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letra de famiglia è grande - dosseh

[paroles de “famiglia è grande”]

[intro]
hadouken
narcos
ok

[couplet 1]
ils font les hommes sur le net, c’est des chattes
j’pense qu’à recompter mes tales et enculer les charts, eh
aucun détail ne m’échappe, j’n’ai aucun égal, je les charcle
j’payais le luxe de choisir le cadeau du ciel
j’fais bouger les mecs de cité, fantasmer les ados du 16
cesse de nous demander ce qu’on fait dans la vie, demande-toi c’que tu n’fais pas dans la tienne
y a les loups et les agneaux, l’ami, moi, j’sais où j’veux être dans la chaîne
vous n’saurez jamais, [tous/plus ?] que le jour, toi, t’as la nuit
vous n’saurez jamais ni d’où l’on vient, ni c’qu’on a subit
je ne consomme aucune drogue dure et l’amour ne fait pas exception (eh)
la rue a-t-elle fait d’nous des ordures ? j’ai pas la réponse, j’ai qu’des questions
j’crois que ma chérie s’interroge : “c’est qui émilie ? c’est qui laura ?” (ouh)
j’vais devoir [?] ces pélos, c’que chérie mérite, bah chérie aura

[refrain]
[ton boloss rie ?] sur le produit, mon re-frè vient d’sortir de condi’
vos héros sont nos tortionnaires, nos héros à nous sont des bandits
[ton boloss rie ?] sur le produit (gang), mon re-frè vient d’sortir de condi’ (grr)
vos héros sont nos tortionnaires (ouh), nos héros à nous sont des bandits (oh)
[couplet 2]
on a l’adn des grands hommes (ouh), la dégaine des dom (oui)
il n’y a que les sommes qui me consolent (consolent)
plus rien ne m’étonne (‘tonne)
j’suis un putain d’renoi qui fout l’zgar dans ta putain d’te-boî
j’prends les loves qui m’reviennent de droit
j’veux toutes les ken mais tu n’aimes que moi, tu n’aimes que moi (que moi)
on a cassé trous dans la paire, d’autres ont capté l’truc à long terme
on réinvestit l’biff du caillou dans la pierre (hey, hey, hey, hey)
c’est nous les mannequins d'[?], c’est vous les tapins du rond-point d’la porte d’auber
logique, on vous nique vos mères (nique vos mères, yah, eyah)
plus proche de la fin que du départ, j’ai la vélocité du guépard
style de baisé, flow de bé-chtar (grr, paw, paw)
ryker 600, j’crame le boulevard, au-dessus d’l’argent, y a le pouvoir
kandé comme [i by ?] oumar (kandé, kandé, kandé)
plus de chance de m’ser-croi au dutty free qu’en chicha
personne ne vous connaît, vous n’êtes pas official
toujours l’même en-ré-foi, 800k eu’ plus tard
fils de pute vole mon coffre donc cross dépasse du futal (paw)
c’est l’chemin pour viser, c’est pas mes sons mais cette vie qui est brutale
dites à ces p’tits bâtards d’hypocrites que j’suis au courant d’leur durée buccale
j’touche pas les grosses [tiagas ?] qui baissent avec d’autres rappeurs
lossa et rien du tout, wallah, c’est l’homme qui a peur

[outro]
2.0.2.0, dosseh
dernier roi des lossa, hein
et tu vas rien dire, et tu vas rien faire
la famiglia è granda

- dosseh

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