letra de douzième heure - fk
[intro]
je préfère un ennemi sans scrupule qu’un ami sans vergogne
a la vie à la mort sans virgule
j’en rigole
fk, purple kemet, maudit mob
[couplet 1]
perdu comme ma génération gunshot
la sodomie c’est cyclique
belek au pull up
nostalgique pour pas cher ça faisait nimp’
un diabolean et je vois le triple 6 dans le 7up
me rappelle que malcolm j’imite
sodom j’évite
mogo poué et doué fkemite
qu’on me mente que je leur mette
cherche toujours ma voie j’écoute celle de kemet
je suis dans le bain ou dans son b-ssin malsain
mamacita me tue le temps d’une salsa
la dale ça taffe, le ciel gronde comme l’estomac je suis en dedans
le bayeton s’allonge comme dhalsim
tout est café clope je sirote toujours pas blonde
très peu de sentiments remplissent mon cœur à part le seum
on vient d’en bas, fils de… tu veux qu’on vise quoi à part le ciel
regard lubrique vers demoiselle comme si j’n’allais jamais être papa
tu sais où me trouver je crèche là où les punchlines ne se cherchent pas
j’ai pas changé, même cité, chaussette claqueté, je sirote arabica non lactée
papa trouve qu’on a la tête dure
cette tchoin trouve que j’ai le bas de rein contracté
je suis bleu tu me parle d’inspi’
le rap un jeu d’enfants ça parle de moi comme si j’avais sauter l’inst-t’
hey, hey traine avec cauchemars de la spip
mon cercle c’est toujours pas le carré vip apprentie b-tche
tu vois le baye ou gbaye
je viens ouvrir d’autres portes tu peux couvrir ta bouche avec ta main
c’est pas cette orifice qui va se mettre à bailler
tu vois le baye ou tu gbaye
j’apporte rien de ludique je viens baffer comme le géniteur
juste après j’irai me laver les mains au pec’
impec’, rap jeu vieux et marrant comme popeck
une m-ssa une clope et huit tête
je viens leur faire chanter turlute à tue tête
j’ai pas le temps de sciencer qu’ils prennent poutrelle pour pipette
on vient faire des ronds tâter de la rondelette
des frérots en perm’ d’autres sortie du jour du-per
ce que le manque butèrent
aloha comme cri de guerre
je vise un bord de mer
j’ai pas quitter le train d’enf’
solo je soigne mes plaies, le sh-t fait de l’huile comme le camphre
tout ça reste ésotérique l’état second m’abrite
ham et enos me communiquent
je dépends d’un autre système lunaire
nique des mères comme si j’étais daron
mais j’apporte rien de ludique
je compte sur sonne-per aucun humain aucune humeur
j’attends qu’on vienne me cher-cher comme tous bon fumeur
la gloire ça dure qu’un quart d’heure
j’ai touché plus de joints qu’un putain de carreleur
on sort du jour à la douzième
je suis rentré dans l’ombre à la première heure
letras aleatórias
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