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letra de laisse - disiz

[paroles de “laisse”]

[intro: fdy phenomen]
fdy phenomen, disiz la peste, [?] maestro, ouais, ouais
on vient faire jouer ça, on vient faire jouer ça, fort
hey, hey, hey, hey

[couplet 1: fdy phenomen, disiz]
qui aurait cru qu’j’pourrais leur faire ça?
de rimes, [?], j’vise pour m’les farcir
mes comp-rs-s se fâchent de voir des cons percer, rager
trop terre-à-terre pour adhérer aux cinq pourcent
où, un jour, lèvres gercées, par l’amour du sh-t et du hall
j’ai perdu l’duel contrе le temps
coeur froid commе les deux pôles, pour alléger l’poids d’la merde sur mes épaules
on r-t-rde la haine avec du [?]
moi, c’est petit blaze, c’est petit flouze, juste pour mon esprit si tu connais pas l’truc
gueule ta race et kiffe, bébé, ramasse tes tiffs
ma vérité décoiffe, rend même les beaufs agressifs
(hey, hey) ce massif pour une première sommation
pour pas qu’les frères [?] à souhait
faut m’dire si ça cogne, hein, sinon j’change
paraît qu’c’est d’où j’viens qui dérange (ouais, ouais)
où j’vais qui enrage, mais faut leur dire qu’j’ai vu rouge avant eux
donc ça d’vient rude pour les [démons challenge?]
[dis leurs t’miniks?] d’vant ma nonchalance
([?], j’vais t’en donner, [?]) des textes [?], autant qu’on est, on peut leur faire lécher a-ç
[?], fdy phenomen au mic (la peste, finis d’tuer ça)
[refrain: fdy phenomen, disiz & fdy phenomen]
autant d’stratagèmes que d’coups qu’on a r’çus, quand les miens s’ront préparés? (laisse seulement)
est-ce qu’on a d’ness-bi pour eux? (laisse seulement, laisse hey, laisse seulement, hey-hey)
autant d’stratagèmes que d’coups qu’on a r’çus, quand les miens s’ront préparés? (laisse seulement)
est-ce qu’on a d’ness-bi pour eux? (laisse seulement, laisse hey, laisse seulement, laisse seulement)

[couplet 2: disiz, fdy phenomen, disiz & fdy phenomen]
sache que j’réfléchis plus loin qu’ton spliff
que j’vois plus loin qu’le bout d’mon piff et qu’j’ai pas b’soin d’un canif
c’est mon esprit, c’est leur poing, c’est les tiens face aux miens
c’est ma femme, mon ange gardien, face aux phalanges de ta main
j’vois plus loin qu’demain, pour ça, j’regarde en arrière
(c’que disent les anciens) j’m’en sers et m’méfie des faux frères
disiz la peste: mon nom, au-d’là d’l’himalaya, y a mon flow
par milliers, s’il le faut, c’est vrai qu’les faux s’font humilier
pendant qu’tu- (-krik-) charges ton gun, moi je- (un, deux) teste le mic pour le fun
mais c’est ambition dans l’chargeur, mon flowmatic, et
epaulé d’lyrics censés faire bouger les frères, et
eloquence vibe, un soupçon d’ses phases dans l’texte
un beat de dingue, à deux, on froisse ton cortex
la vie: une large farce, j’avance [?] sketch
use rarement de phases kitchs pour éviter la dèche
(c’est un one-on-one man show) vaut mieux avoir l’sang froid, moi, j’me sens chaud
pour éviter le cachot, finir pacha
(trop d’filles cheum’ au quartier) inculquer à mes p’tits frères (c’est ça)
[?], les guerres fratricides d’hier
car on s’tire dans les pattes, faut partager, comme autour d’un yassa
(faut p’têt’ niquer [haja?]) mais l’faisons pas dans nos propres plats

- disiz

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