letra de une histoire sans fin - dwayne rush
ils se sont rencontrés au détour d’une rue, ou peut-être bien au lycée
-ssis l’un à côté de l’autre, bref je sais plus et puis c’est pas le sujet
elle sortait d’une relation difficile et essayait de faire son deuil
il se cherchait encore, en quête d’un être qui ne plaira pas qu’à son œil
tout le monde s’accordait à dire qu’entre les deux il y avait un truc
une tension, une histoire, peut-être une p-ssion ou un mystère
loin des affaires de flûtes, ils préféraient les guitares et les chandelles
ils s’entre obnubilaient, elle ne voit que lui, il n’entend qu’elle
ça partait bien, mais vous connaissez les aléas des horizons
quand la p-ssion devient prison, chacun en perd la raison
la chanson ne tient qu’un temps, les paroles semblent avoir changé
ça fait mal au cœur, regardez-les s’ignorer comme des étrangers
au fond ils s’aiment toujours, mais jamais ils ne vous l’avoueront
ils reviendront et se quitteront, arrivés à dix mois tout rond
un message, un regard, une parole ou une mélodie sans danse
il suffirait de si peu pour inverser la tendance…
(refrain)
pour certains c’est un beau roman, une bien belle histoire
l’affaire de deux jeunes voulant s’échapper du brouillard
une chanson dédiée aux âmes libres mais démunies
seules et déchirées face à cette boîte à musique
pour certains c’est un beau roman, une bien belle histoire
l’affaire de deux jeunes voulant s’échapper du brouillard
une chanson dédiée aux âmes usés par les relations
seules et destinées à rejouer leur rôle à fond…
on l’avait tous prévu, ils sont repartis pour un tour
au loin l’orchestre joue des notes rappelant leurs premiers amours
on les revoit ensemble, ils ne calculent même plus les autres
tous le monde a ses rêves, dans un tiroir j’ai peut-être encore les nôtres
et puis la tempête revient, balayant leurs nouvelles fondations
ils ne contrôlent plus leur matrice et leur réel s’effondre à sion
on se croirait dans un film, c’est pas le faucon mais la colombe qui chute
leur corps s’en sont sortis, mais leur mémoire reste pleine de virus
pourquoi tant de questions ? et surtout, pourquoi si peu de réponses
les douleurs sont si fortes qu’un suicide ne serait que légitime défense
enchaînés l’un à l’autre, et leur futur emporté, torturé par le vent
il rêve d’une belle plante mais ne trouve qu’un désert en s’levant
elle s’oublie sans le vouloir, n’ayant plus personne à séduire
c’est dommage, ils ne sont pas comme ces couples qui n’ont rien à se dire
dans une autre vie, il aurait souhaité lui p-sser l’anneau unique
de ces feuilles mortes il ne lui reste qu’une boîte à musique…
ils repartent et ils reviennent, deux, trois, ou une dizaine de fois
il lui reste des chansons et des photos, sûrement une dizaine de toi
ça se répète à l’infini, des miliers de couplets et toujours le même refrain
c’est rare mais ça m’arrive de vivre des histoires sans fin…
letras aleatórias
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