letra de bleu marine | a colors show - jewel usain
[paroles de “bleu marine”]
je connais la vie, je connais sa vitesse
je te laisse, avant qu’on s’attache
je connais les gens sont love, puis se détestent
ça te blesse, quand elle tourne sa page
je connais la bêtise, l’appétit
je connais les chances que les reufrés saccagent
je connais le grincement, que fait l’appui-tête
puis peut-être, faudrait qu’on s’arrache
prendrе un raccourci
la thune, c’est même pas lе souci
je vais le faire, si j’ai dit que je vais le faire
je m’en fous, rien n’est impossible
j’ai pas peur de sauter dans le vide
j’y trouverai toujours de la nuance et des teintes
c’est eux qui nous foutent dans des cases
un artiste de rue fait la même chose que des peintres
chérie, si on ne se parle plus
je vois pas l’intérêt puis dans ce cas il faut
eviter de se dire qu’on s’aimera pour la vie
j’ai le cœur de bond, je suis dans skyfall
je n’envoie même plus d’s.o.s
de peur que le messager se perde dans les timbres
des fois je me sens tellement seul
que je regarde même pas la télé
pourtant je refuse de l’éteindre
parce que je suis pas mieux dans le vide
je ramène seulement de la qualidad
ces abrutis n’ont pas la notion
remplis ton caddie, eh
pour tuer un boss de ma trempe faut beaucoup de potions
y aura des palissades
tant qu’il y aura des flics libérables sous caution
lassé du sport extrême, lassé du parapente
dommage qu’il n’y ait plus d’archives pour prouver que léonard de vinci m’a peint, rappant
laisse, tu ne vois pas le rapport
tout ça pour dire que je suis attiré par la pente
je sors avec des potes, on fait du bruit
t’as l’impression de te faire accoster par un pompe
et elle like une photo, puis deux photos puis c’est le dilemme
elle veut seulement qu’un négro certifié s’ajoute à la longue liste de ses dm’s
tu connais déjà gros c’est le pi-ège, jeune biatch, me colle à cette heure tous les p.m
parce qu’elle est bonne, elle veut ce qui sort de l’atm
faut que je retourne taffer et on se rappelle du premier pas du septième
j’ai fait le nécessaire, regarde ses cernes
ils font que d’aller, le ciel s’écroulera bien avant que j’appartienne à ce cercle
je m’en fous si ça manque d’humilité, ils ont pas la carrure pour porter ma sape
je suis sur la route un concert dans chaque ville viendra pour répartir les massacres, eh
je suis venu les mains sales
je sais pas s’ils ont tout ce que j’ai, recherche mais dans le doute autant ramener un sac
ce que j’essaie de dire
c’est que j’essaie de vivre
[pont]
je me perds trop souvent dans ma mémoire
je veux m’envoler, ne plus jamais toucher le sol
je m’interroge sur moi-même tard le soir
je me casse la tête pour faire ce truc comme personne l’a fait
j’ai vu la lumière et puis l’ombre, eh
tu connais les schémas
je suis sorti faire du blé
et je n’ai pas sû retrouver le chemin de ses mots
je suis parti trop loin
trop loin
eh, eh…
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