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letra de brutaliser - jarod

[couplet 1 : vald]
que tout l’monde s’agenouille bouche bée lorsque j’ai dé-zippé l’étui
gros, mes rites hérétiques ont d’quoi faire s’décider les gouines
j’m’empêche de réfléchir, ça peut déprimer les ruines
criez : “r.i.p. lewis” si, demain, j’récidive
j’pourrais faire n’importe quoi mais j’aurais plus l’air innocent
paraît qu’t’as fait les quatre cent coups, j’ai taché les rideaux blancs
et à l’écart des flagrantes douilles, des bas étages, j’suis l’charmant fou
grave à l’égard des braves tantouzes, j’aimerais bien sourire autant
j’ai pas l’temps pour sortir des grandes phrases sur l’amour
d’expliquer les rides qui lui gambadent sur la joue
j’pose des franches taffes, tu savoures, hein ?
ma tête, c’est comme la boîte où tu feras pas les cent pas vu ta mouille
j’y cache des trucs saugrenus et un tas d’choses dégueul-sses
j’fais gaffe à mes paroles, fini les nuits sortent plus
vénus s’tord le cul, est-ce que c’est l’tarot d’être ‘tal-bru’ ?
retenez que j’vous baise, et que j’préfère être mal vu

[refrain : jarod & vald]
brutaliser, on va les brutaliser
toujours les brutaliser, encore les brutaliser
brutaliser, on va les brutaliser
toujours les brutaliser, encore les brutaliser

[couplet 2 : jarod]
j’ai des ennemis qui m’aiment, ils ont peur de moi par essence
j’fais des rêves où j’visualise le bonheur me caressant
viens par ici si t’as les coudes solides, j’peaufine des flow d’folie
puis j’consommais trop d’chronic, j’suis une cause de grosse colique
héhé, j’ai l’insulte facile
bandes de salopes tacites, vous êtes loin du cl-ssique
fais pas croire que tu t’amuses, t’as beaucoup d’amis, des tarlouzes
tu connais l’19, on t’allume pour une amitié trop jalouse
j’ai besoin d’un famas et d’am-sser beaucoup d’argent blanchi
une élocution sal-sse, nique ta race, mes limites sont loin d’être franchies
paname côté damas pas dallas, mais les wacks (?) ça tue, c’est magique
f-ck ces putes de balances, faut m’rhal-ss, no limit présente la machine
je f-ck la bac, on n’est pas dans les bacs, y’aura pas d’come-back
on n’a que d’la frappe, mon équipe te tape, peut rien faire pour ‘oi-t’, vas-y, mets l’son, back (?)
si, ma vie, c’était un film, j’serais de niro ou pacino
c’est d’l’ego, t’auras jamais plus de flow

[refrain : jarod & vald]
brutaliser, on va les brutaliser
toujours les brutaliser, encore les brutaliser
brutaliser, on va les brutaliser
toujours les brutaliser, encore les brutaliser

- jarod

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