letra de les histoires - demi portion
[pont] x2
des naissances, des décès, des échecs, des succès
ce gâchis c’est la vie, tu sais
saisons automne-hiver bébé
quand j’m’occupe de mes oignons, ça m’donne envie d’pleurer
[couplet 1]
j’ai pas pris le mic pour me la sentir mec
plutôt me sentir libre
quitte à s’en sortir sans tirette
la zik’ te fait rêver toi
r’garde au pire on fait quoi
regarde un peu le ciel, chacun d’mes t-tres est une étoile
frapper ça sert à quoi ?
ils n’ressentent plus rien
la plupart r’fourguent 100 kil’ avec une piqueuse dans les reins
on n’cherche pas une vie d’galérien, c’est plutôt elle qui trouve
je tourne qu’autour du pot, t’as un problème de zoom
non c’n’est pas le rap qui t’soûle, mais les groupes que tu consommes
quand t’auras fini d’bouffer, ça t’fera une belle addition
j’écris le 3 septembre, chaque jour est une rentrée
prof de moi-même j’ai construit ma propre école à côté
sans chercher la renommée, juste un coin d’tranquille
on n’sera jamais bien couvert comme un gosse en syrie
putain ma rime chagrine, pourquoi dois-je parler d’ça
et si j’vous parlais arabe, on a jamais trop d’shrab
[pont] x2
[couplet 2]
on se plaint pas, j’parle pas, souvent trop pas indigné
a force de s’planter, écoute, on a fini jardinier
tant qu’y a du taf’, on y va, on f’ra les choses comme y faut
mais y a toujours un connard pour souligner tes défauts
comment ça la réussite ne s’mérite qu’en perdant
j’ai accidenté l’industrie sans trop m’fier au constat
sans crier mon code postal, car de partout ça déboîte
fais ta vie, j’veux pas savoir comment tu laves ton argent sale
quand t’es au commissariat je suis sûr que tu chiales
tous ceux qui parlaient fort la ferment au moment crucial
on est loin d’ibiza, de grosses piscines à barcelone
ici c’est plus faux visa mais est-ce difficile d’avoir ce rôle
on fait tous partie du monde, chacun ses arguments
le jour où tu partiras tu s’ras solo à ton jugement
donc poto vas-y doucement, en attendant que tout s’arrange
ma soeur, regarde ta mère, est-ce qu’elle a vécu ça avant ?
[pont] x2
[couplet 3]
c’est la fin du carnaval pour l’édito de mes histoires
j’ai du mal à m’arrêter, j’ai sûrement écrit 100 barres
dédié à ma carte son qui m’a suivi depuis l’époque
dédié à mon xxx qui a vu grandir mon bloc-notes
j’parle de misère, mon père voulait l’meilleur de nous-mêmes (de nous-mêmes)
et non pas voir une génération l-o-l
tout le monde veut devenir star, est-ce un rêve ou cauchemar
mieux vaut marcher d’travers et n’jamais rester au centre
lâche c’que t’as dans l’ventre, j’fais ça avec le coeur
et quand j’rappe même ta montre arrête de t’filer l’heure
tellement décalé, énervé qu’on dirait qu’j’fais du métal
donc allez vous faire foutre dans vos hôtels à dubaï
f-ck les moyens du bord, on a même plus d’gouvernail
rien nous choque, ces temps-ci ça r’vend des litrons de sky
les claquer c’est leur but, afin qu’on n’réfléchisse plus
remplace les t sur ce mot tu verras si ça donne zup, suce
ouais j’t’-ssure comment chaque acte on l’-ssume
j’pourrais t’viser tranquille, sans t’sortir une insulte
c’n’est pas parce que t’es moisi que j’dois parler d’pourriture
tu sais t’as aucune patte, mc fruits et légumes
écrire loin du ridicule, on m’a dit -toi ne lâche pas
y a des ferraris, c’est pas grave j’irais le faire en mazda
j’m’en fous de la course, laissez-moi un camping
j’vous laisserai les pleins phares, j’allumerai les warning
si j’rappe ta vie c’est donc, qu’on a les mêmes histoires
un muet pourrait les dire, un aveugle pourrait les voir
si j’rappe ta vie c’est donc, qu’on a les mêmes histoires
un muet pourrait les dire, un aveugle pourrait les voir
[pont] x2
yo… yo… les histoires… les histoires…
yo… r-a-s-h-i-d – demi portion
c’était les histoires…
merci à ceux qui m’soutiennent, à toutes les villes de france
tous ceux qu’j’ai pu rencontrer, le public
ma famille, ceux qui m’ont donné la force
a tous les p-ssionnés, tous ceux qui sont présents sur l’album
ceux qui font avancer les choses
a ceux que je n’connais pas encore
one love
[blanc jusqu’à 5m49]
oh, l’album est fini ?
t’as bloqué, jusqu’à la fin des histoires
t’es vraiment un drogué
ouais c’est ma vie
[l-ssi dewid ?]
tu veux du flow là ? je vais t’envoyer tout c’que t’aimes
demi portion tape un p’t-t p-sse-p-sse, sur la touche mais vise la surface
l’effet de surprise, la rage sur place
ouais c’est sur pause, une vida loca
cherche l’occaz’, un peu d”audace, les bêtises on a p-ssé l’âge
un jour tout s’efface
oui c’est rashid, fais voir ton visage
oui c’est facile de parler trop mal
non c’est rapide de faire des dommages
atterris t’as niqué des collages
pas d’coloriage, ne colle pas de biatchs
rien à l’amiable, mate ce que je lâche
j’me sers de ma bouche, comme une arme
ou j’me couche, toi tu craches
centre de menaces, j’t’oublie grave
oui j’vis ça, loin des str-ss, pourquoi tu stresses, faut qu’tu saches
nous on t’adresse à chaque message
oui les mots blessent, mais qui est sage ?
xxx nos mots, un coup d’shl-ss
rentrer dans le moule, ça faut pas
c’est fragile, y a tout qui s’c-sse
qui fait la tête et qui s’écrase
sorti d’sète, du haut d’la cl-sse
pas d’compét’, j’ai pas l’temps pour ça
la grosse tête te xxx la face
et oui ça m’agace, c’est pas trop ma t-sse
xxx qu’tu parles et bousilles le taf’
bousilles le taf’…
[pont] x2
on a fait de cet art une drogue qu’on r’vend à la populace
paraît qu’on s’pique à chaque note et qu’les saints en redemande
ingurgite des litres d’encre dans toutes nos soirées dark
c’est l’retour du black & white
[outro]
des vies en noir et blanc
c’est l’retour du black & white
demi portion
black & white
noir blanc, époque insomniaque
yes, les histoires et les histoires…
c’est les histoires et les histoires…
xxx
xxx
big up
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