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letra de deux vie - e.t.a

[couplet unique]
même si la vie a le goût de sel comme les larmes s’essuie
vos paroles ont touché mon cœur et l’humain que je suis
je souhaite de trouver votre voie dans le monde qui s’étend
trébucher soulève les réponses sur le chemin que l’on prend
les mathématiques c’est chercher même si c’est insoluble
c’est vouloir trouver la beauté dans n’importе quelle solide
c’еst dessiner grâce au soleil les contours de la lune
trouver sa propre vérité dans un ensemble vide
j’vous souhaite de garder vos passions de sublimer vos pleurs
vous êtes à l’âge ou l’émotion pourrait brûler les yeux
même si dans la cours de l’école on se moque de vos peurs
dite vous que sans peurs y a pas de courage on est rien sans les deux
tellement de question pour un cœur qui veut trouver la paix
l’amour des autres c’est la seul arme qui peut tuer la peine
je sais que la violence est présente quand l’esprit se ternie
mais quelle finalité donné quand la vie se termine
est-ce que l’ignorance est le problème de notre époque ?
faite attention à l’avidité du progrès que l’on porte
prenez du recul sur vous même quoique complexe est le choix
parce que la meilleur des réponses se trouve souvent en soi
ne vous posez pas d’étiquette, pourquoi se limiter ?
le potentiel c’est définie dans son infinité
même si dans le doute je sans brûler tous ces mots que je nie
je sais que la mort a pris mon père pas le feu qui nous lie
soyez heureux l’intelligence c’est qu’un support
s’alléger c’est l’essentiel face à ce poids que l’on supporte
même si le diplôme fait la clé du métier qu’on incarne
apprendre à aimer c’que l’on fait vaut plus que c’que l’on gagne
comment se construire la bien-pensance me détruis l’encéphale
quand j’appose mon avis ça rend stérile la naissance de mes phrases
être à l’écoute rend le silence parlant pour ceux qui veulent
ça réchauffe le cœur et l’esprit et ce même quand il gèle
j’ai tellement peur du quotidien inconscient de ma force
face à l’émotion les mots sont des signaux sémaphore
la vision troublée par l’enfant qui se reflète en moi
j’ai pas grandi car ce gamin à encore peur du noir
j’ai envie de pleurer tous les jours à inonder mon corps
ça suffira jamais y a pas assez d’eau pour noyer la corde
paralysé face au passé quand les souvenirs circule
un cinq ans d’amours éternel et maintenant je titube
j’suis bien trop fragile pour ces gens qui veulent trouver la paire
j’ai rien à donner appart ce morceau qui peut soigner mes plaies
j’essaie de tomber amoureux la main face à l’orage
j’ressens la tourmente de vos dieux l’esprit comme un oracle
moi cette chaleur incandescente j’lai connu que l’été
à partager le goût d’une nuit quand la vie est légère
j’sais qu’l’impermanence de ton corps défi l’éternité
parce que ta place est si précieuse dans ce vaste univers
vois dans ma vie comment se définit le court
le long fleuve tranquille s’évapore pourtant y a l’eau qui s’empare de mon cou
j’me sens coupé d’un ancien moi innocent face aux sabres
le temps érode les sentiments le cœur rempli de sable
j’suis plus qu’un miroir solitaire un penseur dans le doute
mais l’étoile brille sans sa lumière quand céleste est la voûte
j’ai l’ironie de soulever la fonte face aux mouvements des astres
les larmes du soleil c’est la pluie qui témoigne du désastre
j’ai aucune croyance mais ces gens me ramène à tes yeux
j’ai l’impression que tout relis l’amour qu’on se portait l’un l’autre
et si ce monde est si bien fait dit moi c’que font les dieux
y a rien qui justifie le vide que ton absence provoque
j’ai peur que personne puisse comprendre le divin qui nous lie
qui réduisent ça aux synapses d’un cerveau sous des formules chimiques
mais tu m’a forgé tellement d’armes le cœur rempli d’espoir
assez pour traverser l’enfer même si j’sens qu’tout est noir
ton sourire n’est plus là j’ai le cœur en hiver
mais la chaleur de ton amour change les saison pour associer l’été
le temps suspendu par une corde j’ai l’esprit qui hiberne
j’attend de trouver les réponses avant d’me réveiller
tu sais papa j’ai pas les mots j’ai pas assez d’une vie
j’ai tellement peur face à ta mort c’est la mienne que j’envie
enchaîné comme des gladiateurs tu protégé mes côtes
mais je sais que l’on se reverra dans cette vie ou dans l’autre

- e t a

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