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letra de a l'appart - fa-dany

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[1er couplet]
toi et moi on s’était juré le love, ça nous a dép-ssé
parfois j’y repense enfermé dehors
je ne peux pas rester dans l’appart je galère
je repense au moment où on était deux
même pauvre on y arrive même si le cœur c’est reuch
tu m’as quitté à cause de la tise, le teuch, le meuse
je t’ai dit que j’arrêterai mais pour mentir j’étais deus
le temps p-sse
j’dors rarement mais parfois je m’en p-sse
tu me manques l’encre ne suffit plus
j’survivrai je me le demande
mais demain est un autre jour
je revois tes larmes sur tes pauvres joues
j’ai déconné ma belle, j’avais déjà le cœur bétonné sa mère
dans l’appart j’ai gardé tes vielles tofs je me laisse aller
et c’est rare que je me restaure
dans le noir je baisse les stores
arrête de m’envoyer des messages reviens
si tu veux savoir ce que je deviens
les voisins s’inquiète t’avais raison ma belle il y’a pas d’happy end
donc j’pillave implore le ciel, imagine le final
tu te rappelles la première fois que t’es venu dans l’appart
des comme toi il y en a pas, miss
j’glisse dans le vice la tise
c’est pire mais comme d’hab j’me défile
et quand défilent ces b-tchs
jme dis qu’aucune à tes yeuzs ma biche
ça fait déjà 2 piges
je réponds plus au phone
j’reste dans l’appart et j’suffoque, la douleur j’supporte
j’ai quitté les miens, il y’a qu’avec toi que j’étais bien
sans billets, tes yeuzs scintillaient
j’voyais des anges sans prier
de ma tour de babel

je reste dans l’appart’ x2

[2ème couplet]

il y a des jours sans, des jours avec
sans toi c’est toujours sans
pleure des larmes rouge sang
je bouge sans
conviction au taff, c’est trop tard mais faut que tu me pardonnes
avant qu’on m’cartonne
qu’on sonne le dernier quart temps
je t’ai toujours aimé j’ai pas su le trer-mon
le démon te-mon et l’ange descend
dans la pénombre
ma belle j’attends que tu m’appelles
mais l’appart reste vide
l’avenue je sais pas ce qu’elle me destine
les teilles jonchent le sol
je me défonce, ma cons’ je l’ai ken
ce n’est pas une ives
comme quand les flics fouillent mes poches
pr-nonce mes peines
j’ai peines à rester lucide
parfois je te vois dans l’appart, je sais que j’hallucine
geste abusif
tu comptes plus que mes pupilles
t’es partie pour plus jamais revenir
je n’ai pas su te retenir maintenant que t’es plus là
je sais plus à qui je peux tenir
toujours le même cycle les mêmes ziks en boucle
nique je la ferme, même si j’en souffre, tu t’en doutes, je m’en ouf
même si je m’engouffre dans le gouffre
de toute façon je guette le précipice
après toi y’en aura pas d’autres, y’aura pas de récidives
même si mes ex s’immiscent
je les tejs comme une vielle paire de tennis
la femme vient de venus et l’homme pense que p-sse par son pénis
j’croyais qu’on mourrait d’amour comme au cinéma
tu me verras sourire même si j’ai mal
je sais que j’vais pourrir vu ce que j’inhale
toujours les mêmes chimères quand je gratte mes tirades, infernale spirale, affalé sur le canap’ de l’appart
‘teille de pinard

letras aleatórias

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