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letra de comme à brooklyn - houari

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[couplet 1]
j’suis posé dans le jardin c-ssez pas les couilles
solo dans ma tête j’me suis dit “enterre les tous”
y’a la queue dans le block, les fils de pute en planque
a deux doigts d’faire un bail chelou tah les fous
tes potos font les sourds, sont pleins de rottes-ca
pour l’terrain ou les sous y’a des rafales de lash-ka
c’est la gratte ou le son c’est la merde au tier-quar
tu t’es fais cabré ta miff prévient l’avocat
des pet-ts aux grands, tout l’monde à dealé
rigole pas sur les gens, ouais des sous empile
c’est mort si tu rentres pour cantiner
t’as pas de sous dehors ta meuf ça veut la piner
ouais chez nous le secteur est miné
j’me verrais bien sous gros joint posé dans les îles
si un jour tu m’as vu en feu [?], c’est que je cherchais un fils de chargé dans la ville

[pont]
(pour foutre la merde) foutre la merde, foutre la merde
(j’suis toujours à l’heure) toujours à l’heure, j’suis toujours à l’heure
(j’parle pas en l’air) beauté, veut de la maille, être côté toute la night
t’es scotché posé dans le four, beauté, te rends malade

[refrain]
ouais dans le quartier c’est comme à brooklyn
y’a que du ciment c’est pas les tropiques
fini pour toi la beuh tu vends la cocaïne
toujours à l’affût d’un futur gros clins
tout dans le sachet cellophané
tu bicraves des grammes toute l’année
ton terrain dit-gran et en plus d’la flicaille, des jaloux dans l’trafic tu peux caner
ouais dans le quartier c’est comme à brooklyn
y’a que du ciment c’est pas les tropiques
fini pour toi la beuh tu vends la cocaïne
toujours à l’affût d’un futur gros clins
tout dans le sachet cellophané
tu bicraves des grammes toute l’année
ton terrain dit-gran et en plus d’la flicaille, des jaloux dans l’trafic tu peux caner

[couplet 2]
tout l’monde sait que la vie, sans sous ça fait serrer
confiance en personne même plus je m’attache
j’vais t’laisser dans les cordes, j’prends les virages serrés
envie de prendre la banquière en otage
je sais qui me parle, ou pas par intérêt
j’vais bien t’niquer tes morts si ça part au clash
dans le block de la drogue, un ancien qui a serré
la queue de clients fait rentrer le cash
pour contrôler la zone que ça s’k!ll
pour aller à la morgue ça s’bouscule
arrête de faire le mec, ouais t’as skié skié
t’es là que tu te chauffes dans le vide
t’es chargé y’a poursuite faut filer
pas finir au shtar plutôt dans le vip
tout l’monde dans la ville veut dominer
faut s’donner la force, vas-y envoie les [?]

[pont]
(pour foutre la merde) foutre la merde, foutre la merde
(j’suis toujours à l’heure) toujours à l’heure, j’suis toujours à l’heure
(j’parle pas en l’air) beauté, veut de la maille, être côté toute la night
t’es scotché posé dans le four, beauté, te rends malade

[refrain]
ouais dans le quartier c’est comme à brooklyn
y’a que du ciment c’est pas les tropiques
fini pour toi la beuh tu vends la cocaïne
toujours à l’affût d’un futur gros clins
tout dans le sachet cellophané
tu bicraves des grammes toute l’année
ton terrain dit-gran et en plus d’la flicaille, des jaloux dans l’trafic tu peux caner
ouais dans le quartier c’est comme à brooklyn
y’a que du ciment c’est pas les tropiques
fini pour toi la beuh tu vends la cocaïne
toujours à l’affût d’un futur gros clins
tout dans le sachet cellophané
tu bicraves des grammes toute l’année
ton terrain dit-gran et en plus d’la flicaille, des jaloux dans l’trafic tu peux caner

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