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letra de de nos jours - fonky family

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[scratches]
“family fonk”
“représente”

[couplet 1: le rat luciano]
vois où on est, tout s’joue dans un regard ou un mot
la mort attend la chose qui naît donc j’goûterai au tombeau
autant rester vrai dans l’intention, relater les propos
viens pas tester ma loyauté, qu’j’aille en paix trouver l’repos
j’suis l’même en beaucoup moins tendre
vu qu’j’ai beaucoup moins d’temps
j’rêve moins comme les moins d’vingt ans
si t’as des oreilles entends
j’sais même plus quel drapeau défendrе
alors j’représente mon coin еt ses gens
on s’rend même plus compte des saisons
de c’qu’ils nous passent sur les ondes
c’que l’peuple subit à cause du système et ses hommes
en écoutant et contemplant l’monde, on voit l’égarement
de nos jours c’est dur d’s’en sortir légalement
passe mes amitiés au peuple, les gens aux pensées tristes
à ceux qui savent grâce à qui on existe
jusqu’à ceux que j’ai blessés, j’m’excuse, j’insiste
j’ferai tout pour qu’mes principes et ma musique vivent
pourquoi, parce que c’est ainsi
ceux qui ont du poids trichent
après ils osent te parler d’patrie
mais ils oublient qu’leurs injustices sont gravées dans nos poitrines
on souhaite pas finir célèbres dans leurs annales du crime
mais nul sait, nul ne peut changer c’qui est écrit
sept sur sept aigris
vu qu’on cultive orgueil, mépris, ingratitude et tromperie
ici c’est la merde, t’as compris
protège ceux qu’tu aimes, tes biens, ton cœur
et avec loyauté, profite d’la bonté du créateur
wesh tu m’suis
[refrain : sat/le rat]
de nos jours
y a tellement d’haine qu’on pense mauvais
c’est en nous
que l’premier combat doit s’livrer
l’heure tourne
et nos gens sont d’plus en plus déprimés
peu d’choses changent
et nos gens sont d’plus en plus opprimés
on cherche à vivre libres, d’une manière ou d’une autre
mais vu qu’c’monde est une prison, on aura toujours les menottes

[couplet 2: sat]
de courte ou d’longue durée, la vie c’est qu’une peine à tirer
et y a qu’toi pour l’endurer
[don choa]
remercie et prie, libérons nos esprits
l’pouvoir a tout perverti, soignons nos âmes meurtries
entre pleurs, tristesse, colère sourde
attends l’feu du ciel, éclair tonnerre foudre
entends les enfants qui dans ces temps d’guerre souffrent
nul mal ne subsiste quand l’vent de l’éternel souffle
j’suis fou et inconsolable dans une foule incontrôlable
où fuir, nos cerveaux sont nos propres bagnes
au fil des années, tu t’es fanée ma rose
à force de taper, gober des ecsta roses
ici-bas ils disent qu’tous les chemins mènent à rome
mort aux oppresseurs, bless di faya make it bone
si j’suis fâché c’est parce qu’ils ont tout gâché
ils veulent écraser les plantes, donner l’alcool et les cachets
cacher la vérité depuis l’début
dans la souffrance on prend conscience que rien ne nous est dû
paradis perdu
[couplet 3: menzo]
voilà c’que deviennent nos frères
travailleurs, képis ou voyous
certain finissent avec l’alcool, noyés par leur dégoût
sous un toit, derrière les barreaux, dans les égouts
la misère, la réalité sur terre nous pousse à bout
nous plonge dans l’doute, chacun suit sa route
dans c’monde où rien n’est donné
des mères finissent par abandonner des nouveau-nés
histoire triste, réelle, que tous on connaît
qui s’aggrave de jour en jour à cause de la monnaie
c’est clair ici frérot, ça tourne pas rond
pour des nike on frappe son daron
on en viendrait même à insulter sa propre daronne
on refuse rien à un ado et après on marronne
jusqu’à entendre les voix d’l’absurdité s’étendre
les parents n’ont plus l’pouvoir qu’ils avaient avant
leur autorité est réduite au néant
et ça c’est navrant

[refrain : sat/le rat]
de nos jours
y a tellement d’haine qu’on pense mauvais
c’est en nous
que l’premier combat doit s’livrer
l’heure tourne
et nos gens sont d’plus en plus déprimés
peu d’choses changent
et nos gens sont d’plus en plus opprimés
on cherche à vivre libres, d’une manière ou d’une autre
mais vu qu’c’monde est une prison, on aura toujours les menottes
[couplet 4: don choa]
et tout va si vite, la fleur meurt avant d’éclore
à chaque chaîne que nous brisons, ils nous en remettent d’autres
[sat]
j’ai imploré dieu mais y avait personne à mon écoute
du coup j’doute qu’y ait une place pour nous aux cieux
viens voir l’monde à travers mes yeux
tu t’rendras compte qu’y a plus rien sur quoi miser
les années passent si vite qu’on ne les compte plus
rien n’change, même pas leur foutu contenu
on prend les mêmes où est-ce qu’on a perdu
et on continue en attendant de repartir comme on est venus
dans la douleur, le cœur lourd
à mon tour, j’tâche de m’convaincre que c’monde est à nous
je cherche de l’amour où y en a plus
chez les autres et même jusque dans ma plume
c’est pour dire, c’est pas une partie d’plaisir mais t’as beau courir
tu peux pas t’fuir, non, tu peux pas t’semer
j’sais qu’ça serait plus simple si on s’aimait
mais la vraie vie s’finit rarement comme au ciné
à la clé, y a pas souvent de happy end
des larmes de bonheur mais beaucoup d’pleurs de regrets et de complainte
pour preuve, y a qu’à voir comment on se scinde, comme on se saigne
j’dédie ça aux miens, encore en chien
c’est pour les miennes, encore prisonnières de leurs chaînes
t’es jamais blindé face à c’que ton existence t’enseigne
et l’pire, c’est qu’ça commence dès qu’t’y entres en scène

[refrain : sat/le rat]
de nos jours
y a tellement d’haine qu’on pense mauvais
c’est en nous
que l’premier combat doit s’livrer
l’heure tourne
et nos gens sont d’plus en plus déprimés
peu d’choses changent
et nos gens sont d’plus en plus opprimés
on cherche à vivre libres, d’une manière ou d’une autre
mais vu qu’c’monde est une prison, on aura toujours les menottes

[outro: menzo]
on voit l’visible, le nuisible
la misère, son désordre
et c’est en musique qu’on te retranscrit l’décor

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