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letra de freestyle ascension - josom

[couplet unique]
trop de temps p-ssé dans l’ombre désormais il est temps d’agir
venu pour choquer son monde car les vérités font frémir a force de regarder en haut ils en oublieraient le sous sol qui viens détruire avec les mots ? le mercenaire à la clé d’sol
société du plus fort le roi méprise tous ses valets t’a l’malheur d’lui causé du tord ils t’attendront devant l’palais ce texte est une apologie prônant liberté et orgueille mais seulement d’un tour de magie pourrait s’trouver dans un cerceuil
les oreilles grandes ouvertes t’entend la voix du dictateur
ce serai malhonnête que d’avouer q’tu n’es pas peur
c’est vrai, les vérités nous mentent le mensonge a pris l’dessus
j’ai choisis d’gravir la pente j’n’ai pas peur d’être déçus
a la r’cherche du droit chemin je crois l’avoir au fond de moi bercé l’illusion du destin transforme l’chemin en bout de bois comment leur dire que jui d’retour en essayent d’être galant je donne à bouffer aux vautours les aspergent tous de mon talent
j’essaie d’pas jouer l’acteur, comment leur dire qu’on est tous admirateur de la belle vie jusqu’à l’écrire
beaucoup parlent mais peu agissent pendant qu’nos histoires s’-ssombrissent c’est un symbole de liberté j’attendrai pas qu’le monde s’eclipse
l’étau s’ressere le flow libère les vérités incognito l-ssere les finances
et viens nous dire qu’il n’a rien fait trop de promesses diffamatoires
ils changeraient le monde de leur avis donner leur un suppositoire qu’ils sentent un peu le gout d’la vie
les cartes sont sur la table, c’est à mon tour d’jeter les dés pendant que l’autre monte sur la table pensant déjà avoir gagné
miroir dis moi ? de quel côté je suis est-ce le bon ou l’mauvais moi
qui à choisis d’écrire c’récit ?
la glace s’brise, mon regard stupéfait
si y’a une leçon que j’ai apprise c’est q’faut savoir se regarder
premier chapitre de l’odyssée chez pas combien y’aura d’bouquin ya trop de choses à raconter dans c’monde ou tout est incertains
chez pas d’ou sort l’inspi de ma tête certainement ya trop de gens bloqué ici de l’égoïste au bienveillant les vagues s’écrasent sur la terre emportant donc les mammifères a chaque fois on s’y attend mais subit l’effet du tonnerre
mais qui peut m’arrêter désormais josom est lancé avec l’espoir d’une lueur la plume écorche le papier
y ‘a plus de grain dans l’sablier y’a plus le temps pour discuter allez leur dire qu’il est l’heure le départ est enfin acté
direction les étoiles en osmose je vandalise quand j’observe ce dédale j’veux encore plus vite faire mes valises
quitter la terre, partir loin d’ici emmner avec moi mes frères du moins ceux qui m’ont pas trahi
j’me sens loin de tout c’qui s’p-sse de ma vie jui spectateur j’veux pas attendre que le train p-sse à chaque fois je me trompe d’heure
chacun pour sois et il prétende humanitaire on se bat tous pour le même combat à quoi ça serre d’se faire la guerre

[refrain]
a quoi bon scander nos slogans si c’est pour ne rien faire au bout du compte c’est chacun pour sois j’ai compris maintenant je les regarde crier en regardant la montre
sur la montagne pavillon du monde j’ai compris q’le temps était compté pour les étoiles au bout du compte nos proches part-t de l’autre côté
a quoi bon scander nos slogans si c’est pour ne rien faire au bout du compte c’est chacun pour sois j’ai compris maintenant je les regarde crier en regardant la montre
sur la montagne pavillon du monde j’ai compris q’le temps était compté pour les étoiles au bout du compte nos proches part-t de l’autre côté

- josom

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