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letra de ma iv' - deen burbigo

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[couplet 1 : alpha wann]
rien à perdre comme quelqu’un qui vient d’la dd-ss
le prince phaal part, s’installe sur 24 barres
instable car pleins parlent mal, le flow flingue la b-sse
ici c’est paname, c’est la jungle bâtard
c’est important l’crom’ donc j’donne dans l’show
veste à mille balles sur l’porte-manteau mais j’dors dans l’trom’
pas un rond, j’ai dit non pour la vente de pilon
dieu donne des leçons mais il n’y a qu’la vie qui suit son cours
médite là-dessus, mes syllabes tuent, j’mérite la thune
alph’ wann, c’mec il rappe dur
à croire qu’c’est ma seule qualité, j’vois les reufs rappliquer
ma reum’ paniquer depuis que j’ai l’buzz d’alizée
mais rigole pas, j’tricote pas
la vie un long fleuve tranquille, j’suis dans la pirogue, j’nage
avec des escrocs qui changent d’tes soss
s’lèvent tôt pour les pesos et font les pet-tes lope-sa
nique les pauvres gus qui obstruent le hip-hop parisien
on va chercher nos thunes, chose sûre
le micro, l’rap c’est notre truc
alors, donc, chie autre part négro, vu ?
même si plein d’études pourraient montrer qu’les zincs éc-ment
les chemins les plus dingues pour être blindés d’thunes
impossible pour oim’ de vivre comme ça
nique votre life, honneur et rime comme d’hab’

[refrain : jazzy bazz]
au fil de la mélodie, j’introduis mon vécu
le quotidien d’un vaurien historien des rues
blotti dans l’souterrain, mon posse tient les murs
quotidien d’un vaurien qui provient des rues
au fil de la mélodie, j’introduis mon vécu
le quotidien d’un vaurien historien des rues
blotti dans l’souterrain, mon posse tient les murs
quotidien d’un vaurien historien qui provient des rues

[couplet 2 : deen burbigo]
hey yo on galère dans les allées d’la ville où les tarés habitent
pet-te t-ss’ et spliff t-ssé, ça c’est ma vie
j’suis pire que l-ssé d’p-sser par les abîmes
j’ai lâché la tise mais le vague-à-l’âme et l’hasch’ m’habitent
so j’gratte la rime, on va s’battre et tard gratter v’la les cl-ssiques
j’veux l’cash maintenant, -ssez parlé d’avenir
faites d’abord grailler la mif’
chaque soir on s’attarde, entaillés à vivre
car les garces ne rêvent que de ce dont les poignets affichent
des bracelets, artistes entre vice et vertu
les pet-ts s’évertuent, squattent, tise et spliff de verdure
j’te parle de nos vies ou d’leur panorama quotidien
-n-lyse nos t-tres, pour l’heure, gars, t’auras pas nos vies d’chiens
le mal et le dîn, ouais, ça c’est ma iv’ et fallait le dire
si tu vises le meilleur, khey, sois préparé au pire
j’milite, j’veux la crème des rois, paré pour le pire du pire
concert au peer-to-peer, vinyle ou mp3
dans trop d’quartiers, le but est d’propager nos phrasés
de ville en ville, ‘vec les sos flâner, notes salées
naufrager dans des zones d-mnées
j’me verrais bien en nouveau riche
boulot clean mais jamais loin d’mes potes cramés
magique de faire rimer
son plus grand rêve avec son pire cauchemar
si j’crève, une mixtape en guise d’au revoir
mais s’il-vous-plaît, évitez les pleurs, récitez mes verses
car toute ma vie est contenue dans mes rimes et mes skeuds

[refrain : jazzy bazz]
au fil de la mélodie, j’introduis mon vécu
le quotidien d’un vaurien historien des rues
blotti dans l’souterrain, mon posse tient les murs
quotidien d’un vaurien qui provient des rues
au fil de la mélodie, j’introduis mon vécu
le quotidien d’un vaurien historien des rues
blotti dans l’souterrain, mon posse tient les murs
quotidien d’un vaurien historien qui provient des rues

[couplet 3 : nekfeu]
moi, le buzz, je le bédave, pédale, ça c’est ma vie
j’ai d’la yeuf, quelques pétards et j’pars gratter la rime
j’fais d’mon mieux pour être aimable et droit avec l’ami
t’sais quoi, j’arrête la tise, tais-toi, ça, c’est d’la disquette, mec
parfois, je rappe pour interroger mon âme
connard, les flows c’est mon art
j’veux qu’les miens délogent les monarques
trop tard pour les études, f-ck ça, je fais mes thunes comme d’hab
j’roule et mé-fu au calme, où étais-tu quand c’était dur ?
avant qu’le cd surgisse et qu’mes blessures brillent sur l’disque
où étais-tu, fils, quand j’étais nul ?
on est les maquisards du mic’ et c’est bientôt l’débarquement
donc je vais pas cher-la le manche
c’est magique, ma clique a du talent
cachés dans les chiottes, on fraude jusqu’au concert
rôde jusqu’à l’aube, consomme des produits trop fonce-dé
des folles nuits enfoncées dans mes croquis d’enfance
j’fais d’la ‘zique cl-ssique comme un acte égoïste en france
on est des bêtes de kickeurs avec le phaal philly
on chante : “ten freaky girls inside the chin tiki”
je mime les scratchs de mes cl-ssiques quand je marche
quand j’suis -ssis dans le parc, j’pense à ma vie dans le rap
tes pet-ts accidents de parcours
mais j’rapplique en deux-quatre pour
la famille de l’en-rage-tou, j’suis tapi dans le noir
le ciel est sombre pour tout ce qu’on a pris dans le carrefour
ce mois-ci c’est moisi, j’ai plus d’dollars pour les mandats à mouss

[refrain : jazzy bazz]
au fil de la mélodie, j’introduis mon vécu
le quotidien d’un vaurien historien des rues
blotti dans l’souterrain, mon posse tient les murs
quotidien d’un vaurien qui provient des rues
au fil de la mélodie, j’introduis mon vécu
le quotidien d’un vaurien historien des rues
blotti dans l’souterrain, mon posse tient les murs
quotidien d’un vaurien historien qui provient des rues

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