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letra de lrlv - dibson

[paroles de ” lrlv “]

vous savez tous exactement qui je suis

[couplet unique]
wesh le d, tu vas percer c’est sûr j’dis [?]
fais pas la meuf unique, si j’te sors un liasson tu niques
fais pas de tminik, pas là pour la gente féminine
dans mon équipe j’ai dybala, douglas costa et chiellini
c’est pas fini, j’kick à l’infini, des idées d’génie
j’suis déchaîné, sous vodka [?], le cœur enchaîné
ouais c’est la street poto c’est pas netflix
une daronne pleure un appel sur le fixe
même en buvette j’garde toujours les réflexes
là d’où je viens tenir sa langue c’est bénéfique
car les poucaves qui baisent entre eux feront des bébés flics
ouais j’ai l’mort, dans sa tête c’est le del-bor
ai-je tort, elle bougera son corps sous partynextdoor
j’baise fort, tous vos médias tous vos chroniqueurs
j’passe le salam à mes 100 000 auditeurs
c’est vous la force on va casser les portes
j’suis dans l’qs bientôt j’me téléporte
dehors il pleut des cordes la weed est forte crie akha y a la ford
j’suis dans le rap j’reprends mon dû et j’dis adieu aïfa
elle fait la folle quand y a mon nom qui s’affiche sur l’iphone
le cœur qui bât devant billets purple
je sais qu’on vit tous entassés je sais qu’on meurt seuls
je sais j’me sentirais pas bien trop loin de m-rs-ille
on m’harcèle, j’réponds pas j’reste solo dans ma bulle
une barrette fine un coca vanilla, j’finis mon couplet dans l’escalier
attends qu’j’te parle de maria
eh maria, elle s’est mariée, j’étais comme un fou
elle a les seins refaits et des enfants, j’ai pas plus d’infos
la vie d’avant, c’est la vie d’avant, là y a plus d’espoir
le cœur est noir, bien évidemment, j’rêve du coupé sport
cet été j’prends du temps j’fais le tour d’l’italie
charbonne pour détaller fort comme coulibaly
cet été j’prends du temps j’fais le tour d’l’italie
là j’vais vous régaler freestyle dans la [?]
puissance de pe-fra, ouais j’sais que t’aime quand y a pas d’refrain
si y a plus d’argent on le refera
j’ai pas trahi mes re-fré, m’ont dit secteur j’suis que le reflet
ça vient te sucer quand t’es refait
” mais t’étais où ? ” j’étais à terre, pas une blonde pas un teh
j’suis sur la lune toi t’es dans l’esp-ce commentaire
j’veux qu’on m’enterre ici, puis des fois j’repense à issa
ça fait dix ans bientôt j’me rappelle au ghetto les habits sales
maintenant j’vis ça j’fais cracher la visa ta pute me dévisage
elle fait moins la fille sage, quand ça lui crache sur le visage
l’apprentissage, moi j’l’ai fait tout seul, avec l’opinel
un dans la prunelle, j’bombarde la l2 sous l’tunnel
j’fais écouter mes sons aux kheys, ils m’disent ” c’est la pire elle tue elle
c’est un délire à l’ancienne mais t’arrive à être actuel ”
pas de duels, j’m’arrête à l’alim’, c’est le rituel
on s’est forgés dans la street dans les rapports conflictuels
à l’interrogatoire j’suis comme [?]
j’ai bientôt fini l’texte et j’sais même pas il est quelle heure
la moula m’fait tousser il m’faut de l’eau il m’faut de l’air
mais j’oublie pas qu’avant toute chose il m’faut de l’or
encore des bastos coffrées, la putain d’pe-fra
mon chemin j’le fait tout seul parce que personne me sauvera
j’sors d’la casa j’suis frais, ta sœur elle kiffera
tu veux pas m’voir monter mais à la longue tu t’y fera

- dibson

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