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letra de freestyle générations 27/12/2015 - jul

[couplet 1]
ouais c’est ju-ju-jul, vas-y mets le son à balle
faudrait qu’on se soude, mais tout l’monde se fait la tête
arrête de dire aux gens que je me suis fait la malle
j’pourrais te faire mal, j’traîne plus au tieks mais j’suis pas loin
mais t’inquiète j’en pense pas moins
j’trainais devant l’bloc, mon coffrage était en moins
j’disais aux clients “ici y’a l’bon, il t’met à l’ouest
il t’met à l’ouest, il t’met à l’ouest”
j’freestylais sur l’instru wild wild west
au quartier c’est l’far west, ici t’es chez nous
mok éteind tes fard wesh c’est la misère ouais
y’a des armes ouais, y’a du shit ouais
y’a d’la beuh ouais, ouais ouais ouais
viens dans my world, pourquoi tu maronnes ?
pourquoi tu parles trop ? on va t’insulter ta daronne
j’fume la beuh, j’me nique les neurones
c’est chaud c’qu’ils sont prêts à faire pour des euros
fais pas le nerveux, on a tous un cerveau
j’pourrais t’lever la vie, mais à quoi ça sert gros ?
armés comme en serbie, c’est pour bientôt
pour te fumer à l’aube, ça se couche bien tôt
toute ta grand-mère, c’est jul au synthé
j’connais bien le vice, n’essaye pas d’me feinter
le malheur m’a guinté, j’ai mis un bouclier
sur mon cœur, c’est pire qu’une porte blindée
j’pense à ma vie, elle est trop ghetto
sans casque en varadero
j’suis tranquille quand j’me ballade et oh
là j’ai presque plus un, j’repars à zéro
wesh ma gueule, wesh pélo
lève tes lunettes, ça fait intello
ça fait longtemps qu’tu cherches à guinter l’autre
j’suis content pour toi si t’as eu l’quinte lord
ça m’dégoute y’a que des fils de, que des fils de pute
là j’ai écris, ça fait longtemps qu’j’me vidais plus
mc j’suis en t-max, t’es encore en sito plus
si j’suis bloqué poto, j’vendrai mes cds aux puces
arrête de parler kalach’, t’as les mots mais pas la ganache
et tes salades, tu vas les faires à d’autres au p-ssage
trop la rage, faut qu’j’m’arrache, j’suis à bout
tu veux ma vie, mon buzz ? tiens, c’est cadeau
prends les soucis qui va avec, et reste fort si un jour ça pète
n’écoute pas les gens, ils font tout pour te détruire
ils ont vu qu’t’étais gentil, ils t’ont pris pour leur navette
la beuh elle est pas sèche et j’ai pas le grinder
j’suis arrivé dans ton poste comme une surprise dans l’kinder
j’ai trois alb-ms de prêts coffrés dans l’singer
t’as des paroles de voyous dans un corps de finger
j’suis pas bien, j’fume ma beuh devant la demi-lune
j’vois qu’des murs et des murs comme boy en cellule
j’dis tout l’temps qu’j’ai mal, crois pas qu’j’simule
ma vie a changé, j’la voyais si nulle
putain d’vida loca, viens avec moi j’t’aime bien
mais j’te nique ta maman si tu parles mal aux fans
si tu parles mal aux fans
j’ai la gorge sèche, j’bois du volvic-fraise
juste pour allumer l’feu, il suffit d’une braise
j’parle à la miss, elle m’dit “j’veux qu’tu m’baises”
elle m’dit “j’suis refaite, j’vais avec jul the best”
j’ai pas tourné la veste, elle est réversible
touche ma famille, t’es ma première cible
tu fais l’mec de la science, tu sais pas à quoi sert un xxx
tu fais l’mec à l’affût, mais là tu sers un civ’
aux geôles ils m’ont donné du jus brici
j’me rappelle j’ai écrit “jul” ici
ouais ouais si si, l’avocat m’rend visite
j’lui dit “faites moi sortir d’ici”
trop de buzz, trop d’ennemis, on a connu la sère-mi
on veut tous les belle vie, la li-sse et la belle miss
j’crois qu’ils rigolent de nous, si y’a un secret, on le noue
il tire le yoyo, toi tu lui donnes du mou
what you gonna do ? que ça balafre le dos
quand les soucis seront là, tu feras moins le beau
j’temens pas, poto j’suis au bout
moi ma vie c’est comme les pâtes à azzedine
gros, elles ont pas de goût
ah j’tiens pas debout, j’ai les nerfs à vif
arrête de parler mal quand les mères arrivent
moi j’suis comme vous gros, je veux le tarif
j’sais qu’j’ai pas vu l’pire, et qu’le meilleur arrive
et j’ai traîné, dans les zones à risques
j’ai pas sucé pour sortir un disque
c’est la street réalité gros alors je roule un biske
c’est pas ma faute si j’t’évite, merci, tu m’invites
mais quand j’suis là t’es bizarre gros, tu m’évites
la galère j’voulais l’éviter, j’travaillais dans des sites
j’dormais dans ma caisse avec mon pit
ma cité, ma cité
mes potos me chauffaient, m’excitaient, m’incitaient
twingo repérage, pète la barrière au péage
on t’fouette si t’as coffré, c’est qu’t’as voulu nous niquer
ma cité, ma cité
mes potos me chauffaient, m’excitaient, m’incitaient
twingo repérage, pète la barrière au péage
on t’fouette si t’as coffré, c’est qu’t’as voulu nous niquer
c’est qu’t’as voulu nous niquer, c’est qu’t’as voulu nous niquer
my world 4 décembre dans les bacs
d’or et d’platine, ça arrive fort
on parle pas trop le sang

[couplet 2]
et prends ce droite-gauche, concentré comme quand j’frappe dans le sac
j’vais les pare-choc, parc’que ça y est ils m’font trop les macs
tous à la gratte gros, sans numéro d’série sur l’cadre
et y’en a trop qui m’jouent les padres, j’vais t’les prendre à coups de casque
et dis-moi, à quoi tu joues ? j’vais t’tacler fort comme gattuso
comme toto, j’savais tôt ou tard qu’t’es un traître comme apuzzo
la gloire on l’a tous eue, ça poukave, on a tous vu
j’rêve de regarder la télé en pétant l’joint dans l’jacuzzi
j’t’ai aidé, j’t’ai tout donné, voilà l’remerciement
tu m’as oublié, j’t’ai rien fait, et là niquez-moi si j’mens
ouais, niquez-moi si j’mens, présent au quartier et au jugement
ici les gens t’aiment et t’oublient vite si une fois tu t’manques
ouais j’bois, j’bois, j’bois, j’me nique la santé
tu m’vois véner’ dans mes clips mais t’inquiète j’sais plaisanter
moi c’que j’sais faire c’est représenter les petits gantés
qui sont devant l’bloc à jouer les trafiquantes
j’vais pas inventer, j’vois grand pour investir comme salvatore conte
quand t’es bien y’a toujours une petite pute qui vient tout te raconter
hombre, jette ton arme des fois on vit mieux à l’ombre
là j’déballe la bombe, y’a mes sons dans les ondes
au fond d’moi c’est pas terrible, j’veux ma piscine et ma terr-sse
gros, parle pas d’la mama, tu vas tomber à la materazzi
la cl-sse en maserati, au feu elle piste la gadji
poto viens on s’met autour d’une table on s’dit tout c’qu’on s’est pas dit
on va t’niquer ta mère on t’a dit
j’suis dans l’game en gtr, mon frérot t’es encore en caddie
c’est rien on s’adapte, et regarde pas leurs sales têtes
qu’ils viennent dire les choses en face s’ils veulent vraiment que ça pète
tu parles de moi quand j’suis pas là, j’t’avais prévenu, tu vas gouter
ils veulent me niquer mon gouter, parc’que leur femme fait que m’écouter
gauche droite mange ce coup d’tête, tête
tic tac, si tu fais des sous bah t’es en dettes, dettes
l’état nous nique, braque
j’suis tranquille dans ma voiture, j’crame les civ’ qu’arrivent à pied
j’mets première, j’me taille de là, en plus j’ai même pas mes papiers
putain, c’est trop la merde et j’veux pas qu’les flics vous coffrent
alors des fois je zone avec mon disque d’or dans le coffre
alors tes mcs, dis-moi où ils sont
c’est vrai qu’des fois j’suis dur hein, et ouais le sang
il m’fait le dur, il m’fait le gros bonnet
on m’dit “vas-y laisse-le, on le connaît”
mc prends cette patate dans ton nez
j’annonce la couleur, tu vois pas ou t’es daltonien ?
j’vis d’ma p-ssion, trop jouent avec ma patience
j’crois au bon dieu frérot, moi j’comprends rien à ta science
j’ai vu des gens m’haïr : pourquoi ? je ne sais pas
j’ai vu des gens trahir, j’vous dis rien mais ça m’plaît pas
et ouais mademoiselle, jamais de c-ke dans le zen
moi j’fume pour rester zen et j’aime pas trop rester seul
j’ai appris des choses sales, j’veux qu’tu retiennes ce message
y’a rien de mieux que de rien dire et de rester sage
quatre décembre dans les bacs
restez à la page l’équipe ça fait… alors oui j’ai zoné
oui j’fume des grosses barres, rien qu’on s’marre
ouais tu m’connais, alors oui j’ai volé
mais j’suis pas un voyou, faites pas ça l’équipe
ouais sans déconner, ça vise plus les mollets
y’a toujours un ciro dans l’équipe qui voudre te détrôner
que tu jalouses, t’es paumé
car tu sais qu’j’suis parti d’en-bas et c’est bien pour finir premier
en direct de géné’, sur pépé j’t’envoie la frappe
crois pas qu’j’vais m’gêner de te dire qu’t’as pris une frappe

[outro]
quatre décembre dans les bacs on va tout péter
ju-ju-jul, grosse dédicace à ma team
grosse dédicace à tchyco, mouss, babyboy, w-ssim, w-ssim priso, mehdi, azzedine
grosse dédicace à solo compote
grosse dédicace à tous les frérots en prison, enférmés
grosse dédicace à amada
et voilà frère la sortie c’est sûr
ju-ju-jul

- jul

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