittner maelzel”]

[couplet 1]
j’suis dans c’bail instable
où beaucoup font pire qu’le diable
où on t’regarde jump en espérant qu’tu foires dans l’sable
faut une passion ou une fixette
fixer l’hameçon, tendre l’épuisette
semer, attendre la moisson
et on s’épuise mais y’a qu’une vie
f-ck aux huissiers
et aux puissants, j’suis asservi
chaque semaine à la cité de l’horloge
y a un an j’suis dans le 95, j’revois la mort en première loge

[refrain]
j’entrevois les portes d’l’enfer
mes grands-mères me disent d’pas m’en faire
j’espère un battement à chaque réveil
du dernier jour c’est p’têt’ la veille
gris comme la couleur d’l’enfer
oui, j’ai cherché c’qu’on pouvait faire
mais c’est le contrat, faut suivre la norme
le rythme atroce du métronome
j’attendais l’signe du ciel
briser le wittner maelzel
chaque fois j’brûle mes ailes
et c’est moi qui fous l’diesel
gris comme la couleur d’l’enfer
oui, j’ai cherché c’qu’on pouvait faire
mais c’est le contrat, faut suivre la norme
le rythme atroce du métronome
[couplet 2]
j’entends le cœur, percu, battement
tic-tac du réveil
oui mes vingt ans n’appartiennent plus à la veille
et je t’assure, ces années d’adulte seront
grises, comme la couleur d’l’enfer
oui, j’ai cherché c’qu’on pouvait faire
mais c’est le contrat, faut suivre la norme
le rythme atroce du métronome
le rythme atroce du métro
eh, et tu sais c’que c’est d’faire partie des hommes
quand t’entends plus qu’le bruit sourd du métronome
faut qu’j’le rappe avant qu’je boulométrodorme
quand la boule au ventre fait comme le s, elle devient trop énorme
encore une semaine exécrable, plus qu’cinquante ans à tirer
tout est absurde, même la syncope m’a attiré
j’sentais la mélancolie sous train d’vie horrible
moi j’me demande si être aimé serait possible

[pont]
tous les jours, compte ces battements
à trop réfléchir, tout peut nous battre
quand sonne la fin, on est comme light
on a ce pincement
peur d’être bouffé par le temps, par le vide ou par l’néant
compte ces battements
jusqu’à c’qu’on ait tous ces trous béants
le fossé d’la vie, j’suis tombé entre
dans ma casa, ces méandres
sont la cause de mes angoisses
du premier jeudi jusqu’au mercredi des cendres
j’entends les bruits d’cœur, percu
et tic-tac du réveil
oui, mes vingt ans n’appartiennent plus à la veille
j’ai attendu tout ce temps, avant aura et merveille
depuis lors, je n’ai jamais trouvé l’sommeil
et je sais ce que c’est de faire partie des hommes
de savoir que la plupart ne pensent qu’aux sommes
que tout restera immobile
excepté le métronome
[refrain]
j’entrevois les portes d’l’enfer
mes grands-mères me disent d’pas m’en faire
j’espère un battement à chaque réveil
du dernier jour c’est p’têt’ la veille
gris comme la couleur d’l’enfer
oui, j’ai cherché c’qu’on pouvait faire
mais c’est le contrat, faut suivre la norme
le rythme atroce du métronome
j’attendais l’signe du ciel
briser le wittner maelzel
chaque fois j’brûle mes ailes
et c’est moi qui fous l’diesel
gris comme la couleur d’l’enfer
oui, j’ai cherché c’qu’on pouvait faire
mais c’est le contrat, faut suivre la norme
le rythme atroce du métronome
le gris, couleur d’l’enfer…

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