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letra de long courrier - georgio

[paroles de “long courrier”]

[couplet 1]
48h que je pense à toi non-stop
et je te sais dans un avion
c’est p’t-être ça qui fait la magie de la dernière fois
mais merde, ouais j’suis seul dans mon salon
j’aimerais être avec toi déjà j’ai envie de tout partager
et si tu me réponds pas, j’sais que ton ex y veut tout sauver
mais si t’es seule attends-moi et j’te rejoins
j’m’en fous de quoi sera fait demain
j’vis pour l’intensité et nos conversations
pour nous retrouver, ouais, front contre front
et si je me mets à t’aimer pour l’éternité
je suis pas sûr qu’on revivra un truc similaire à la nuit dernière
et j’l’oublierai pas
à minuit, on s’est rejoins en bas de chez toi
puis on est parti à vélo
et pour le reste, nan je crois que j’ai pas les mots
j’avais mille raisons de te croiser
mais deux fois plus de n’jamais te connaitre
la vie nous a mis sur le même chemin
ton visage m’a marqué la nuit même t’étais dans mon rêve
j’t’ai écris
on s’est revu
c’est relou tu me dis que tu pars
qu’on pourra plus se voir
je voulais profiter de toi jusqu’au dernier moment
et pour la suite, on verra plus tard
on roulait, on partageait un écouteur chacun
et je revois nos regards, nos sourires et nos voix qui chantaient
paris était à nous, on avait les clés
le monde à nos pieds
les feux étaient verts
les trottoirs déserts
on remontait les champs-élysées
tout les deux à parler de la notion d’infini
de la mort comme de la vie
du feu qu’on croise dans la paix
avec en fond, la tour eiffel qui brillait
[refrain]
les routes vides dans la nuit avec toi
j’voulais que ça dure toute une vie tu t’ai déjà envolé dans ce long courrier
et je veux pas attendre ici
les routes vides dans la nuit avec toi
j’voulais que ça dure toute une vie tu t’ai déjà envolé dans ce long courrier
et je veux pas attendre ici

[couplet 2]
t’écoutais mes démos ton avis comptait plus que les autres
mais tu le savais pas
t’étais si belle j’voulais autant me livrer que te faire parler de toi, te prendre dans mes bras
laisser le silence observer la nuit
j’nous savais connectés
imbrisable, en pleine télépathie
on échangeait sur des films et des livres
j’te racontais mes délires
les gens qui m’ont déçu
tout comme tous ceux que j’admire
puis tout s’arrêta
c’était comme un film
le monde en pause
juste nous vivant
on s’embrassait et je touchais ta peau
on était comme béni par le tout puissant
main dans la main, trois heures du matin
juste un peu de vent
en pleine sérénité
dans l’instant, ouais je me laissais guider
puis on est reparti
chemin retour
avec la même énergie
autant de magie
à contre-sens sur des routes interdites
on se passait le mic, on chantait timidement
oui comme si paris leur appartenait
on voulait rester dans l’intimité
les chansons d’bruno mars qui se répétait
au moins 7 mois à attendre
si tu me laisses faire, je change le destin
c’est pas possible c’était aussi bien
j’pourrais partager tes peines comme ton quotidien
du moins le plus possible
j’sais qu’nos vies sont différentes
et qu’on peut se comprendre
ou p’t-être que je me trompe
ou que je me fais des films j’sais pas, mais no pressure
[refrain]
les routes vides dans la nuit avec toi
j’voulais que ça dure toute une vie tu t’ai déjà envolé dans ce long courrier
et je veux pas attendre ici
les routes vides dans la nuit avec toi
j’voulais que ça dure toute une vie tu t’ai déjà envolé dans ce long courrier
et je veux pas attendre ici
et je veux pas attendre ici
et je veux pas attendre ici
et je veux pas attendre ici

- georgio

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