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letra de vegapunk - jungle jack

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[paroles de “vegapunk”]

[couplet 1]
wax et mégablunt, j’suis dans l’tur-fu comme vegapunk (hein)
à l’ancienne y avait d’la fil rouge et d’la skunk (hé)
le bide plein d’lean et d’mloukhiya, belleville, j’récupère un western ou un riya
potassium, phosphore, azote, jackpot (jackpot), ils pachavent sur moi comme des marmottes
fly, j’passe en rase-motte (ffiou), criave dans des gargottes
dans des bains j’barbotte, pied de beuh entre des tomates et des carottes (hé)
plus de popotte, moins d’parlotte, prépare la gue-dro comme des sandwichs
j’mets pas d’charlotte, les mcs marmonnent
brasse que du carbone, j’trainais dehors j’ai eu les sarcoptes
t’as pu m’croiser au paki ou à [aerschot ?]
des réveils fruités et des sh-ts filtrés dans des papiers sulfurisés, la weed est un p’tit déj’ de champion
j’réclame mes allocs comme une rançon, tu peux m’pomper comme du sans-plomb

[pont]
vegapunk avec le mégablunt, tu smokes la bootlegs, y a d’la cookies et d’la runtz, du jazz, d’la funk
vegapunk avec le mégablunt, tu smokes la bootleg
vegapunk avec le mégablunt, tu smokes la bootleg, y a d’la cookies et d’la runtz, du jazz, de la funk
vegapunk avec le mégablunt, tu smokes la bootlegs

[couplet 2]
ils sont sous fleury michon, nous sous whisky nippon, dans l’armoire, y a d’l’épiderme de python (boum)
tout est à la truffe ou au cbd, taff de wax, j’suis hébété (hein)
décrasse mon troisième œil sans lsd
smoke la auckland, puff grasse, poudreuse et collante
ma peau sent l’eau d’toilette polo et la crème exfoliante (hein)
j’niaks des crèmes violentes, thc dans un p’tit pot comme du baume
verre à pied rempli d’côtes-du-rhône (tchin-tchin), j’suis comme un glacier, j’remplis cône sur cône
spliff conique, sabre en granite marin et en kryptonite
veste en microfibres, les flots actionnent des presses hydrauliques, les cl-tos vibrent (splesh)
weed sous blister, j’découpe précis comme crisper, j’veux l’savoir d’un disquaire, l’armoire d’un apothicaire
visser les f-ckboys et les hipsters, marche capuché dans la street, scred
j’ai golri quand ces sales condés m’ont pris en cible, ils m’ont appréhendé
mon sac cont’nait que des croquis incompréhensibles
ces cons ont pas capté qu’j’avais des tubes à essai dans l’slip et d’autres quetrus répréhensibles
le savoir est caché comme un coffiot rempli d’or, pour affronter c’monde, il faut beaucoup d’amour et d’anticorps
j’te tiens au courant comme le transistor, la gue-dro transite fort
[outro]
même si vous êtes malade, souriez toujours à la vie, parce que par le sourire, vous allez combattre la maladie et peut être vous allez guérir. parce que si vous restez à penser à la maladie, vous allez passer l’plus dur. au revoir, bonne journée et portez vous bien.”

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