letra de 180° - diapsiquir
mes phalanges fatiguent et se patinent
je joins les paumes loin des latrines
j’ai trouvé mieux à mettre dans mes narines
son miel, ma nouvelle héroïne
son miel, ma nouvelle héroïne
son fiel mon amphétamine
de mon s-xe et mes plaies explosent
des chrysanthèmes, de l’eau et des roses
hostie de chair, posée sur ma langue
remède de cheval tout autour tangue
a genoux !
il faut que les genoux saignent
apprendre à baisser la tête
devant le magma pastel !
a genoux !
tous à genoux !
les genoux doivent saigner
apprendre la tête baissée
devant le magma pastel !
il est amour éternel, dieu est grand (x4)
finies les pet-tes transes, alcool et weed
depuis cinq heures du mat’ tu fermes ta gueule et tu pries
et tu crois
le clicheton de l’ex-tox vers la lumière
et le botox à coups d’couteaux dans la chair
ouais c’est moi (moi, moi, moi)
reprends-toi !
repens-toi !
repens-toi !
oui tu crois
finis les colliers en faux cuir
seule sa main qui serre, et qui serre, et qui serre, et qui serre
et tu crois
a coups de grandes baffes paternelles
il est chiant
il nettoie tout à l’eau de javel
dieu est grand
il est le doigt, il est le pal
il est temps
tout ce qu’il crache moi je l’avale
dieu est grand
quand j’errais à poil sur la moquette du lolita
là j’t’ai rarement vu
quand ma vie s’est vidée comme ma bouche dans l’évier, t’étais là ?
non, j’en suis pas sûr non plus
quand les faux rats déguisés ont quitté le radeau
là j’t’ai aperçu
et quand finalement j’leur ai tous c-ssé le dos
là t’es revenu
quand chaque soir j’m’abimais dans l’même rôle bien trop saoul
là t’es jamais venu
quand je mentais, me vendais encore pour quelques sous
là t’es jamais venu
quand je bandais, me vidais dans n’importe quel trou
là t’es jamais venu
quand la lame sur ma joue laissa plus qu’un bisou
(là t’es jamais venu)
en baisant cette marocaine dans une église à rennes, j’pensais t’voir, mais j’t’ai pas vu
en tapant le sac d’une vieille, qui poussait des p’t-ts cris, il m’semble bien qu’en 1986, j’t’ai aperçu
(en baisant une marocaine dans une église à rennes, j’pensais t’voir, mais j’t’ai pas vu)
quand j’errais à poil sur la moquette du lolita
(en tapant le sac d’une vieille, qui poussait des p’t-ts cris, il m’semble bien qu’en 1986, j’t’ai aperçu)
là j’t’ai rarement vu
quand chaque soir j’m’abimais dans l’même rôle bien trop saoul
(quand les faux rats déguisés ont quitté le radeau)
là t’es jamais venu
quand j’errais à poil sur la moquette du lolita
(quand je bandais, me vidais dans n’importe quel trou)
là j’t’ai rarement vu
il est amour éternel, dieu est grand (x8)
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