letra de la vie en vrai - dil (fra)
[paroles de “la vie en vrai”]
[intro : tag]
hufel on the beat
[couplet 1]
j’connais les risques (oui), j’connais le danger (oui)
choix difficile entre laisser dieu faire ou bien se venger
oui le temps passe, mais je n’oublie pas toutes ces nuits à chercher le sommeil
oui le temps passe, mais je n’oublie pas (nan) à tout c’que j’ai fait pour de l’oseille (pih, pih, pih, pih)
sans silencieux, faut pas s’étonner que la mort fasse bеaucoup de bruit (bâtard !)
des sentimеnts j’en n’ai plus, comme un zombie, tu me vois que de nuit
quand c’est morose (unh), j’ressasse et j’reviens toujours au même remède
comme burrows, j’te retrace et j’te jure que personne te viendra en aide (jamais, jamais)
la petite me dit qu’j’ai du caractère, l’amour en cent-quarante caractères
j’feinte le mur, mais j’la place à ras-terre, que dieu m’éloigne d’une autre trahison par un frère (salope)
et c’est toujours la même chose (toujours), la prod’ ou la concu’, j’leur refourgue la même dose
[pré-refrain]
j’remets le plein (j’remets le plein), j’fais le tour d’la ville (j’fais le tour d’la ville)
elle est calée (elle est calée), mais jamais d’la vie (mais jamais d’la vie)
pas besoin d’avocat, car j’suis furtif et agile
produit d’couleur madonna qu’on peut confondre avec de l’ar
[refrain]
j’remets le plein dans la gova pour pouvoir faire le tour d’la ville
ta b-tch est calée sur le sofa, cette conne, elle croit qu’c’est pour la vie
le d n’a pas besoin d’avocat, car il est furtif et agile
du produit de couleur madonna qu’on peut confondre avec de l’argile
[post-refrain]
poto, viens voir, viens voir la vie en vrai
poto, toute la journée j’encaisse
poto, j’connais pas la tendresse (unh, unh)
poto, viens voir, viens voir la vie en vrai
faut que je brise ces chaines
viens avec moi, je t’emmène (ah, ah)
[couplet 2]
des innocents seront forcément blessés (forcément)
chez nous, jamais de marche arrière, on ne pense qu’à progresser
la prod’ est lourde alors ferme ta gueule et monte le son (ferme ta gueule)
comme seule rescousse, j’ai mon chargeur et ma potion
t’as dis que le d allait abandonner ? (jamais, jamais)
jamais de la vie, j’croise que des cadavres dans ma randonnée (toujours, toujours)
ainsi va la vie, j’ai deux-trois cartouches dans mon bloc note (pih) et deux-trois colis à parachuter
j’reste connecté comme à notre spot et par flemme, j’ai plus rien à rajouter
t’as dis que le d allait abandonner ? (abandonner)
jamais de la vie, j’croise que des cadavres dans ma randonnée (dans ma randonnée)
ainsi va la vie, j’ai deux-trois cartouches dans mon bloc note et deux-trois colis à parachuter
j’reste connecté comme à notre spot et par flemme, j’ai plus rien à rajouter
[pré-refrain]
j’remets le plein (j’remets le plein), j’fais le tour d’la ville (j’fais le tour d’la ville)
elle est calée (elle est calée), mais jamais d’la vie (mais jamais d’la vie)
pas besoin d’avocat, car j’suis furtif et agile
produit d’couleur madonna qu’on peut confondre avec de l’ar’
[refrain]
j’remets le plein dans la gova pour pouvoir faire le tour d’la ville
ta b-tch est calée sur le sofa, cette conne, elle croit qu’c’est pour la vie
le d n’a pas besoin d’avocat, car il est furtif et agile
du produit de couleur madonna qu’on peut confondre avec de l’argile
[post-refrain]
poto, viens voir, viens voir la vie en vrai
poto, toute la journée j’encaisse
poto, j’connais pas la tendresse (unh, unh)
poto, viens voir, viens voir la vie en vrai
faut que je brise ces chaines
viens avec moi, je t’emmène (ah, ah)
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