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letra de kim il sung - heuss l'enfoiré

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[paroles de “kim il sung”]

[intro]
j’suis l’genre de mec qui rattrape son sommeil en garde à vue (son sommeil en garde à vue, garde à vue)
eh (eh)

[couplet unique]
j’suis l’genre de mec qui rattrape son sommeil en garde à vue
il m’faut d’l’oseille pour ma bouteille, mon sh-t et mon baveux (oui)
si tu m’vois, dis rien, fais comme si tu m’avais pas vu
c’est vrai qu’j’me suis déjà mangé fantôme au parlu (skch, skch)
j’te laisse la bosseuse, j’m’en vais baiser la patronne (ska)
quе dieu m’pardonne d’être à l’affût du pactolе (à l’affût)
la vie d’ma mère, j’aurais dû finir dans la taxe carbone (putain)
à croire qu’j’ai fini l’jeu mais c’est que l’troisième album
tôt ou tard, j’savais qu’mon blase résonnerait comme bruce lee
j’espère mourir à la fin du film comme [aniki ?]
c’est interdit que j’baise un truc qui sort du babinski
fidèle à moi-même, pourtant, j’suis pas d’ici
laisse dont le déjeuner, c’qui importe, c’est le prix du blé (le fric)
les mains dans l’feu, ici-bas, c’est l’enfer qui t’fait du pied (el pablito)
tu peux t’faire enculer par un mec comme laurent ruquier (el pablito)
c’est mérité, la vérité, en vrai, faut pas s’y fier
y a d’l’argent facile, du business, ouais, ça m’intéresse
ramenez-moi les conteneurs de buenos aires (ramène)
ta mère la pute et la police, souvent, nous reconnaissent (les [?])
le mercedes, guccigui, versacce, v’là les rolex (gros sac)
mais j’préfère le cash, [?] [rempliegui ?] d’espèce (gros coffre)
finir obèse comme gérard depardieu et pierre ménès ([?])
ramène d’la boisson, d’la salope et cent grammes de g13 (d’la beuh)
ramène d’la boisson, d’la salope et cent grammes de g13 (d’la haze)
j’fume la kush, que d’la ppe-f’, fais d’la monnaie cash (du cash)
difficile de compter, comme le cash qu’on nique à ‘kech (du cash)
ça, c’est la vie d’césar, diego, mario, morientes
j’pourrais baiser la comtesse, vider le tiroir-caisse (du cash)
attends, j’ai pas fini, on peut continuer
[chez nous, y a à boire ?], y a v’là la fumée et les prostituées
toujours à medellín, j’suis trop bien situé (wesh)
avec bandit et les esprits, on est habitués
appelle un sicario pour la distribuer (ramène)
personne peut rentrer comme si on n’avait pas d’maison
argent comptant sur un plateau pendant les quatre saisons (pah)
la street de rue, c’est un vrai film de cul, un film d’action
à la production, c’est marc dorcel avec luc besson
un rendez-vous bres-som la nuit à plessis-robinson
ici, les jaloux t’font la bise quand tu montes en grade (rah)
y a pas qu’ta mère la pute qui sait la transformer en crack (ouais)
j’sors du sol, du sous-sol, j’ai perdu la boussole
quand j’ai la dalle pour de vrai, c’est là qu’j’vois qu’j’suis tout seul
j’fais parler bruxelles, chez moi, c’est eindhoven
c’est les cités, nan, c’est pas les seych-lles
eh, joue pas au con, s’te plaît, fais pas le coup du patron
comme estelle, mich-lle et monique dans le camion
[?], louis vuitton, j’reviens en décathlon
nique sa mère le maire, le marathon, le téléthon (sa mère, fils de pute)
nomade et vagabond, qui v’-esqui les balles à plomb
vrai mec du 9.2 qui bosse pour zéro patron
monte sur tous les plavons, bé-tom pas pour un marron
enfoiré, c’est la rue, j’le connais bien, ton daron

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