letra de intro : medley - gims (sexion d'assaut)
[paroles de “intro : medley”]
[intro]
babylonik
maître gims hein tu connais
maître gims nous néglige pas batârd
s-xion d’assaut maître gims
[couplet unique]
ils ont fais de nous des moutons
pendant c’temps nous on avance comme le désert vers tombouctou
et tous ces gens autour de moi frère mais est ce réel ?
je suis dans la merde comme si j’avais craché sur l’israël
moi c’est toujours nique la préfecture, les keufs et l’école
j’ai trop de choses à acheter donc la merco f-ck off
les filles, les fils de diplomates inhalent de l’aya
soixante pour cent de ceux qui rentrent en boîte, rentrent faya
soixante-dix ans c’est bien trop court faut bien qu’j’m’isole dans un iceberg
j’viens montrer qu’en france un flow peut être dingue
sans crier fils de pute ou dire bang bang
seigneur préserve-moi de terminer tétraplégique ou parano
ça c’est le ghetto se faire enculer par un frère ou par un autre
hé merde j’crois j’suis le genre de type qui déboule tous les mille ans
j’suis assez imminent un peu comme l’ac milan
mourir âgé comme jeanne calment, mourir jeune comme toutankhamon
t’façon j’rapperai tout en m’calmant, la juge d’enfants tout le temps qu’elle ment
où sont les mecs qui pris de panique prennent des claques
je préfère nettement être de tout ceux qu’on acclame (remix)
où sont les mecs qui pris de panique prennent des claques
je préfère nettement être de tout ceux qu’on acclame
j’ai observé depuis l’époque des benny-b
seigneur achève-moi si j’ai la poisse comme un kennedy
j’tease et j’tisse ma toile, j’mise et j’vise le sommet
le sommet moi j’le vois d’mon tier-quar, faut qu’j’reste, ça’m’démange, ça m’travaille (et ça c’est l’remix)
j’tease et j’tisse ma toile, j’mise et j’vise le sommet
le sommet moi j’le vois d’mon tier-quar, faut qu’j’reste, ça’m’démange, ça m’travaille
moi j’ai vu le venin venir, les wacks mc’s faut les finir
stupéfiant, une star du rap est mort et v’la qu’ils vénèrent vé-ner’
9ème zone c’est le gang yaba gang et les jeunes s’esquintent à la skunk
dans l’sous sol c’est l’gang bang, les shtars épinglent les dingues
t’façon c’est la moindre des choses ce putain de débit ne fait que débiter
mais qu’est-ce que c’est ce putain de flow qui ne fait qu’ébranler nos putains d’habitats
d’après la situation j’crois c’est rigoureux
t’as pas encore capté qu’soir-ce c’est nous ou eux
si les teu-bés prennent le pouvoir navré de t’dire mais faut que j’taille
les scientifiques sont devenus fous j’veux pas finir comme frankenstein
la science rassure les mécréants, l’esprit tranquille, la vie est belle
l’h0m-s-xuel qui prend d’l’ampleur, adopte un gosse et moi j’en pleure
ça fait un lapse de temps qu’j’bifurque sous c’temps glacial
les moins forts anticipèrent puis s’adonnèrent qu’à l’art martial
ça sent mauvais mais qu’est-ce c’est j’crois qu’la réponse est à mes pieds
moi si j’vis vieux j’veux faire des choses intéressantes comme l’abbé pierre
9ème zone comprends pourquoi mon gang manque de ganja
s-xion d’assaut dans les studios rime avec one shot
atterri comme un chat
(paroles en lingala)
maman c’est moi, oui j’ai grandi de peur j’me cache plus sous le lit
les balles ont déjà retenti, de ton enfant qu’est-c’que t’en dis ?
quatre-cents ans d’esclavage et de coups de fouet
mourir comme marc-vivien foé
t’es côté, tu prends des ailes tout ça pour balader “mam’zelle”
conduite en état d’ivresse, est-c’que les etats disent vrai ?
mon continent perd ses plumes y’a d’quoi vu toutes les attaques diverses
en été j’prévois l’hiver
putain j’perd mes repères ça va vite mets replay
pas de secondes de répit, les mc réesayent putain j’mets reset
rien qu’ils me rassurent, j’sais qu’en afrique ça rame sur
eh, le micro rapporte-le moi, dénoncer peu importe t’as le droit
fort probable que tu pètes les plombs si tu quittes ton appart à la fin de ce mois
j’suis un bourrin comme obélix les keufs voudraient qu’j’obéisse
en quelques sorte que j’rentre au pays, en résumé j’suis pas payé
les zaigos aiment la casser avec du franco ferre, j’crois que t’es fêlé
tirer sur autrui c’est ce que t’aimes vas y fais-le
ça m’a soulé, j’crois qu’il est grand temps que les pédés périssent
coupe leur pénis, laisse les morts, retrouvés sur le périphérique
pour ceux qui dorment les yeux ouverts
qui font l’argès même dans la merde
pour ceux qui lèvent la paume des mains la direction droit vers la mecque
y’a des coups de feux “bam !” c’est pas finit reste au lit
la capitale se barre en couille un peu comme philippe risoli
ls veulent m’faire croire que je descends du singe alors que celui-ci descend d’un arbre, si c’est le cas j’suis sangoku
et mon papa est peut être un astre meskine
c’est la terre du milieu ou du mordor et j’ai l’anneau magique
3e pro et dans l’veaucer j’ai des nanomachines
l’apologie ou l’apogée, du skeud, j’ai la pochette
des familles délogées, c’est bien la guerre pas celle des polochons
j’frappe comme l’éclair, j’veux rentrer, j’ai pas les clefs
relou comme les colons puis bien plus deuss que legolas
mon inspi’, j’ai rechargé, je joue mon rôle comme richard gere
je suis celui qu’on recherchait, le genre que même les riches achètent
résout-on les problèmes en s’enfuyant ?
ou en restant sur l’rain-té, quitte à brouille-em l’surveillant ?
y’a les impolis, les polis, ceux qui détroussent tout puis polluent (remix)
la police des polices et leurs bavures, c’est bien connu
y’a j’sais pas combien d’compils et sur ce point, j’veux pas cambrer
j’ai tout compris sauf les combines, moi j’ai fait la guerre mais qu’en feat, hé
on m’a parlé des intérims putain de merde oh qu’ça paye ienb
la hagra, les agressions, oh oh oh que c’est pas ienb
un narvalo a copié mon style et j’sais pas comment
j’prend des risques comme noko vesti donc j’suis pas commode
fréquentez pas l’intérêt, j’ai sauté j’ai pas ratterri
j’vais pas passer pour quelqu’un de bien jusqu’à ma mort comme mitterand
pénurie fait que ce putain d’sort, j’crois que j’suis l’ironie
erroné, presque périmé aux yeux d’mes pères et mères
maître gims, ça c’est l’volume un, la terre du milieu
ca va durer encore combien de temps man
déja que l’école c’est con mais j’reste cool je rie comme jack nicoleson
et du quartier j’ai du bifurquer, fais nous tâter c’qu’on t’a octroyé
j’ai pas eu b’soin d’faire de crise d’ados, ni de crise tout court, j’ai vite percuté
des lyrics lourdes pour un peuple qui n’avanc’rait qu’avec des baffes
“là y neige” “là y fait beau” t’as sûr’ment dit : “le temps est bof”
les demoiselles qui sous leurs nez ont souvent vu passer leur bac
les amus’ments se font encore : une fois chez elle papa les battent
les enfants toxicos dorment sur des lits de seringues
nous néglige pas bâtard le bon flow s’fait rare
de squat en squat on vit comme des rats
des clashs et des clasheurs rentrent dans la cave ou dégagez pour pouvoir empocher des projets bellek xxx
prends pas tes aises, et n’oublie surtout pas qu’il n’y a pas 2 semaines tu n’étais qu’un tétard
pour certains types faut des tes-tar
des rats putain c’est l’drâme j’dirais même c’est dar
s-xion d’assaut, assonance, 3e pro, adams, maska, lefa, black m
ok ok on est là
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