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letra de fuchsia - flegz

(fly, fly, fly, fly, fly, fly, fly …)

[couplet 1]

j’dirais qu’elle m’a pulvérisé
pris dans le charme de cette fée rusée
rien que d’y penser j’ai ai le poil hérissé
mes plaies cautérisées
une fois mes sentiments vulgarisés
si elle m’a trompé je pourrai pas le vérifier
dans les filets d’une milady
lutter pour s’en tirer
mais sans cesse retomber
dans le piège de la jalousie
a travers elle
je vois l’attirance comme une épidémie
la rencontrer je le souhaiterais pas même à mon pire ennemi
au crochet de cette vilaine fille
mon corps me dit : “reste, elle est si sexy”
ma tête me dit : “run ! comme d.m.c. !”
j’me souviens qu’on était posés sur du epmd
après moi, elle a fréquenté plus de dix mcs
embrumé par ses inepties
ma tête gonfle à la gillespie
jusqu’à convulser comme épilepsie
p-sser de l’eau de rose à ce ciel gris
j’étais si aigri
un nouveau rap pour éviter le psy

[refrain]

quelle est la femme qui partagera ma life ?
comment s’appelle t-elle ?
quel est son tél ?
quand je le rencontrerai ce sera une évidence
ma belle : voulez-vous m’accorder cette danse ?

quelle est la femme qui partagera ma life ?
comment s’appelle t-elle ?
file-moi son tél
quand je le rencontrerai ce sera une évidence
ma belle : voulez-vous m’accorder cette danse ?

[couplet 2]

toujours quelque chose qui cloche avec ces miss
quand elles sont cool : elles sont moches
belles ? relous me voient comme un mioche
couleur du gloss -ssorti à la jupe
ne rentre pas dans son bluff
ou tu traverses un désert sans jeep
elles m’enroulent comme un maki au jap
veulent que je trouve un job
je t’avoue que le seule chose que je taffe
yippie-yippie-ya ! yippie-yo ! yippie-yeah !
fais gaffe à ton pèse, ou elles vont toute te pillier !
ca fait yippie-yippie-ya ! yippie-yo ! yippie-yeah !
quand tu seras sur la paille
chipie t’aura oublié !
un sourire contre un gros billet
veulent pas s’ennuyer
rêvent d’un footballeur ou d’un joueur de nba
femmes au foyer désespérées
elles ne pensent qu’à errer
la nuit façon jeunesse dorée
si ya que dalle sur ton compte en banque
a ses yeuses, t’es qu’un punk en manque
elle ne visent que le ponte en planque
je l’entends s’écrier : “par tous les dieux !”
parler d’un continent où tout est mieux
elle sait qu’on devrait finir tous les deux
elle flippe de terminer comme tous ces vieux
cherche midi à quatorze heures
son âme soeur est juste sous ses yeux
le monde est vaste
et nous ne sommes rien que des grains de sables
particules instables
dis-moi c’est quand qu’on s’installe ?
préfère vivoter en colloc ou en chambre de bonne
la peur de terminer en cloque et dépendre d’un homme

- flegz

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