letra de finito - jul
[paroles de “finito”]
alors là je reviens et là on recommence (hein ?)
hein
faut qu’j’parle cru, c’est ça
parce que j’ai pas l’impression qu’ils ont compris encore
écoutez bien maintenant, bande de trous du cul, va
j’en ai marre d’me répéter
y a qu’à moi même que j’ai à prouver
2-0-21, j’arrive roofé, roofé
si t’es avec moi, qu’tu m’soutiens, merci, j’t’aime
j’suis là pour toi (team jul)
si t’es pas avec moi, qu’tu m’craches dessus toutes les cinq minutes
tu dis qu’j’suis finito
va niquеr tous tes morts, voilà
j’sais pas moi, on dirait y en a j’ai froissé leur daronnе, j’comprends pas
vous avez que moi dans la bouche ?
allez écouter qui vous voulez, nous cassez plus les couilles
bande de sans vie
en plus tout l’monde sait qu’vous écoutez en traître hein, avec vos femmes
faites des streams pour d’or et de platine
et au fait, hein, c’est ça qu’j’voulais dire
revenez pas pomper après, j’avertis, hein
putain, j’vais choquer vos tantes, eh ouais
c’est pas comme ça la vie, wesh
j’me nique le cerveau, plus de vie
mais bon, on va pas s’plaindre tant qu’ça marche
le jour où ça marche plus : hasta luego
merci au revoir jul, hein
et aussi tous les com’ de fils de chien qui m’font rire
« jul, il est fini »
« jul, ses sons, c’est les mêmes »
« jul, il s’habille comme un clochard mais il est blindé »
va niquer tes morts, mange-moi l’poireau
j’fais c’que j’veux, quand j’veux, où j’veux
et j’fais c’que j’aime, c’est avec ça qu’j’ai réussi jusqu’à maintenant
celui qui est pas content, c’est pareil
c’est les chiffres qui parlent, on t’a dit, les chiffres
plus d’quatre millions d’albums vendus en cinq ans
dieu merci
et merci la team jul
la team jul elle s’étend, et eux y disent : « c’est quand qu’il s’éteint ? »
déjà qu’la vie c’est compliqué
manquerait plus qu’j’regarde ces cons m’piquer
seringue comme peaky blinders, j’veux pas finir comme biggie
tu vois même plus mes yeux sous les lunettes
j’ai l’regard rouge comme si j’avais abusé d’la fumette
j’loue pas d’ferrari, j’braque le game comme ferrara
si t’as une femme, ben fais-la rire, si t’as plus un, ben fais l’akha
j’connais des voyous, j’connais des vaillants, j’connais des payots
qui peuvent te niquer ta mère pour un marron
dans la zone j’roule à fond, des gadji m’disent « attends »
elle m’demande si j’ai snap, veut qu’je fasse la bise à sa tante
j’fais que des dingueries, à s’demander si j’suis terrien
ils m’critiquaient mais j’suis guéri, ils m’voyaient comme un moins que rien
l’ovni, il est cagoulé, il fait des roues arrières sur un zip-zip
si tu fais le costaud dans la zone, direct ça t’sort le ft-ft
des gants et un calibre, des gens qui sont pas libres
des gens qui tuent pour vivre et des rafales qui arrivent
et quand j’vais les choquer sur twitter, ces p’tits fils de haters
niquez tous vos grands-mères, ça me tenait à cœur
après revenez pas sucer quand j’fais des freestyles où j’kicke
t’façon j’vous écoute même plus, vous êtes que des pauvres geeks
c’t été sur une vue de rêve, j’penserai à ceux qui m’en veulent
même entre zin ça se tue, et c’est toute une famille en deuil
ici, ça conduit sans permis avec un neuf dans la sacoche
les ovnis sont remontés, dis d’faire gaffe au premier qui s’approche
trop de jalousie, j’sais qu’ils m’ont envié un par un
mon vié, j’suis qu’un chanteur, j’suis là, j’dois vivre caché comme un parrain
ces temps-ci j’dors pas assez, faut qu’trouve un peu l’sommeil
j’fais que du stud’, j’suis tout blanc à croire que j’dois un rouge au soleil
remerciements, trop de buzz hallucinant
mais là j’suis bien, on voit pas mon visage quand j’mets la veste simon
le adv il se lève, demande aux gens de frais-vallon
force à ceux aux beaumettes, au pontet, à lune et à salon
hein-hein, pour s’faire la matone faut avoir l’bras long
de la tchatche et des grosses liasses cachées dans l’salon
qu’on les calcule pas frère, t’façon c’qu’ils méritent
j’vais niquer ma carrière pour eux si j’sors les armes comme mesrine
c’est pour ceux qui m’lâchent pas, pour ceux qui m’demandent rien
pour ceux qui font tout avec le cœur ouais, pour ceux qui veulent mon bien
j’aurais dû faire que l’amour au rap, ça aurait fait plus sensuel
j’aurais dû arriver casqué dans l’game comme guy-manuel
elle lui a vendu d’l’amour pendant qu’manu rêva
elle faisait la mala tout l’été au manureva
j’suis dans le van (van, van)
tout l’monde pete un cône (cône, cône)
j’en connais, ils faisaient les forts, maintenant c’est des légumes
c’est pas parce que tu traînes avec une star que t’en es une
tu veux savoir ? j’préfère un vaillant sur moi qui veille
qu’un bdh qui veut t’niquer ta paye (bdh)
vous croyez tous que j’dors, j’suis en mode éveil
j’ai toujours dit aux p’tits : « faut pas arracher les vieilles »
on vit, on meurt, on l’emportera pas, le hummer
on a toujours slalomé entre bonheur et malheur
j’suis pas l’king, j’décide pas d’ton avenir ni d’ta carrière
mais crois-moi, tu peux t’en sortir si t’es un cas rare
on m’reconnaît à ma carrure, moi c’est 1-3 comme k-ra
avant tu pouvais m’trouver sur une rouge passer sur la ligne de baccara
y a pas de gare off, si t’es mon poto mets pas d’carotte
au sud ça plante, au nord ça tire et dans l’cv ça t’carotte
et aux beaumettes y a des garages, dans des box y a des kalach’
y a d’la moula dans les parages, sortie d’quartier y a des barrages
j’ai mis ma barette dans l’arai, j’écoute du funk, j’écoute du raï, j’écoute du rat
sous patate du rif que tu payes en dirhams
hmm, j’suis dans l’bb gris, dans les rues j’fais du bruit
capuché ça m’grille, j’y crois pas, i’m living a dream, hein, hein
j’dépasse valentine, j’roule avec les genoux
voie de gauche, ça me fait le signe, c’est comme ça chez nous
le sh-t il est mou, quand tu l’fumes il est doux, la patate, les doses
ça sent la frappe, quand j’le pète, tous les gens me disent : « il est d’où ? »
j’marque le coup, j’compte pas les sous qu’j’ai pris, faut qu’les scores j’éclate
j’leur fais des prises, un peu comme jet lee, armé comme chief keef
laisse-moi si j’kiffe, me laisse pas si j’coule, viens me voir si j’cane
ne laisse pas mon frère si il déconne, laisse pas ma mère si elle est seule
la vie de rêve, la voix faite pour l’or car plein de galères car plein d’valeur
pour une gadji tu m’a laissé, tu m’avais dit : « à t’t à l’heure »
piou piou piou piou dans l’rs q8
ça m’fait penser à moi quand j’vois ce p’tit en piwi
piou piou piou piou, ah je dis oui
belvedere avec du fanta fraise et kiwi
si t’es un critiqueur, t’plains pas qu’les gens ils te critiquent
et l’jour où tu dépasses les bornes, tu finis dans un état critique
et au poker, si tu fais full c’est beautiful
vive le bon vieux temps ou ça zonait sans casque sur un typhoon
j’vois les civils, faut que j’me casse et vite, que l’contrôle j’évite
avec tout c’que j’ai vu, même si j’ai rien fait, gros c’est vite venu
j’suis en fu-fu, en plus c’est couvre-feu, j’peux plus aller où j’veux
où je vais, j’suis grillé, j’fais la photo avec tous c’que j’peux
j’ai p’t-être changé, j’pense plus à m’venger du mal qu’on m’a fait
tellement qu’j’taffe, j’suis ailleurs, j’oublie tout, j’pense même plus à manger
dommage que t’as fait le traître, moi qui pensais à t’arranger
je déteste les broute-couilles, dites-leur qu’ils viennent plus m’déranger
tu laisses tes amis pour une autre équipe ou pour un déhanché
tu veux la guerre ? on va faire la guerre mais c’est toi qui auras déclenché
fais un peu d’buzz, après ils reviennent tout mielleux
les gens, ils te voyent pas pareil quand tu portes une montre à vingt mille eu’
mira, mira, mira, j’ai mis le masque de heat comme celui d’val kilmer
anti-bdh, ceux qui avalent, qu’ils meurent
j’suis dans la ‘sique, pas le deal ou le vol et pourtant
y a des gens qui m’en veulent, pas le temps
j’dois cacher ma gueule tout le temps, j’braque la sacem, j’fous le camp
moi c’est d&p, pas de gabbana, j’sors l’épée ou le katana
j’vois les b-n-les à l’affut vers les catalans, quatre têtes cramées ils nous cataloguent
j’fume du sh-t de catalogne, sur l’trajet j’me fait un pain catalane
et à la frontière, faut tout cacher dans l’pantalon
et vas-y, zappe-moi-le, c’poto, s’il tient pas sa langue
il fait l’gentil, quand il a des sous, après il dit plus « salam »
comme en promenade, chacun sa lame, chacun sa mère, chacun slalome
comme dans call of, salute, ça fait des euros, ça prend des armes et ça s’allume
et ça fini au goulag, souhaite-moi longue vie, pace salute
ça fait des vices, ça veut qu’au t’confies et après ça l’ouvre
et même si j’coule à cause de tous ces perroquets
sache que j’reviendrai en rampant comme ivar le désossé
pélo c’est la rue qui parle, les mères qui pleurent, les p’tits qui meurent
à cause du sh-t et des histoires de fous qui tournent dans le secteur
suce des gens, ça donne des go, ça fait des alliances de bâtard
trop d’ego, c’est à celui qui fera plus de dollars
là j’suis vers la rose, secteur 13, 14
ça vend du sh-t, d’la coke, ça vole, ça braque, ça car-jack, ça s’arrose
ça lève des cross, les r1000, les x-adv
rs3 abt, ça bandite, dépose le poto qu’a guetté
ça coupe dans la cuisine d’l’appart pendant qu’la mamma dort
pour faire passer par-dessus l’mur sans s’faire voir par les miradors
après ils reviennent tout mielleux
les gens, ils te voyent pas pareil quand tu portes une montre à vingt mille eu’
mira, mira, mira, j’ai mis le masque de heat comme celui d’val kilmer
anti-bdh, ceux qui avalent, qu’ils meurent
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