a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de zombieland - di-meh

[couplet 1 -lomepal]
yo, yo, yo
lomepal, mothas, la milice, 13 sarkastick, txlv
chez moi la lune s’éteint pas le matin
les buildings sont allumés
mais j’suis clean même si tu m’a vu prêt d’un bar à timp’
pas de succès, donc j’barouille et tize des heineken
dans les carrefours j’évite les caisses mec
la rue c’est un magasin
le grand décompte approche
les temps sont sombres et j’sais que j’aurais des thunes quand les dents tomberont dans les combats de coqs
j’évite les consignes car j’ai mille raisons de picoler ou déchiffrer le son isolé au pays des zombies
j’aime les amâts de mystère
comment gérer le cataclysme mes gars en général, calcinent l’herbe même chez les rats de la ville
paname est cloturé, j’essaie pas d’partir sauf pour checker j-ss à ixelles
ou caba vers woluwé
dans le présent ça boit d’la bière
le kiffe d’un spliff dans une véranda le soir, ou même sur les bancs d’un toit de gratte-ciel
on traine sans accroitre, n’ayant pas de quoi filmer les sourires
les souvenirs c’est dans la boite cranienne

[di-meh]

i am di-meh de la school du micro d’argent
j’viens pour rimer, j’m’en bat les couilles si y’a pas d’argent, han
t’as tout deviné, j’dois tout quitter
maintenant, tu dois y aller, j’sais pas où mais
faut que t’avances, sans jubiler
j’kiffe mon crew, y’a des gros boules
et les gars sont cool même si ca vend d’la blanche dans ma ville couz’
y’a des leurs, y’a des soeurs y’a les leurs, y’a des toxs en manque
j’atterris où ? a zombieland, sur ce toit
j’vois que ça boit, une une ambiance sous ye-ska
ça se noit pas dans l’rhône mais dans l’collal entre autres
oui, ça rappe mon soss, nique sa race j’prend le crom’
pour mes gars, et si y’a, quoi que ce soit
ben j’me tej d’en haut pour atterrir sur mes pas
et conquérir de la chatte, mon khoya !

[couplet 2 – mothas la mascarade]
yo, paris-genève, écoute ce qu’on raconte
j’ai le bouclier contre vos vieux missiles
pet-t j’fiste vos pures swag
j’ai le même béret depuis 2006
ces ninjas qui tab-ssent
check les rimes fat qui t’-ssaillent
fils à fils, j’reste en alt-tude, on est mieux ici
les journées sont difficiles, les frères s’allument entourés des créatures de zombie city
mec t’as vu ça pète, ça fume
ramène bière et sky, qu’on f-sse le tour de la lune
pour que ça tue, j’utilise ma langue en guise de beretta
enchaine les kaméa, les choses tranchées
on peut commencer, j’ai commander mes phases depuis la planète mars
et là, fréro j’attaque, j’reste vif et trop discret
les choses ont virés au vinaigre quand on est sortis du vaisseau spatial
écoute, si j’rappe à balle quand les monstres arrivent
forcé de m’évaporer, j’prend la fuite à la nage
obsédé d’la strophe, le freestyle tappe un style mascarade
on envahis la ville, sappés comme les red warriors

[couplet 3 – nirmou]
frère, j’te t-tille le fion, avec mon gros minet
j’ai le veau-cer en éruption, un peu comme jimmy neutron
taffe mon élocution, afin de torifier tel un type éprouvant l’envie de te faire un lifting à l’opinel
freestyle, un film d’épouvante
mystique et au final, on s’dissipe dans l’effectif sans effectifs et on inhale
surposés dans les environs, le tos-ma est optimal
j’en dis long sur l’ambiance, température ambiante
v’la les mcs ambulants, ondulants vers zombieland
flow provoquant nique la concurrence ainsi que l’audience
invoque la foudre comme raychu, check les atouts
un tas de fous qui graillent tout
tel une personne de forte corpulence
trop d’orgueils quand y’a pas de finances
rien dans l’porte-feuille, l’homme se croit illuminé car il te porte l’œil en l’occurrence
h24 sous pression, j’transporte des morts-vivants dans l’ambulance
a part ça tout est bon, le son va péter flatulence

[couplet 4 – dilou]
posé avec lome-lepa
j’suis un mélange d’homme de l’ombre tout en restant scred comme beufa sur le toit
nous sommes dix posés et disposés à kicker, est ce que tu le vois ?
joints, alcool à gogo, de quoi te faire travailler les poumons et le foie
mais c’est zombieland ma fois
et ici, des zombies glandent crois moi
dis nous, maintenant alors ce qu’il y’a
bou-ya moi j’suis là, et quand je fume l’aria
je te dit que je provoque que du brouillard
fous toi, pas de moi, salaud
il faut que tu restes au galop
y’a que pour mes frères que je partage la dernière part de gâteau
j’ai le bras long, et puis le bras gros, pet-t rigolo
j’suis une fusion de broly et de piccolo (x2)

[outro] -4
seul à zombieland, loin contre tous
car on vit dans un long silence mais aucune conscience
on nage dans ce monde de fou
pas de gens qui blanchent et les non-vivants
zombieland c’est le point de non-retour

- di meh

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