letra de atlantide - def
les bons comptes font les bons amis mais les vrais amis n’font pas les comptes
y’a qu’les cons qui n’changent pas et j’changerai pas, c’est con
faut un homme pour tuer un homme, un fusil pour tuer un lion
la pomme tombe au pied de l’arbre, encore faut-il attendre la saison
« toutes des conn-sses » : c’est ce que je dis quand j’perds la raison
« j’suis vraiment con » : v’là la réponse à mes bonnes questions
tout vient à qui sait attendre comme solution c’est tentant
après la pluie vient l’beau temps, vis ta vie c’est la mort qui t’attend
la vie est belle demande a jun lin
peut-être qu’lui aussi a tendu l’autre joue
jeux de mains jeux de vilain, pas de peau mon jaune ami
« allez on verra demain » reste le plus bel hymne à la nuit
une de perdue une de retrouvée, un tordu, une fille violée
un curé pardonne tout allez viens t’isoler
ça commence par à la tienne, ça finit par tise au lit
la vie injuste à juste prix demande à phillipe risoli
rien n’sert d’courir, j’suis au courant, ici ça s’bouscule
trop d’pantin font du vent et zappent le sens du courant
tout le monde veut pé-ra, beaucoup l’paieront, très peu seront payés
seuls les vrais dans leur coin l’feront, jamais bien mieux servi
que par soi-même, mieux servi par ceux qu’on aime
ne regarde pas en-bas mais regarde autour de toi quand même
tous les chemins mènent à rome, sauf le mien
on est pas tous des révolutionnaires ou des jean moulin, illégal résistant : j’en roule un
mes anciens sont trop bons pour m’traiter d’fainéant
mais j’lis dans leur yeux qu’en ont vu, qu’la vie c’était mieux avant
rien n’se perd tout se transforme parles-en aux parents
qu’ont vu leur fils partir à 20 ans et quelques printemps
il écrit bien le gamin c’est c’que j’entends du haut de mes 27 ans
c’est cohérent si la vérité sort d’la bouche des enfants
z’êtes trop marrants, avec vos expressions toutes faites
faites la fête pas la guerre et l’amour viendra peut-être
c’est en forgeant qu’on devient forgeron, petit à petit
l’oiseau fait son nid, les faibles s’enfuient, les plus forts les mangerons
le dentiste m’a pas menti et si les pompiers fumaient
autant que moi, y’aurait un tas d’incendie
tape ta cendre francis, j’adore quand c’est ritoo qui m’dit
“ce soir on met la cabane sur le chien à coup de marrade et de whisky”
croix de bois croix de fer, on survivra c’est promis
on est tous le con d’un autre et ça c’est pas des conneries
le plus vieux métier du monde reste l’éducation donc laisse pas traîner ta fille
reculer pour mieux sauter mets pas le string aux chevilles
les petites bêtes mangent pas les grosses mais les grosses bites n’épargnent
pas les gosses, monde de merde où dans les boites en bois, on changerait bien les postes
j’pense pas qu’on ait besoin d’nous, j’pense qu’il y a fausse donne
quand j’vois qu’on crève pour du métal jaune
y’a se ranger et rentrer dans l’rang y’a manger et les dents qui courent après le vent
y’a celles qu’aiment avaler et celles au couvant
très peu de nuance dans l’prêt à penser, proverbes et dictions : le fastfood cérébral des cons
l’enfant d’babylone ne crée plus, mais radote
attend qu’on lui narre une connerie pour qu’il la transmette à d’autres
qui a raison ? bhl ou faurrisson ?
qui écrit l’histoire ? c’est les vainqueurs, quelle question
tu ne tueras point, point à la ligne, god bless usa
ou quand jésus est un gi à croire qu’c’est a l’envers qu’ils lisent la bible
le bonheur des uns fait le malheur des autres et tant pis
les derniers seront les premiers faut croire qu’l’espoir maintient en vie
on a vendu la peau de l’ours à un type en charrue sans boeufs
et peu importe quand on veut on peut voir midi devant sa porte
qu’importe le flacon tant qu’il y a l’ivresse, l’clochard sur ta paill-sse
p-ssera pas l’hiver, et là j’m’adresse à toi qu’écoute mes balivernes :
aides-tu ton prochain ? est-ce que de ta vie t’as les rênes ?
loin des yeux loin du cœur, et si t’inverses les rôles, t’as les nerfs
une taille de guêpe, un 95c et trop de verres
si j’arrive a l’esquiver c’est qu’il y a que la mort pour nous séparer
esquiver le vice c’est pas rien, travail de tous les jours pas d’païen
je crois pas en dieu; lui non plus, comme ça au moins on est deux c’est bien
sache que, j’continuerai c’texte, qu’tu trouves lourd ou hideux
j’rap pour ma poire et si tu kiffes tant mieux
j’attends mon heure comme tout le monde et ça m’épuise même plus
comme on dit : la roue tourne et pour l’moment j’vois qu’celle du bus qui roule
bamboul qui fournit suis au four et au moulin comme un mineur chilien
qué-blo au fond du puit, chacun son rôle sois pas choqué
soit disant libres et égaux si t’en as sous l’chapeau
tous toqués et moi le prem’s comme dalton
def
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