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letra de outro (dernier cumulonimbus) - kaïoshin

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[produit par wizman]

[intro]
” most of us go through life pretending that we don’t have any special goals or ambitions or desires when really deep down inside we do really want more. we block ourselves and we use these words almost like we’re in a trance, like we’re sleep-walking through life, that we find ways to cancel out our dreams, that a lot of things that we want to do, a lot of places we would like to go, a lot of things we would like to experience, and we just stop at “but.”
but will cause you to hide out behind fear, but will cause you to come up with all types of excuses that you can validate your inaction and not acting on your dream. ”

[couplet 1]
de retour du champs de bataille je vais retrouver ma “okāsan”
on a pas semé la pagaille mais j’ai posé les mines au p-ssage pour r-ssembler les boules de cristal et exaucer mon seul veux final
je souffle et contemple l’orage, j’écoute la décision de l’oracle
destination kaïoshin kai, détermination d’un guerrier m-ssai
concentration, recherche d’une faille, des idées obscures et nombreuses m’-ssaillent
que vais-je faire de toute ma rage enfermée jusqu’à que quelqu’un me l’arrache
non, la libérer dans mes tracks et l’épuiser pour qu’elle quitte sa place

survole les rigoles des rizières
chacun de mes actes fut dérisoires mais ce fut essentiel de les faire (x2)

[refrain]
la surface de la terre s’est aplanie mais les montagnes demeurent
elles ne perdent qu’après l’accalmie et les montages d’horreur surp-ssent sa peine ne nous l’ont pas mise
formes et hommes levez vous, me rêvez vous après la panique ?
la chaos est total même s’amochie l’jolie, le taro est global, kaïoshin domine
[?] train d’années dans le tumulte on abuse
les rayons d’or percent le ciel, s’éteint le dernier c-mulonimbus

[couplet 2]
le clair, l’orage s’est rependu dans la ville des lumières et dans ses ruelles sombres je n’ai pas vu la grâce mais j’ai vu ses plus belles ombres
dans ses funestes heures là où les pucelles tombent
si tu p-sses après moi tu vas juste fumer le tonc
j’ai ma vie devant moi quand je te regarde
ma voix comme au parloir de mon âme
dans le stade on marche et on marche et on marche ensemble
dans le parc on parle qu’on à le rap dans le sang
on tiens qu’à la vie car le reste est subjectif
face à la pente on essaye de rester droit comme sur des skis
on s’en remet au rap comme si c’était le dieu
on essaye toujours de faire mieux c’est [?]

[refrain]
la surface de la terre s’est aplanie mais les montagnes demeurent
elles ne perdent qu’après l’accalmie et les montages d’horreur surp-ssent sa peine ne nous l’ont pas mise
formes et hommes relevez vous, me rêvez vous après la panique ?
la chaos est total même s’amochie l’jolie, le taro est global, kaïoshin domine
[?] train d’années dans le tumulte on abuse
les rayons d’or percent le ciel, s’éteint le dernier c-mulonimbus

[couplet 3]
septième sont les quatre cavaliers
les trompettes du jugement dernier ont mis fin à un combat sans merci
on s’enterre si vite pour des broutilles, on croupit
tout ce looping retour à la case départ et l’histoire s’achève dans le noir
un océan s’étend désormais à la surface de la terre
on décélère car cet air durera jusqu’à la fin des temps
les bâtiments de verre sont les derniers géants qui tiennent debout à genoux
les hommes ont rendu les armes
c’est l’avènement d’une vie simple débarr-ssée des -ss-ssins
le radeau des 6 survivants vogue sans périls au grès du vent
au fil du temps, il maintient son cap et ne ploie pas devant les bourrasques d’un destin opaque qui ne craint rien et suit cette lueur chancelante

[refrain]
la surface de la terre s’est aplanie mais les montagnes demeurent
elles ne perdent qu’après l’accalmie et les montages d’horreur surp-ssent sa peine ne nous l’ont pas mise
formes et hommes relevez vous, me rêvez vous après la panique ?
la chaos est total même s’amochie l’jolie, le taro est global, kaïoshin domine
[?] train d’années dans le tumulte on abuse
les rayons d’or percent le ciel, s’éteint le dernier c-mulonimbus

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