letra de manifeste - guizmo
[intro]
yoga, yoga
ouais, ouais, ouais, villeneuve-la-garenne
les immeubles, la galère 92, 390, 9.4.4.6.0
valenton, bologne zoo, n-gga, c’est comme ça qu’j’fais les choses, bébé
ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, checke-moi
[couplet unique]
j’rugis comme un lion mais j’suis discret comme la panthère
mon père, il avait pas tort : tu perds, tu vois les bâtards (bâtards)
j’dors pas la nuit, j’ai peur de mourir dans mon sommeil
trop d’sacrifices, arrête de jalouser mon oseille (arrête)
et même avec tout ça, c’est même pas -ssez
j’ai deux mamans et mon grand-père qui rêvent de s’arracher (ouais)
et sur mon chemin, j’en ai frappé des mange-pierres
c’est pour toute la ville de bagneux, café des venches-per
c’est pour nono et loulou, tu fumes, tu dis “oulala”
inch’allah, dans pas longtemps, on part à honolulu (ouh)
y a dms au placard et j’fais que d’penser à lui
des fois, ça m’fait déprimer et j’me déchire à la weed
rien n’est tout rose, rien n’est tout noir (nan)
pour étudier, il faut le vouloir (ouais, faut l’vouloir)
pour étudier, il faut le vouloir (ouais, ma gueule)
mais moi, j’bicravais dans les couloirs
flingues à l’unisson, j’suis là pour mettre des punitions
y a les mes-ar, les munitions, du crack en ébullition
d-mn, ils étaient pas là quand j’étais seul dans la de-mer
que j’avais des envies de meurtre, un pétard et j’redémarre
j’crame le sh-t et j’ai le mort parce que les soucis, y en a marre
c’est tard la nuit que j’retrouve les potos du square
ils sont carrés comme moi, ils sont tarés comme moi
et ils arrêtent pas d’me dire : “ils peuvent pas rapper comme toi”
quand j’pars en couilles sous la colère, il faut qu’j’parle avec doui
lui et moi, c’est les boondocks comme riley et huey
j’suis dans ma bulle alors viens pas m’c-sser la tête
2020, dix ans qu’j’ai pas fait la fête (dix ans)
j’sais pas si t’as capté le train de vie est triste
t’as l’alcool, t’as la drogue et t’as les filles et l’vice
et j’ai couru derrière l’bonheur mais j’sais pas s’il existe
encore deux doses de crack contre un billet d’dix
on m’avait d’mandé un couplet mais j’en ai kické six (ouais)
ils veulent fumer sur ma ppe-fra, finissent épileptiques
j’suis pas méchant mais j’peux faire un truc méchant
parce que j’suis devenu méfiant à force d’être déçu par les gens (fils de pute)
et j’sais même pas si ma mère pardonne la séquestration
il était là d’vant moi à m’demander pardon
qu’est-c’que j’ai fait ? qu’est-c’que j’ai vu ?
qu’est-c’que j’ai fumé ? qu’est-c’que j’ai bu ?
villeneuve-la-garenne, gros, c’est pas disneyland
on a rafalé avant d’faire des signes de gang (gang)
le général, c’est moi, j’ai toujours tempéré les guerres
gpg jusqu’à la mort, on a enterré des frères
sonia, tu me manques et ulysse aussi
j’ai l’impression qu’la mort nous a pris pour cibles (ouais)
mais j’reste debout et j’vais vous rendre fier
j’vais arrêter d’vivre comme un gangster (fini)
arrêter d’vendre du hash’, y a d’autres manières de prendre du cash et moi j’me suis pris pour frank lucas
mais c’est pas ça la vie, on n’est pas dans un film
mon pote s’est cru malin, il a fini infirme
j’parle avec tupac en bas d’la cité
il m’a dit : “tu m’ressembles, t’es excité, pourquoi tu t’calmes pas ?”
j’lui ai dit : “j’m’en bas les couilles, j’nique tout, eh, moi, j’veux que des scal-pa”
mais la prison, c’est relou et faudra pas râler, hein ?
ta meuf te trompe et tu deviens parano (hein ?)
et il faut pas critiquer mes fréquentations
j’pense à mon frérot james qu’est derrière les barreaux (james)
j’ai vu des trucs à bès-bar qui peuvent te traumatiser
des t-ts-pe en détresse qui font des traum’ à dix ans
rien qu’ça bicrave dans la rue d’vant la b-n-lisée
quelques peines de placard, hamdoullah, on est vivants
eh, tu fais pas peur parce que t’es stock, man
y a de quoi te refroidir dans le stock man
et j’ai toujours marché seul comme jean-jacques goldman
des arnaqueurs et des dealers dans mon portable
j’ai déjà niqué des grands balèzes
dans ma tess ou dans la cave, moi, j’suis trop à l’aise (normal)
y’a pas meilleur que moi pour s’mettre dans d’beaux draps
je souris mais j’suis fait comme un rat
2006, j’me fais courser par la xsara
d’vant l’opj, le regard froid comme sub-zéro
j’mettais les gants, j’allais voler avec scar-las (bou-bou-boum)
j’vendais la beuh, j’vendais le sh-t, j’vendais d’l’héro’ (ouais, ouais)
j’vendais ma beuh aux bobos et aux rastas (ah, ouais)
dans paris-nord, ah, nous, on cherchait le seille-o (on s’en fout)
j’veux rendre fière ma mère (ma reine)
retourner vers ma terre
la vie ne m’a pas gâté, j’ai dû voler des gâteaux
le père noël, il p-sse chez toi mais moi, j’ai pas eu d’cadeaux
alors, comprends que j’ai la haine parce que t’étais mieux qu’moi
c’que t’as fait en un coup, moi, j’l’ai fait deux fois
du pilon dans la pocket et j’pique une bière au paki
les rappeurs, c’est des mauviettes, j’suis caché dans les makis
des vendeurs à la sauvette, des dealers dans les parkings
on est tous dev’nus mauvais, parce que des frères sont partis
et ça fout la haine, c’est pour ça qu’on fout la merde
toute l’année, sous amné’, j’ai pas toute ma tête
j’ai vendu des tazes, j’ai dormi en cage
aujourd’hui, ça fout la rage, les keufs connaissent mon blase
diakité bad boy qui s’en bat les couilles
qu’a mis des douilles et qui est agité par l’alcool
y avait du pilon dans ma fouille et bah ouais, c’est pas d’bol
j’avais tiré dans les pieds, il dansait comme carlton
c’est moi qui compte le fric, c’est moi qui trompe le risque
et c’est moi qui commande, jeffrey, appelle-moi “oncle phil”
les balances sont à bannir et après l’heure, c’est plus l’heure
j’étais un renard d’paris, j’suis dev’nu l’prince de bel-air
et j’sais pas dire je t’aime mais j’fais bien l’amour (ouais)
des pétards, des pétards, j’en fume plein par jour
j’ai une nouvelle collection pour des flingues à tour
et même des produits exotiques qui viennent de singapour
le millimètre, c’est 9, la conso’, c’est 12
et j’suis complètement fonce-dé mais la drogue est douce
j’ai mis mon réveil à 11:43
si tu m’dois des lovés, gros, il vaut mieux pas qu’on s’voit
et pour c’qui est des femmes, j’ai l’droit d’en avoir quatre
j’sais pas pourquoi j’dis ça mais vas-y, mets un cut
et j’ai tout lâché pour le son parce que j’étais cap’
la vie d’ma mère que j’suis trop chaud, vas-y, remets un cut
j’t’ai blessé, tu m’as blessé, maintenant on est quittes
moi, j’veux voir le modèle, pas combien ça coûte
et j’me sentais un peu mieux quand j’ai fumé du sh-t (ouais)
quand j’ai vidé la bière jusqu’à la dernière goutte
ouais, j’ai perdu beaucoup d’gens mais c’est p-ssé, c’est bon
j’ai relevé la tête, j’ai pas pété les plombs
pas toi qui fais les interviews, pas toi qui fais les sons
les commentaires, c’est pour ma gueule alors filez mes sous (merde)
viens per-cho chez le renard, c’est que du fait maison
et je porterai mes couilles jusqu’à mon dernier souffle
et j’suis méchant et violent dans ma frénésie
et j’retourne pas ma veste même si j’ai fait des sous
coup d’pied dans la tête, patate dans la mâchoire
fais pas les gros poissons, on va t’sectionner les nageoires
c’est nous qu’on fait la loi, bats les couilles qu’tu roules en ferrari
trois millions d’té-cô et tu nous verras rire
y’a eu les coups d’couteau, les coups d’feu, les coups d’pute, les coups d’jus, taser dans les côtes, ouais
j’vais t’c-sser les couilles mais là, faut qu’tu remettes un cut
business de cannabis, ça fait des mois qu’ils enquêtent
j’faisais du basket et du foot, moi, j’étais deuss’
j’suis parti en couilles quand j’ai fumé du te-sh’ (ah merde)
ça ralent-t l’esprit, ça donne la flemme
ça peut calmer la haine, ça fait bang, y a plus de vie
j’suis pas sorti baraqué mais j’ai eu la baraka
espèce de batarardé, moi, j’suis pas dans la mala
nan, j’suis loin d’tout ça, fils de pute (loin, loin)
tu sais que j’vise le but (bah oui, hein)
ça fait longtemps, ma gueule (longtemps, longtemps, bâtard)
que j’fais des trous dans la feuille (bang, bang, bang)
arnaqueur, dealer, braqueur et proxénète
moi, j’suis sorti d’tout ça, wallah, gros, c’est dead
j’suis pas une pute mais j’travaille avec ma bouche
j’suis trop méfiant, c’est ma mère qui fait la bouffe
regarde-moi bien, j’suis parano, j’te mets une baffe (ouais)
j’suis pas d’humeur et puis, y a l’autre qui m’doit du biff (il m’doit des sous)
toujours sincère quand tu m’entends dans tes baffles
trop d’choses à dire mais y’a plus d’instru, allez bref
[outro]
c’est pour bébé, c’est comme mon jumeau (le renard, le renard)
la vie d’ma mère qu’il ne ment jamais (le plus fort du monde)
c’est pas sorcier, ouais, c’est comme jamy (omme ça qu’j’fais les choses)
guizi, y&w, yonea-w-lly, w-lly-yonea
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