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letra de kaizoku-ō #mm - insa

[intro]

kaizoku-ō ni naru no a orewa !

[couplet 1]
donc ça fait 1,2 mic check j’ouvre mes sphincters
j’chie sur le fn c’est pas maintenant qu’ils vont enfin s’taire
fin stratège, mate la tech au mic j’ai pas d’égal
frein statique, pas d’arrêt pour l’boug du sénégal
j’suis pas à fond les gars, j’ai pas ché-la l’rasengan
et gamin saches que l’otaku pourra te tuer par mégarde
chiller tard les gars c’est pas qu’mon mode de vie
notre devise c’est que si tu trashtalk on finit par ler-par
et ça fait mal frère c’est infernal au final
c’est moi-même contre mon instinct animal
non j’m’évade pas vec la musique c’est faux, suffit d’les voir s’enfuir ces fous
j’reste et ma candeur s’efface, j’rêve de j’ter l’accent sur les foules
mais voulez-vous mes coups j’en doute, vous courrez couler l’monde en douce
mes couilles ! vous l’pourriez, mais tous les bougs s’en foutent
qui j’accuse ? mes lacunes ou bien chacune de mes fautes
j’essaie d’être un type bien mais j’acc-mule les défauts
enfin les affronts les défunts, les feintes de fin que le destin commande
vous testez nos efforts et quand t’as faim les festins m’incommodent
“barre toi makoumé” j’ai entendu c’genre de phrases là
les lascars r’mettent la pendule à l’heure dans face d’ces lâches gars
ill-sse-ca contre des tanks, on s’détend c’est pas la palestine
mais saches que je sais savourer la soif d’ceux dont je n’ai pas l’estime
respect goes both ways, eux s’prennent pour des boss ouais
pauvre j’me bats en public, j’suis tout l’inverse de bruce wayne

[refrain]
ouais j’rêve d’atteindre le bankai, mes frères préfèrent le bang
attirés par la banque autant qu’attirés par le sang
attirés par le son, mais on aime bien les films horribles
j’voudrais voler comme un oiseau ou bien mille comme le chidori
ouais j’suis calme, ouais j’suis calme calme gros
quille-tran et formidable comme un son de maestro
et comme un con j’taffe trop, et j’profite pas
la tête haute, face au monde pas question de faire profil bas

[couplet 2]
neveu nos vies sont innovantes mais nos ventes n’ont rien d’alléchantes
aller chante m’ont dit les gens mais j’f’rai pas d’serment d’allégeance
et la légende veut que le black f-sse place, face b-sse
fatou cl-sse, fat tar et des tenues peu élégantes
tandis qu’le blanc n’sait pas ser-dan c’est dans ses gènes d’être sans antécédents
mais dans les faits c’est dur d’être à la moitié de la procédure
donc ouais j’suis qu’à la moitié, moitié khel à moitié babtou
moitié d’nulle part, moitié de partout
j’veux partir loin sans m’inventer des ennuis
zinc c’est des années d’envie ou des années sans vie
j’me plains du monde mais j’me rends compte que j’m’y suis trop bien intégré
l’auto-critique c’est bien mais j’reste à dammer des ce-gré
a parler d’mes regrets, j’ai 17 piges mais j’en ai tellement
j’me pose même la question est-ce qui dit qu’la vie est belle ment ?
l’amour est dead merde !
regarde autour de toi rien qu’à compter le nombre de belles-mères !
c’est peine perdue, j’m’exprime, mes rimes ont trop d’idées spé
l’respect des mecs streets c’est juste tiser des despé ?
j’fait deuspi, à 35 ans c’est trop désespérant
leurs vies trop pourries donc il veulent faire baisser l’espérance
laisse trer-ren l’esprit, j’flippe que le mien reste triste
j’m’esquive et j’fais style qu’ma iv vaut bien votre estime
que j’reste digne ? ouais ouais
mais comment atteindre l’eden avec tous les pêchés que j’expie ?

[refrain]
j’rêve d’atteindre le bankai, mes frères préfèrent le bang
attirés par la banque autant qu’attirés par le sang
attirés par le son, mais on aime bien les films horribles
j’voudrais voler comme un oiseau ou bien mille comme le chidori
ouais j’suis calme, ouais j’suis calme calme gros
quille-tran et formidable comme un son de maestro
et comme un con j’taffe trop, et j’profite pas
la tête haute, face au monde pas question de faire profil bas

- insa

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