a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de banco - gringe

[intro]
ah nan ma vie c’est une galère, tu la veux ?
et bah banco j’te la donne ! (j’ai dit banco)
j’ai dit banco
nan c’est pas bon

[couplet 1]
jamais j’échangerai mon langage fleuri contre langue de bois (jamais, jamais)
déso les amis j’rentrerai jamais dans les angles droits (non)
plus c’est dur et plus j’ai la tête dure comme quaterback (comme quaterback)
un paquet d’clopes, une ventoline tu connais l’starter pack
putain les mecs là j’comprends plus rien, wesh qu’est-ce qui s’est p-ssé ? (qu’est-ce qui s’est p-ssé ?)
j’déboule en concert, j’vois les p’t-ts turn up sur “pièces détachées” (merde)
dites moi c’que j’dois faire, rire ou en pleurer [?] flouté j’les vois tous en 2d
est-ce l’air du temps ou l’temps qu’on perd sur le net qui rend teubé ? (idiocratie)
et ça parle de quoi ? ça offense qui ? jamais la connerie a fait autant d’bruit
j’té-gra un nude a une p’t-te conne sans qi et j’me retrouve à expliquer qu’j’suis pas polanski
et t’aimerais qu’j’te dise que j’ai fait l’con et qu’j’vais m’rattraper (pardon, pardon)
mais p’t-être que j’prépare mon sixième long et j’parle pas d’café
et un pote qui glande me menace de mort, qu’est-ce tu m’reproches d’avoir foiré ta vie ?
gros si t’as l’temps d’en faire tout une histoire, profites en même pour faire une thérapie
y’en a qui louchent sur c’que j’ai construit, l’impression d’être fiché par la stasi
et toi tu pénave comme si tu partages ma vie

[refrain]
ouais fermes ta bouche ton opinion bien-sûr j’m’en cogne, bien-sûr j’m’en cogne
on l’a fait tout seul sans piston et sans plan d’com, et sans plan d’com
j’suis dans la zik, j’suis dans l’ciné, je sors, j’rentre quand j’veux j’ai le double des clés
bah ouais t’a trouvé l’album tout pété mais j’ai rempli cigale et chanté tout l’été
ouais fermes ta bouche ton opinion bien-sûr j’m’en tape, bien-sûr j’m’en tape
files-moi ton numéro et j’pose ma bombe pendant l’entracte, pendant l’entracte
j’ai pris du biff, de la moula, plus j’en encaisse plus j’encaisse les coups bas
j’suis comme paname ouais même quand je flotte non je ne coule pas (quelle arrogance)

[couplet 2]
attends 2 secondes que j’te raconte la suite, fanatiques savent même dans quelle rue j’habite
ces putes à clics m’insultent en dm, puis me croisent en vrai et me sucent la bite (f-guettes)
une ex me traque chaque fois que j’vais bien, comme par magie cette pet-te pute rapplique
avec des textos toujours plus sadiques, j’mène une vida loca commis tragique
j’ai sorti l’solo, embarqué quelques potos sur l’radeau
et pas d’quiproquos, j’ai fait roro sans p-sser sur radios (wow)
un drôle de business, je sais qui est vrai et qui fait l’mytho (j’te jure)
toi longtemps que t’es là mais tu trompes plus personne comme l’accent d’enrico
et y’a ces artistes qui aiment parler de l’amour du rap mais l’font pas sans profit
soignent plus l’image que leur étique, font plus des clips mais des placements de produit
nan ma zik et la tienne mon frère c’est pas l’même twerk (c’est pas l’même twerk)
même dans l’futur tu restes à l’ancienne comme captain kirk

[outro]
fluctuac nec verg… nec mergitur… fluctuam… nan…
oh putain j’en perds mon latin

- gringe

letras aleatórias

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