letra de ombres blanches - fayçal
[paroles de : “ombres blanches”]
[couplet unique]
une feuille, de la magie blanche, de l’encre, des bêtes noires
forte tête, gis là où tout flanche, jette l’ancre sur des déboires
entre mon olympe, mon chez moi souvent rédige un sonnet
des piges de schémas, aidez-moi, grimpe mes propres sommets
haute voltige, loin de leurs auteurs en vogue
aucun moteur sur la piroguе, et à chaque faute, ça fustigе
des rivières de lave sur les langues, qu’importe, les choses se passent
pose, exporte mes proses dans l’esp-ce, des roses sur nos civières exsangue
dans des jardins suspendus ou fleurs du fiel sont les pensées
ou le dédain s’est rependu, j’effleure le ciel, j’ai compensé
des cris, des faux semblants, les prédictions se concrétisent
l’addiction se poétise, j’écris dans une fosse en blanc – souple et
souple et tord de manière intersidérale
ici la terre, rien d’idéal, quelques couplets au météore
que se lavent mes fautes mes artères, il est tard, tout va trop vite
flotte sur la lave, les cratères, dans cette chaleur en haut lévite
et l’horizon, se délave grave, nous que va-t-on laisser ?
brisons tout dans une dernière salve, les braves sont à laisser
des prières avant coureuses d’éphémère clarté
des âmes entières douloureuses, quelques cœurs fiers de la rareté
bienséant, vaillant, bienveillant sur des mers de rage
bataillant quelques mirages entre la mer, l’attrayant
décalage avec leur monde où tout se voit fort et célèbre
comme hors du temps, des ténèbres au large entend que des voies grondes
à la conquête de la lumière mais loin des paillettes et des strass
en quête de grâce entre l’âge d’or et l’âge de pierre
entre silex, papiers, entre la lune et le néant
les lagunes, les océans complexent où nul n’a pieds
dans ce labyrinthe, que béni soit l’intellect
dans un bien étrange bien être la bête cherche l’ange pour l’étreindre
une brèche dans l’infini du large
quelques louanges, quelques prêches, quelques flèches entre deux nuages
de l’amertume dans les sillages, des flammes dans les naseaux
laissent quelques plumes dans les grillages quand ils acclament tous le roseau
de l’orage sur les figures, comme une rage autarcique
de rares oiseaux, des augures coincés dans les cages thoraciques
des sommes de différences, on s’additionne, on se soustrait
des hommes sans déférence qui s’auditionnent en retrait
abstrait comme respect, trahison, les traits sur les visages au loin
voix la paix, son message, des paysages de guérison
des bornes sur la réserve, à remuer fiel, terre
sur des licornes, des rêves, prendre le ciel pour argumentaire
s’éprendre à cracher sur le luxe avec calme, volupté
nos âmes ils n’ont pas sculpté, ils ont bâché le velux
dernière danse, et le feu darde nos yeux
que quelques vœux fardent les cieux derrière nos discordances
un peu faire mentir la voyance, les parcs, les avis tracés embarquent
une vie poignante comme un enfer à terrasser
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